Medecine millénaire

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Ma Santé, ma seule richesse

Notes Importantes

L'Afrique , le berceau de la medécine

La medecine naturelle Africaine est la plus vielle

Imhotep dont le nom signifie celui qui vient en paix , est un personnage de l'Égypte antique Ayant vécu au troisième millénaire avant notre ère, il fut un homme aux multiples talents. Vizir et architecte du roi Djéser (IIIe dynastie), on le dit également médecin et philosophe.

Imhotep est considéré comme le fondateur de la médecine égyptienne et l'auteur d'un traité médical ,c'est le premier personnage connu décrit comme médecin en exercice — ce qui a fait de lui, le père de la médecine. Les Grecs apprennent la médecine à Alexandrie et d'après Hérodote : En Egypte, chaque médecin ne soigne qu’une seule maladie il y en a pour les yeux, d’autres pour la tête, les dents, le ventre, et même les maladies non localisées

La transmission du savoir médical se faisait, de père en fils, ou au sein de la même caste, ainsi que par des écoles du palais, il n'existait pas à proprement parler d'écoles de médecine, mais dans certains établissements, appelés maisons de vie le jeune praticien pouvait compléter l'enseignement paternel par la fréquentation de savants médecins, de directeurs d'ateliers, où des scribes s'affairaient à composer ou à recopier des écrits consacrés à la médecine. De ces ateliers sortiront les papyrus médicaux qui décrivent en détail des observations anatomiques, l'examen, le diagnostic, le traitement et le pronostic de nombreuses blessures.

Le système de soins des anciens égyptiens est un service public gratuit accessible à tous, quelle que soit la situation de fortune disponible dans tout le pays et à tout moment.Les établissements médicaux, aussi appelés Maisons de vie, sont connus pour avoir été mis en place dans l'Égypte antique dès la Ire dynastie. À l’époque de la XIXe dynastie, leurs employés jouissent d’avantages à ce que l'on peut assimiler à l’assurance maladie, la retraite et les congés de maladie.

Au début la médecine était exercée par trois types de praticiens .

  • - Le sinou exerce auprès des plus humbles et tire ses connaissances des livres et de sa pratique empirique
  • - Le ouabou, prêtre exorciste attachés au culte de Sekhmet ou à celui de Thot, soigne les privilégiés. Sa médecine est fortement teintée de religiosité, car il tient des dieux le pouvoir de guérir.
  • - Le saou, à la fois magicien, sorcier et rebouteux, lutte contre les puissances invisibles à l'origine des maux inexplicables ou représentés par des animaux s'attaquant à l'homme, tel le scorpion, les serpents. Il soigne par le biais de formules, incantations, amulettes et statues guérisseuses.

Cette médecine très avancée pour l'époque, était le fait d'un système de soins particulier, avec des médecins spécifiquement formés et aux pratiques contrôlées, exerçant en clientèle ou dans des lieux réservés, établissant des conclusions diagnostiques, usant de moyens thérapeutiques multiples, et toujours en relation avec le divin. Le concept de maladie était différent de la définition moderne .

Les médecins égyptiens pratiquaient une petite chirurgie, non invasive, la réduction des fractures, disposaient d'une riche pharmacopée et se servaient de formules magiques. Les textes médicaux précisent les étapes de l’examen clinique, du diagnostic, du pronostic et les traitements qui étaient souvent rationnels et appropriés.

Il y avait beaucoup de catégories et de spécialisation parmi les médecins. Les rois avaient leur propre medecins et même leurs propres spécialistes. Il existait des médecins inspecteurs, superviseurs et des médecins en chef. Les spécialistes connus des égyptiens étaient les ophtalmologistes, les gastro-entérologues, les proctologues, les dentistes, le médecin qui supervisait les bouchers et un inspecteur des liquides dont le rôle n’est pas précisé.

Nos plantes contre les medicaments

Le cadeau de la nature

Parmi les nombreuses richesses que Dame nature offre, la plante a toujours jouée un rôle de premier plan dans l’alimentation, l’équilibre énergétique, le renforcement du système immunitaire, la prévention et le traitement des maladies de chaque espèce en vue de la préservation de chaque vie. Malheureusement, l’Homme à un moment donné, a estimé, en tant que seule créature intelligente, de mettre sa raison au devant de chaque acte. Certaines valeurs vitales comme l’intuition, l’émotion, l’énergie, la spiritualité, etc., n’ont plus droit de cité. Ce que Dame nature dans sa magnanimité offre, devrait désormais faire l’objet d’études scientifiques.

La pharmacopée est née ainsi que la botanique et les nombreuses études biochimiques, chimiques, d’électrophorèses, d’extraction de principes dits actifs jusqu’à la vivisection. A cette attitude préoccupante s’ajoute le besoin d’avoir, de s’enrichir, de posséder qui ont vu naître de nombreux laboratoires pharmaceutiques avec leurs produits scientifiques et raisonnés : les Médicaments. On ne s’occupe plus de la plante pour rétablir la santé : mais de ce que la plante peut offrir comme principe actif lucratif. La rentabilité prime sur la santé. Un médicament même très efficace est retiré du marché s’il n’est pas rentable. Aussi un médicament d’efficacité douteuse et d’effets secondaires connus, continue d’envahir le marché tant qu’il est rentable. C’est préoccupant. Où se trouvent les notions d’Ethique et d’Humanisme ?

En Mai 2011, environ 400 spécialités pharmaceutiques (certaines utilisées de façon très courante) contiennent des parabènes, ces conservateurs dont la toxicité et les effets cancérigénes sont connus. Parmi les produits, de nombreux sirops contre la toux ; des pansements gastriques ; des traitements des troubles du transit intestinal ou des nausées et vomissements ; les formes en suspension buvables de médicaments cardiovasculaires ; ou antibiotiques ; des médicaments contre la fièvre et la douleur (formes génériques d’ibuprofène et de paracétamol) ; les traitements de l’asthénie. Les parabènes sont présents dans plusieurs produits cosmétiques, alimentaires et médicamenteux. Nous savons que 60% des médicaments vendus en Afrique sont des contrefaçons ; des placébos, inutiles, ou toxiques.

Si l’assertion SAnTE = BASE DE TOUT DEVELOPPEMEnT est juste ; alors notre développement n’est pas encore envisageable car les organisations internationales cherchent à protéger lessavoirs traditionnels dont les 90 % sont dans le tiers-monde. Pendant que les savants du nord sont dans nos forêts en train de piller ces savoirs, l’Afrique tend les mains au nord pour quémander les solutions à ses problèmes de santé. Solutions qui existent dans notre environnement immédiat ! Solutions que souvent le nord n’a pas.

Si vous avez un chien par exemple, donnez-lui un peu de liberté. S’il mange quelque chose qui ne lui convient pas, il sait chercher la plante émétisante pour vomir. Mettez cette plante dans 100 autres plantes, le chien ne se trompe pas. il prend toujours la plante qu’il faut pour l’effet qu’il veut. ne l’oublions pas. il ne s’empoisonne jamais et sait éviter les plantes toxiques ou vénéneuses. Avez-vous déjà vu un animal sauvage obèse ? L’Afrique doit prendre conscience de la nécessité de trouver des solutions locales à ses problèmes de santé locaux. Pourquoi l'africain qui est bien plus intelligent que l'animal ne devrait pas trouver dans son environnement les plantes et ressources nécessaires pour sa santé ?

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