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La photophobie est caractérisée par une sensibilité accrue à la lumière voire une intolérance complète à celle-ci. La lumière, même de faible intensité, peut causer de l'inconfort visuel, des problèmes oculaires (sécheresse au niveau des yeux, des douleurs), des migraines, etc. Les gènes occasionnées par la lumière entraînent chez les personnes sensibles des plissements des yeux, voire une tendance à les fermer complètement lorsque la sensibilité est trop importante.

Quelques signes et symptômes peuvent vous indiquer que vous souffrez de photophobie. Ils incluent : Strabisme Besoin de devoir fermer les yeux Maux de tête Inconfort général face à la lumière Importante douleur oculaire face à la lumière, même en intérieur Rougeur des yeux ou vision trouble avec sensibilité à la lumière Certains de ces symptômes peuvent disparaître après un jour ou deux.

Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est dû à un dérèglement hormonal d’origine ovarienne et/ou centrale (au niveau du cerveau). Il entraine une production excessive d’androgènes, en particulier de testostérone, habituellement produites en petite quantité dans l’organisme féminin. Il en résulte une élévation du taux de testostérone dans le sang des femmes concernées.

Reconnu étant une pathologie endocrinienne la plus fréquente généralement chez les femmes en âge de procréer, le syndrome des ovaires polykystiques, ou (#SOPK), n’est cependant pas toujours facile à diagnostiquer. Vu que son implication dans l’infertilité est fréquente mais pas systématique Son appellation fait référence à l’un des aspects de ce syndrome visible à l’échographie, à savoir l’accumulation autour des ovaires de multiples petits kystes. Ces kystes sont en réalité des follicules qui refusent d’entrer en croissance lors de la dernière étape de la phase folliculaire. Cet aspect n’est cependant qu’une facette du #SOPK, un syndrome qui peut se manifester différemment selon les femmes dans des formes plus ou moins complètes, avec de multiples répercussions sur la santé féminine.

Dans sa forme complète, le SOPK entraine une absence d’ovulation et donc une impossibilité de tomber enceinte. 50% les femmes touchées par le #SOPK ont une infertilité primaire, et 25% une infertilité secondaire. Le #SOPK est ainsi à l’origine plus de 70 % des infertilités par anovulation. L’infertilité est donc fréquente, mais pas systématique. Vu qu'ils n'ont pas totalement des causes bien définies. Je vous explique avant tout on ne connait pas encore bien les mécanismes physiopathologiques à l’origine du #SOPK et ils ne peuvent certainement pas s’expliquer par une cause unique, mais par une succession de causes qui agissent dans un cercle vicieux. A la base, il y a une hyperandrogénie, c’est-à-dire une sécrétion excessive d’androgènes, et une résistance à l’insuline. Toutes deux sont vraisemblablement d’origine génétique. Vous pouvez toutefois reconnaître une femme atteinte du #SOPK, par une manifestation, par différents signes cliniques, avec des tableaux et degrés différents selon les femmes;

Des_signes_gynécologiques •règles irrégulières •(spanioménorrhée), peu fréquentes (oligoménorrhée). •Absentes des règles (aménorrhée) •Des saignements excessifs pendant les règles (ménorragies). •Une augmentation du volume des ovaires avec formation de nombreux petits kystes à l'intérieur. •Des difficultés à concevoir. •Des troubles cutanés. •Conséquences de l’androgynie un hirsutisme (pilosité sur des zones normalement glabres chez la femme, visage, cou. Ce signe est retrouvé chez 70% des femmes atteintes du #SOPK. •Un acné •une alopécie (perte de cheveux) Ou signes d’une insuline-résistance un acanthosis nigérians (brunissement et épaississement de la peau dans la région du cou, de l’aine, des aisselles et des replis cutanés).

°une prise de poids ou obésité °une augmentation du taux de °sucre dans le sang °Le facteur héréditaire est à ce jour le seul facteur de risque suspecté. Le #SOPK touche les ovaires mais comme il s’agit d’une maladie endocrinienne, il a un impact sur tout l’équilibre hormonal et peut entrainer des différentes complications au niveau métabolique, cardiovasculaire, reproductif mais aussi général. On parle d’ailleurs d’affection systémique. Parmi les complications possibles on note souvent: ▪️une hypofertilité en cas de grossesse, un risque accru de fausse-couche, d’accouchement prématuré, de diabète gestationnel et de pré-eclampsie. Ce risque est d’autant plus augmenté en cas de surpoids. ▪️Une intolérance au glucose et un diabète de type 2 des anomalies lipidiques (hypertriglycéridémie, hypercholestérolimie)

▪️Une hypertension artérielle ▪️Une dépression ▪️Un syndrome d’apnée du sommeil ▪️Des maladies cardio-vasculaires (macroangiopathie, thrombophilie) ▪️Certains cancers féminins (endomètre, sein, ovaire selon certaines études, mais les autres facteurs de risque tels que l’obésité sont à prendre en compte).

La verrue plantaire est une lésion de la peau qui est provoquée par une infection virale. Elle peut demeurer latente pendant des années ou bien grossir et se répandre rapidement. C’est un problème de la peau qui est également contagieux pour vous-mêmes et pour votre entourage.

Très souvent, la verrue plantaire apparaît sous la forme d’une petite bosse rugueuse, ronde et plate. Elle occasionnera différents symptômes. Apparence : elle est composée de tissus spongieux, brunâtres ou bien jaunâtres avec de petits points noirs. Taille : elle peut mesurer de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Douleur : même si c’est plus rare, il peut toutefois arriver que les verrues plantaires soient douloureuses. Il s’agira d’une douleur pouvant devenir aigüe et pouvant être causée par une friction ou un point de pression. Problème de posture : la douleur au pied causée par la verrue plantaire peut induire un problème de positionnement du pied et occasionner d’autres problèmes.

On la rencontre aussi plus fréquemment chez certaines catégories de personne. Quelqu’un souffrant d’une sudation excessive des pieds : l’accumulation de l’humidité est propice au développement du virus Une personne ayant la peau très sèche ou craquelée : une plante de pied qui craque peut ouvrir la porte au virus qui cause les verrues plantaires Ceux ayant un système immunitaire plus faible : c’est le cas d’un patient souffrant du diabète, du VIH ou qui suit des traitements de chimiothérapie Les enfants et les adolescents : ils sont des baigneurs plus réguliers, leurs pieds sont donc davantage exposés aux agents pathogènes.

Un ulcère gastrique ou duodénal correspond à une perte localisée de substance de la paroi de l’estomac ou de la partie initiale de l’intestin grêle (duodénum). Elle ne concerne pas uniquement la muqueuse - on parle alors plutôt d’érosion - mais détruit la paroi en profondeur jusqu'à sa couche externe musculeuse. L'ulcère gastroduodénal est une plaie qui se forme dans dans la première partie de l'intestin appelée duodénum. L’ulcère génère des douleurs à type de crampes circonscrites au creux de l’estomac, plus rarement des sensations de brûlure. Elles sont généralement soulagées par la prise alimentaire. L’ulcère peut se compliquer d’une hémorragie lorsque la destruction tissulaire concerne un vaisseau sanguin mais aussi d’une perforation de la paroi gastro-duodénale entraînant une péritonite. Plus rarement, le duodénum peut se sténoser, autrement dit occasionner une réduction conséquente du calibre intestinal. Le risque qu’un ulcère gastrique soit en réalité un cancer existe, même s’il est faible. En revanche, un ulcère duodénal n’évolue jamais vers un cancer.

L'ulcère du duodénum est une affection chronique et récidivante qui se caractérise par une "érosion", une perte de substance au niveau de la muqueuse du duodénum, la partie initiale de l'intestin grêle. L'ulcère duodénal est trois à quatre fois plus fréquent que l'ulcère gastrique.

L'ulcère gastroduodénal résulte d'un déséquilibre entre les facteurs d'agression (sécrétion acide et pepsine) et les facteurs de défense de la muqueuse (mucus, bicarbonates, flux sanguin). Plus précisément, un déséquilibre entre la sécrétion acide (contenant l'acide chlorhydrique HCl) de l'estomac et la qualité de la barrière muqueuse provoque une lésion. Les ions acides H+ (l'ion est un atome ou une molécule portant une charge électrique) sont sécrétés par des cellules pariétales de l'estomac. Ces ions passent dans la cavité de l'estomac grâce à un mécanisme biochimique complexe appelé pompe à protons.

Dans sa forme typique, l'ulcère duodénal entraîne des douleurs qui prennent la forme de crampes, brûlures, torsion dans la région du creux de l'estomac et sous les côtes à droite. Ces douleurs irradient en ceinture ou vers le dos. Elles sont rythmées par les repas : elles apparaissent une à quatre heures après et persistent jusqu'au repas suivant. Elles sont calmées par l'alimentation. On dit que ces douleurs ont un "rythme à trois temps" : alimentation - intervalle libre - douleur. Ces douleurs évoluent par crises d'une quinzaine de jours et se répètent une ou plusieurs fois par an : il y a donc une double périodicité journalière et annuelle.

Souvent, la symptomatologie de l'ulcère gastrique ne suit pas des règles strictes (p. ex., l'ingestion de nourriture peut parfois exacerber la douleur plutôt que la soulager). Ceci est particulièrement vrai pour l'ulcère du canal pylorique, qui est souvent associé à des signes d'occlusion (p. ex., ballonnements, nausées, vomissements) provoqués par un œdème ou des lésions cicatricielles. Les ulcères duodénaux ont tendance à entraîner une douleur plus importante. La douleur est absente lorsque le patient se réveille, mais elle apparaît dans le milieu de la matinée et est soulagée par la nourriture mais réapparaît 2 à 3 heures après les repas. Une douleur réveillant le patient la nuit est fréquente et très évocatrice d'un ulcère duodénal. Chez le nouveau-né, la perforation et l'hémorragie peuvent être les premières manifestations d'un ulcère duodénal. L'hémorragie peut également être le premier signe retrouvé au cours de la petite enfance et chez l'enfant plus âgé, bien que des vomissements répétés ou des douleurs abdominales manifestes orientent parfois le diagnostic.

Les troubles musculo-squelettiques (TMS) regroupent un ensemble d'affections de l'appareil locomoteur (muscles, tendons, nerfs, articulations) se traduisant par des douleurs et une gêne fonctionnelle. Ce sont des maladies plurifactorielles, mais avec une forte composante professionnelle.

C'est un ensemble de pathologies qui peuvent paraître a priori très éloignées les unes des autres : cervicalgies, lombalgies, tendinites des épaules, des coudes, syndrome du canal carpien En fait, tous ces troubles ont un caractère commun essentiel : ils résultent d'une inadéquation entre les capacités physiques du corps et les sollicitations ou contraintes auxquels il est exposé.

Mal de dos, douleur aux épaules, tendinite, bursite, épicondylite, entorse lombaire et hernie discale sont quelques-uns des troubles musculosquelettiques (TMS) que les travailleuses et travailleurs peuvent développer en faisant leur travail. Les troubles musculosquelettiques regroupent l’ensemble des blessures de nature musculosquelettique qui affectent les articulations, les muscles, les tendons, les ligaments, les cartilages et parfois les nerfs. Ces blessures sont généralement causées par une trop grande sollicitation des tissus mous, lorsque l’exigence d’un travail dépasse la capacité d’adaptation des tissus. Les lésions musculosquelettiques sont les plus fréquentes dans tous les milieux de travail. Les mains, les poignets, les coudes, les épaules, le cou et le dos sont les parties du corps le plus souvent affectées.

Le trouble affectif saisonnier ou TAS est un type de dépression qui semble lié à la quantité de lumière à laquelle les personnes sont exposées. Il s'agit en fait d'une forme extrême de « déprime hivernale », car pour la plupart des personnes, il tend à empirer en automne ou en hiver. Toutefois, certaines personnes ressentent des symptômes à la fin du printemps ou au début de l'été.

Le TAS survient durant les derniers mois de l'automne et pendant l'hiver, généralement entre octobre et avril. Parmi les symptômes associés à cette affection, on retrouve : la léthargie et la fatigue (un faible niveau d'énergie); une prise de distance avec les amis et la famille; une incapacité à se concentrer; de la tristesse, de l'anxiété et du désespoir; des changements de l'appétit avec des envies de sucreries et de féculents; une prise de poids; des maux de tête; de l'irritabilité; une prolongation de la durée du sommeil. Chez les enfants, les symptômes comprennent l'irritabilité, des problèmes scolaires et une difficulté à sortir du lit. Certaines personnes, en particulier celles qui ressentent le TAS en été peuvent manifester un ensemble de symptômes contraires tels qu'une perte d'appétit et de poids, ainsi que de l'insomnie.

Le priapisme ( « érection ») est une situation douloureuse et dangereuse dans laquelle le pénis après l'érection ne retrouve pas sa flaccidité normale au bout de quatre heures, même en l'absence de toute stimulation physique ou psychologique.

Le priapisme correspond à un état d’érection prolongée au-delà de 4 heures qui est parfois douloureuse, en dehors de toute stimulation sexuelle. Il est la conséquence d’une paralysie du muscle lisse caverneux qui ne peut plus se contracter et laisse stagner du sang hypoxique au sein des espaces sinusoïdes. C’est le priapisme le plus fréquent. Il s’agit d’une urgence. Au-delà de 6 heures, il existe un risque d’apparition d’une lésion progressive des fibres musculaires lisses du corps caverneux exposant à une dysfonction érectile définitive. L’érection est douloureuse.

Le pénis est composé de 3 organes corporels: 2 corps caverneux et 1 corps spongieux. L'érection est le résultat d'un relâchement des muscles lisses et une augmentation du flux artériel dans les corps caverneux, provoquant un engorgement et une rigidité.

Le priapisme veineux (on parle de débit bas) qui est la forme la plus fréquente, dangereuse et douloureuse. S'il n'est pas pris à temps dans les 3 heures, une nécrose des cellules des corps caverneux par manque d'oxygène peut se produire et entraîner des troubles permanents de l'érection. Il peut survenir à la suite d'un traitement par injection intra-caverneuse (traitement après cancer de la prostate, de la vessie ou du rectum). Il peut également être causé par certaines leucémies, une anomalie de la coagulation, la prise de certains médicaments (psychotropes, testostérone à haute dose chez les sportifs, alpha-bloquants) ou de drogues (cannabis…).

Le priapisme artériel (on parle de haut débit) a la particularité d'être peu ou pas douloureux et de s'installer en quelques jours. Il est souvent causé par un choc reçu au niveau du périnée ou à la base de la verge. Le priapisme chronique intermittent, quant à lui, est lié à la drépanocytose, une maladie des globules rouges assez fréquente chez les populations africaine et antillaise. Elle provoque une érection plutôt nocturne, récurrente qui peut, à la longue, entrainer une fibrose du corps caverneux

Contrairement à une idée répandue, la survenue d’une crise cardiaque avant l’âge de 45 ans survient pour la moitié des cas chez des personnes ayant des facteurs de risque cardiovasculaire préexistants et/ou consommateurs de drogues récréatives. Pratiquer une activité physique : l’exercice physique contribue à renforcer le cœur pour qu’il travaille plus efficacement. Il est important de choisir une activité modérée en accord avec votre médecin (marche à pied, natation) car l’exercice ne doit pas déclencher de fatigue, d’essoufflement ou de palpitations.

La tristesse est une émotion, qui traduit une douleur émotionnelle associée ou caractérisée par des sentiments de désespoir, de chagrin, d'impuissance et de déception. Elle peut se manifester par des pleurs, une perte d’appétit ou encore une perte de vitalité. Dans les cas les plus sévères, la tristesse peut entrainer une léthargie plus ou moins profonde, ainsi qu’un isolement social.

La femme dispose de deux trompes de Fallope, situées de part et d'autre de l'utérus. Elles permettent la circulation de l'ovule libéré par l'ovaire jusqu'à l'utérus, lorsqu'il aura été fécondé par un spermatozoïde. L'œuf fécondé va se diriger vers la cavité utérine et nider une semaine après la fécondation. Les trompes ont donc pour rôle principal le passage de l'œuf dans l'utérus.

L'obstruction des trompes peut être bilatérale dans certains cas, et uni dans certains cas. L'obstruction peut-être total dans certains cas, et partiellement dans certains cas. Peut-on enfanter en ayant L'obstruction bilatérale des trompes ? Réponse; Non, impossible d'enfanter avec les deux trompes bouchées. Peut-on enfanter avec une trompe ? Réponse; Oui, la femme peut bien enfanter avec une trompe. Peut-on déboucher les trompes bouchées ? Réponse; Oui ! Il existe plusieurs méthodes pour déboucher les trompes. Peut-on déboucher les trompes sans passer par la coelioscopie et bien d'autres méthodes à l'hôpital ? Réponse; Oui, il est possible de déboucher les trompes sans passer par la coelioscopie et d'autres opérations. Il est très dangereux de tenter de tomber enceinte avec les trompes bouchées. Vous risquez la grossesse extra-utérine, et la grossesse extra-utérine risque compliquer votre situation.

Il existe de nombreuses causes d’infertilité au sein d’un couple. L’une des plus fréquentes est l’obstruction des trompes utérines (ou de Fallope). En effet, l’obstruction des trompes gêne le mouvement de l’ovule et des spermatozoïdes, ce qui complique la fécondation. Ainsi, le diagnostic repose généralement sur une hystérosalpingographie, autrement dit l’exploration radiographique de l’utérus et des trompes.

Divers troubles sont responsables d’une obstruction des trompes utérines. Voire dans certains rares cas, être présente dès la naissance sans provoquer de symptômes jusqu’à la volonté de concevoir un enfant. L’obstruction des trompes de Fallope est très souvent impliquée dans les cas d’infertilité féminine. Les causes d’obstruction, voire de lésions, des trompes sont diverses : - Infections pelviennes ; - Utilisation d’un dispositif intra-utérin ; - Rupture de l’appendice ; - Chirurgie pelvienne ou de la partie abdominale inférieure ; - Certaines pathologies, par exemple la tuberculose ; - Grossesse extra-utérine dans les trompes de Fallope ; - Malformations congénitales des trompes ; - Fibrome utérin ; - Endométriose ; <p> Syndrome d’Asherman (lésions ou infections lors d’une intervention chirurgicale). Tout d’abord, on parle d’obstruction des trompes proximale lorsqu’elle concerne l’isthme tubaire. Elle peut faire suite à un avortement, une fausse couche, une césarienne, une maladie inflammatoire pelvienne ou la pilule contraceptive. </p> <p> D’autre part, une obstruction des trompes distale affecte l’extrémité de la trompe. Ce type d’obstruction est souvent associé à une « hydrosalpinx » qui fait référence à la présence anormale d’une poche de liquide dans la trompe utérine. Généralement, l’hydrosalpinx est causée par une infection à Chlamydia trachomatis (infection sexuellement transmissible).</p>

L'infertilité est l'incapacité pour un couple de déclencher une grossesse, après au moins un an de rapports sexuels, réguliers et sans contraception, dans le but d'avoir un enfant. Les raisons d'une baisse de fertilité sont nombreuses, tant chez la femme que chez l'homme.

Pour tomber enceinte, plusieurs évènements se succèdent dans le corps de la femme : les ovaires produisent l'ovocyte, qui se déplace jusqu'à l'utérus. La fécondation ne peut se produire que si l'ovocyte entre en contact avec un spermatozoïde. En fusionnant, ces deux cellules forment un œuf qui s'implante et se développe jusqu'à devenir fœtus. On parle d'infertilité quand cette fusion n'a pas lieu.

Éviter de consommer de l'alcool de manière excessive Diminuer les quantités de café Ne pas fumer Prendre soin de son poids Pratiquer un sport de façon raisonnable et régulière Éviter la consommation d'acides gras trans Notez également que la fréquence optimale des rapports sexuels, pour concevoir un enfant, se situe entre 2 et 3 fois par semaine.

Certains le considèrent comme un bruit rassurant, d'autres comme un comportement méprisable. Les Chinois, quant à eux, y voient l'indice d'une bonne santé. Néanmoins, pour l'entourage du ronfleur, le ronflement, aussi appelé ronchopathie, est bien souvent un bruit irritant, voire insupportable. Mais d'où vient-il ? Le ronflement se produit surtout à l'inspiration lorsque, durant le sommeil, les tissus mous du palais et la luette vibrent au passage de l'air, comme des voiles qui claquent au vent.

Sauf dans les cas d'apnée du sommeil le ronflement n'est pas considéré comme un problème de santé et n'ennuie pas le ronfleur. On peut toutefois s'inquiéter des troubles du sommeil qu'il provoque chez son entourage. Un ronflement moyen atteint facilement un niveau sonore de 45 dB à 60 dB (le bruit d'une voix), tandis qu'un ronflement majeur peut dépasser les 95 dB, ce qui correspond au bruit du passage d'un camion ! Évidemment, cela gêne le sommeil des personnes qui partagent la vie du ronfleur, au point parfois de causer une insomnie chronique. Puisque de nombreux ronfleurs ignorent qu’ils ronflent, il est difficile d'évaluer la fréquence de ce trouble.

Généralement, le ronflement est bénin et n’a aucune conséquence sur la santé. En revanche, dans certains cas, il est associé à des pauses respiratoires qui perturbent le sommeil. On parle dans ce cas d’apnée du sommeil. L’apnée entraîne une fatigue et une somnolence durant la journée, et est associée à des risques accrus d'hypertension, de maladies cardiovasculaires (y compris accident vasculaire cérébral et infarctus).

Le ronflement est un bruit inspiratoire lié à un rétrécissement du passage au fond de la gorge. Il survient lorsque les muscles de l'arrière-gorge, du voile du palais (ou "palais mou", zone arrière du palais), de la luette et de la langue se relâchent pendant le sommeil profond. Chez certaines personnes, ces organes prennent alors plus de place et obstruent les voies respiratoires. Lors de l’inspiration, l'air a plus de mal à passer et fait vibrer anormalement le pharynx, provoquant un bruit de ronflement. Quand une personne ronfle, on parle de ronchopathie.

Plusieurs facteurs sont susceptibles de déclencher ou d'aggraver des ronflements : Le sexe : les hommes ronflent plus que les femmes. L'âge : le ronflement augmente avec les années. Le poids : le surpoids et l’obésité favorisent les ronflements quotidiens, avec ou sans apnée du sommeil. L'obstruction nasale ou naso-pharyngée : une malformation anatomique comme une déviation de la cloison nasale, une inflammation allergique, une atteinte infectieuse des muqueuses nasales ou des amygdales volumineuses peuvent entraîner un ronflement. La position couchée sur le dos aggrave les ronflements. L'alcool et la prise de certains médicaments (somnifères, tranquillisants ou d’antihistaminiques) à l'heure du coucher. Le tabac : il entraîne une inflammation chronique des voies aériennes supérieures gênant le passage de l'air.

Le noma est une forme de gangrène du visage qui touche principalement les enfants souffrant de malnutrition.Le noma, dont le nom vient du grec « dévorer », est une forme de gangrène du visage (mort des tissus, ou nécrose) qui touche principalement les enfants souffrant de malnutrition, d’un mauvais état de santé général et d’une mauvaise hygiène bucco-dentaire.

Le noma, aussi appelé cancrum oris, débute par une lésion au niveau de la bouche, qui s’étend et détruit rapidement les tissus environnants comme la muqueuse de la bouche, les muscles et même les os de la joue, de la mâchoire, voire du nez. Les tissus gangrénés meurent et tombent, entrainant de graves mutilations du visage. Sans traitement, cette terrible maladie est presque toujours mortelle.

La lésion s’étend autour de la bouche et peut atteindre les lèvres, les joues, les mâchoires, le nez et même la zone orbitale (autour des yeux). La plaie est très profonde, puisque les muscles et les os sont généralement aussi touchés. Les tissus atteints se nécrosent (ils meurent en formant une lésion appelée escarre). Les tissus nécrosés laissent une plaie béante en tombant : c’est à ce stade que la maladie est hautement mortelle.

L’huile de palme et l’huile de palmiste sont deux huiles tropicales durables issues du même arbre le palmier à huile. Mais la similitude s’arrête là. L’huile de palme provient du fruit du palmier, tandis que l’huile de palmiste est extraite de la graine de palme. Et tandis que plus de 80% des graisses de l’huile de palmiste sont saturées, seulement 50% de l’huile de palme le sont. La couleur rougeâtre ou dorée de l’huile de palme indique qu’elle contient également une bonne quantité de caroténoïdes sains pour le cœur. Certaines recherches suggèrent même que les acides gras contenus dans l’huile de palme ne font pas augmenter le cholestérol comme le font traditionnellement les graisses saturées. De ces observations, il faut donc comprendre qu’il est préférable de consommer de l’huile de palme pour une utilisation alimentaire. Cependant, l’huile de palmiste est plus riche en nutriments. Cette dernière sera donc particulièrement intéressante pour la production de savons, de cosmétiques ou encore de détergents. En effet, l’huile de palmiste, extraite de la graine du fruit, contient plus de graisses saturées que l’huile de palme, ce qui la rend plus solide et idéale pour les savons, les détergents et les cosmétiques. L’huile de palmiste est similaire à l’huile de noix de coco en termes de composition chimique, de caractéristiques physiques et d’utilisations. Ce qui va nous intéresser ici sera l’approche cosmétique de l’huile de palmiste.

L'homme utilise les plantes pour se soigner depuis des millénaires. A travers les âges, de nombreuses civilisations ont exploité leurs bienfaits que ce soit en Mésopotamie, dans l'Egypte antique, en Inde avec la célèbre médecine ayurvédique, au Pérou ou en Chine où la pharmacopée recense plusieurs centaines de plantes médicinales. L'une des formes les plus traditionnelles qui soient est la tisane. Retour sur ses véritables bienfaits.

L’usage médicinal de la menthe poivrée remonte à l’Antiquité, aussi bien en Orient qu’en Occident. Elle dégage une agréable odeur aromatique et est considérée comme l’une des plantes clés en matière de phytothérapie digestive. Les composés actifs sont surtout contenus dans les feuilles : on y trouve notamment une huile essentielle riche en menthol, un principe amer, des flavonoïdes et du tanin. Elle est recommandée lorsqu’il est nécessaire de faciliter la digestion et de lutter contre les états spasmodiques, les digestions difficiles, les ballonnements et les nausées.

La bière est riche en vitamine B et en silicium, des substances qui renforcent les cheveux et stimulent leur croissance. Verse un verre de bière sur tes cheveux, masse ton cuir chevelu, laisse agir et rince avec de l'eau froide. Frotte n'importe quelle surface en bois qui a besoin d'être revitalisée avec un chiffon trempé dans la bière tiède. Llle a un effet raffermissant et réparateur qui aide à tonifier la peau afin de réduire les petites rides. Prépare un masque avec une cuillère de bière, un blanc d'oeuf et 3 gouttes d'huile d'amande, 10 minutes. Le houblon est un sédatif naturel, et son arôme aide à trouver le sommeil. L'astuce consiste à laver la taie d'oreiller avec la même quantité d'eau et de bière, afin que l'odeur que tu vas respirer te fasse vraiment fermer rapidement les yeux. Verse de la bière fraîche dans un grand récipient et plonges-y tes pieds. Grâce à son effervescence, la bière va t'aider à détendre tes pieds après une longue journée.

Ventre gonflé, douleurs abdominales, gaz… Les troubles digestifs avec ballonnements sont fréquents. Rarement isolés, les ballonnements sont souvent accompagnés de troubles du transit, avec alternance de diarrhée et de constipation. Comment sortir de ce cercle infernal et retrouver un ventre plat ? Tour d’horizon des solutions douces, à la portée de tous. Quel que soit le remède choisi, si les troubles persistent, consultez votre médecin.

Notre intestin est notre deuxième cerveau, de nombreuses études l’ont montré récemment. D’où l’utilité des plantes antispasmodiques et/ou sédatives, comme la mélisse. "La mélisse est la plante la plus performante comme antispasmodique des organes digestifs et c’est aussi un excellent calmant en cas de tensions nerveuses

Le papillomavirus humain est très contagieux et est responsable des excroissances verruqueuses chez les êtres humains. Certaines souches ont également été liées à des cancers du col de l’utérus et du pénis.

Sur le plan cutané : de nombreux types de verrues banales. La verrue vulgaire : sur les coudes, les genoux, les mains ou les orteils. Dôme dur et rugueux de couleur chair.

La verrue plantaire : située sur la plante du pied, elle a l'allure d'une zone blanchâtre et durcie. On distingue, la myrmécie (unique et ponctuée de petits points noirs), et la verrue en mosaïque (diverses lésions blanchâtres unies). Les verrues planes : fréquentes sur le visage, ce sont de petites élevures de peau de couleur chair. Les papillomes verruqueux : excroissances filiformes sortant de la peau et fréquentes sur la barbe. Sur le plan muqueux : les condylomes Aussi appelés verrues génitales. Les condylomes sont sur la peau et se manifestent sous la forme de petites verrues au niveau des organes génitaux. Elles occasionnent des démangeaisons. L'apparition de ces verrues au niveau des organes génitaux externes, chez l'homme ou la femme, doit amener à une consultation médicale.

Hémorragies irrégulières ou saignements légers entre les règles chez les femmes en âge de procréer ; Hémorragies ou saignements après la ménopause ; Saignements après les rapports sexuels ; Pertes vaginales accrues, parfois malodorantes. Lorsque le cancer progresse, des symptômes plus graves peuvent se manifester : Des douleurs persistantes dans le dos, le bassin ou les jambes ; Une perte de poids, de la fatigue, une perte d’appétit ; Des pertes vaginales malodorantes et une gêne au niveau du vagin ; Un œdème sur une extrémité inférieure ou les deux. D’autres symptômes graves peuvent se manifester à des stades avancés, en fonction des organes touchés par le cancer.

La créatinine est une sorte de déchets métaboliques dans le corps. Le niveau de créatinine est un indice pour mesurer à quel point vos reins fonctionnent. Un haut niveau de créatinine signifie que votre rein souffre d’un dommage et ne peut pas fonctionner efficacement. Il y a une introduction de nos néphrologues sur les causes, les symptômes et les traitements de niveau de créatinine élevé, en espérant qu’il soit utile pour vous.

La créatinine est une sorte de déchets métaboliques, comme l'acide urique et de l'urée. Normalement, ces déchets métaboliques peuvent être filtrés par les reins et évacués avec de l'urine. Si le rein est altérée et ne peut pas fonctionner normalement, ces déchets métaboliques ne peuvent pas être excrétés et accumuler dans le sang. Ainsi, lorsque le rein est endommagé, le niveau de la créatinine va monter et selon le niveau de la créatinine, nous pouvons connaître le degré de dommages aux reins. En outre, beaucoup d'autres conditions telles que la déshydratation, l'exercice intense, fatigue excessive, l'hypertension artérielle, etc, peuvent causer un degré élevé de taux de créatinine.

D’autre part, le régime alimentaire doit limiter l’apport de viandes🍖, poissons🐟 et fruits de mer🦀, légumes secs🍁, œufs🥚 et produits laitiers🧁. 🍅 A l’inverse, le jambon, le poulet🍗 et le poisson🐟 peuvent être consommés sans restriction, une fois par jour

L’hémophilie est une maladie hémorragique génétique qui empêche la coagulation du sang, causant des saignements anormalement longs en cas de blessure et parfois en l’absence de blessure. Elle est due à une mutation génétique qui entraîne le manque, ou l’absence, de protéines coagulantes empêchant la formation d’un caillot assez solide pour arrêter l’hémorragie.

Des saignements prolongés interviennent suite à une blessure ou à un traumatisme même mineur. Ils peuvent être spontanés (donc intervenir en l’absence de traumatisme) dans les formes graves de la maladie. Les saignements peuvent être internes ou externes. Notons que les saignements chez une personne hémophile ne sont pas plus intenses, mais que leur durée est supérieure. Les saignements dans les muscles (hématomes) et dans les articulations (hémarthroses), principalement dans les chevilles, les genoux et les hanches, peuvent occasionner à la longue des raideurs et des déformations invalidantes, pouvant aller jusqu’à la paralysie

L'énurésie est une miction active, complète, inconsciente et involontaire, se produisant pendant le sommeil, la plupart du temps pendant la nuit. On ne peut parler d'énurésie qu'à partir de 5 ans, car c'est l'âge ou le contrôle physiologique du sphincter vésical (de la vessie donc) est acquis

Dans le cas d'une infection urinaire, l’enfant souffre d'une sensation d'inconfort ou de brûlure en urinant. Parfois accompagnée de fièvre, l'infection urinaire augmente la fréquence des mictions dans la journée. De plus, les urines sont troubles ou très odorante ;

L’énurésie peut également être causée par des facteurs psychologiques tels que l’anxiété, le stress, la dépression, la peur ou des troubles du comportement.

La brucellose est une anthropozoonose, c'est à dire une maladie qui se transmet de l'animal vers l’Homme, le plus souvent via la consommation de lait non-pasteurisé. On l’appelle communément fièvre méditerranéenne, de Gibraltar, de Malte, ou encore fièvre ondulante. Cette maladie, due à une bactérie du genre Brucella, peut être bénigne et spontanément résolutive, ou sévère et chronique. Dans sa forme chronique, la maladie peut durer plusieurs années et entraîner de graves conséquences neurologiques et cardiaques. Elle n’entraîne la mort que dans de rares cas, même en l’absence de traitement antibiotique

La durée d’incubation varie d’une semaine à plusieurs mois. La maladie se déclare par une phase de syndrome grippal banal, caractérisée par des maux de tête et de la fièvre, de la fatigue, une sensation de malaise. Des douleurs ostéo-articulaires et de l'arthrite apparaissent lors d’une seconde phase. La personne infectée peut souffrir d’anorexie entraînant une perte de poids.

La maladie peut évoluer vers une forme chronique, touchant au fil des années tous les organes, entraînant de graves conséquences neurologiques et cardiaques et, dans de rares cas, la mort. Il est à noter cependant que la maladie ne s'accompagne pas systématiquement de symptômes.

La maladie provoque des symptômes de type grippal, notamment la fièvre, une asthénie, un malaise ou une perte de poids. La transmission interhumaine est rare.

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