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Douleur à l'oreille.L'otite moyenne aigüe (OMA) est une infection de l’oreille moyenne concernant le tympan ou la caisse du tympan, petite cavité osseuse située entre le tympan et l'oreille interne et contenant les osselets.Cette cavité est reliée par un conduit (la trompe d’Eustache) au rhinopharynx situé à l'arrière des fosses nasales. La trompe d’Eustache permet d’égaliser la pression de l’air entre les fosses nasales, l’oreille moyenne et l’air extérieur. L'otite moyenne aigüe (OMA) se caractérise par un épanchement généralement purulent situé dans la caisse du tympan. L'OMA est liée à une infection bactérienne ou virale, virus ou les bactéries contaminant le plus souvent l'oreille moyenne à la suite d’une rhino-sinusite ou d'une rhino-pharyngite en empruntant la trompe d'Eustache.

Une infection ou une inflammation du nez et des sinus (naso-sinusienne), une hypertrophie des végétations adénoïdes peuvent aussi provoquer une obstruction de la trompe d'Eustache, entraînant une sécrétion de liquide dans la caisse du tympan (otite séro-muqueuse) d'abord inflammatoire mais susceptible en s'infectant de se transformer en otite moyenne aigüe. Classiquement, l'OMA se manifeste par une fièvre et une douleur dans une ou deux oreilles (le plus souvent une seule) souvent très intense, mais pas toujours.

-douleur pulsatile (rythmée par les battements du coeur) dans l’oreille, pouvant irradier jusque dans la tête. -une sensation d’oreille bouchée, de baisse d’audition. -parfois des bourdonnements d'oreille ou des sensations de vertiges Lorsque le tympan est perforé, l'otite peut se traduire par un écoulement par le conduit auditif d'un écoulement plus ou moins purulent. Les signes peuvent être trompeurs, en particulier chez l'enfant et le nourrisson. Pensez à l'otite moyenne aigüe quand : -l'enfant se touche souvent l'oreille -l'enfant pleure, est irritabilité, à des difficultés à s’endormir -présente un manque d’appétit. -a des troubles digestifs, très trompeurs avec diarrhée et vomissements -a une baisse d’audition (l’enfant ne réagit pas aux sons faibles).

L'épanchement purulent peut exercer une forte pression sur le tympan fragilisé (dans ce cas la douleur est particulièrement intense) et provoquer une perforation du tympan, avec écoulement de pus parfois sanguinolent qui amène généralement la suppression de la douleur. Après guérison, le tympan se referme généralement spontanément, mais dans des délais très variables, pouvant durer parfois quelques mois.

L’otite est une inflammation de l’oreille très fréquente chez les enfants. Leur système immunitaire est en effet encore immature. Et le conduit entre l’oreille et le nez (trompe d’Eustache) où peuvent s’accumuler bactéries et virus est plus étroit chez eux. De plus, ils ne savent pas se moucher, ce qui empêche le nettoyage naturel du nez. L'otite survient souvent à la suite d’un rhume. Il existe trois types d’otites selon la partie de l’oreille qui est touchée : l’otite externe, l'otite moyenne et l'otite interne. L’otite moyenne est la plus répandue. L’otite externe est une inflammation bénigne de l’oreille externe qui survient souvent après une baignade.

Le cancer du sein est le cancer le plus fréquemment diagnostiqué chez la femme et le plus mortel. Ce cancer du sein peut aussi toucher l'homme mais dans une très faible proportion (moins de 1 % de l'ensemble des cas)

On distingue 4 stades de cancer du sein : Le premier stade (I) correspond à une petite tumeur de taille inférieure à 2 centimètres, sans atteinte ganglionnaire.Le second stade (II) correspond à une tumeur dont la taille est comprise entre 2 et 5 centimètres ou l'atteinte d'un à trois ganglions axillaires.Le troisième stade (III) correspond à un stade localement avancé, avec une tumeur de taille supérieure à 5 centimètres ou atteignant le peau plus de quatre ganglions. Le quatrième stade (IV) correspond au stade métastatique. Les cellules cancéreuses se sont propagées dans d'autres organes, tissus ou os, et ont formé des métastases.Attention, il y a souvent une confusion entre le stade et le grade.

Le cancer du sein est l'un des "meilleurs" cancers… C'est en tout cas l'un dont la mortalité est la moins élevée, du fait d'un diagnostic précoce

C'est un mouvement incontrôlé ou involontaire plus ou moins important et generalisé, le plus souvent le tremblement indique une fatigue nerveuse ou une trop forte consommationn d'excitants.

La voix est créee par l'air qui sort des poumons et traverse la gorge et la bouche, la voix est enrouée lorsqu'elle devient faible et voilée, si elle s'eteint totalement, on parle d'Aphonie.

C'est une maladie hemorragique vehiculé par les moustiques .Cette maladie est transmise par les singes, sa phase d'incubation est de pres de 5 jours, avec des malaises, maux de tetes,fievres,hemorragies et vomissements. Le malade peut avoir la langue rouge , les yeux rouges,les hemorragies à sang noir, le coeur,le foie et les reins touches. Cette maladie tue 50 a 80% des patients non traités au bout de 7 jours.

La nuque est la region qui se trouve à l'arrière de la tête et du cou.C'est normal d'avoir des douleurs à la nuque, mais si elles durent plus de 24 heures c'est anormal

Elle est caracterisee par des Diarrhees abondantes,la dehydratation. On peut en mourir en quelque heures si on ne se soigne pas. Le malade a une grande soif ,des douleurs musculaires, des extremites des membres qui font mal puis le ventre et la poitrine.On perd beaucoup de poids en moins de 24 h. Cette maladie est tres contagieuse. Le choléra est une infection bactérienne diarrhéique aiguë provoquée par le bacille de Gram négatif Vibrio cholerae, qui produit une toxine responsable des symptômes associés à la maladie.

L'incubation est courte (1 à 3 jours). La maladie débute brutalement par :Une diarrhée liquide en jet (plusieurs litres par jour) ;Des vomissements ;Un sentiment d'angoisse. Ces troubles digestifs majeurs provoquent :Une fatigue importante ;Une soif intense ; Des crampes musculaires traduisant la déshydratation massive. L'hypothermie (baisse de la température) est de règle. Une perte de poids rapide, un état stuporeux, le collapsus cardiovasculaire ne tardent pas à survenir et la mort est fréquente en l’absence de traitement. Il faut savoir que la majorité des personnes infectées par le choléra ne présentent aucun symptôme, bien que le bacille puisse être présent dans leurs selles pendant 7 à 14 jours. Moins de 20% des malades développent le choléra typique avec des signes de déshydratation modérée à sévère. Dans 80 à 90 % des cas, la contamination est bénigne ou modérément sévère. Dans ces cas-là, il n’est donc pas facile de distinguer cliniquement le choléra d'autres types de diarrhées aiguës.

Le début est brutal, sans signes annonciateurs. Avec ou sans douleur abdominale, une diarrhée liquide apparaît, elle est incolore, en « eau-de-riz » (contenant des grumeaux), d'odeur fade (douceâtre et écœurante) et extrêmement abondante (jusqu'à 1 litre par heure). Ces diarrhées incessantes épuisent le malade, elles sont dites en jet ou en fusées, pour devenir quasi-continues, souillant et inondant son environnement immédiat. Ces diarrhées s'accompagnent de vomissements de mêmes caractères, ils sont dus à un état d'acidose métabolique consécutif aux pertes diarrhéiques. En quelques heures, se constitue un tableau fait d'une asthénie intense ou de grande torpeur, une soif majeure que le malade ne peut satisfaire (à cause des vomissements), des crampes musculaires très douloureuses, d'abord des extrémités et des membres, puis de l'abdomen et du thorax.

Le choléra est une maladie extrêmement virulente qui peut provoquer une diarrhée aqueuse aiguë sévère. Les symptômes apparaissent entre 12 heures et 5 jours après l’ingestion d’aliments ou d’eau contaminée. Touchant les enfants comme les adultes, la maladie peut tuer en l’espace de quelques heures si aucun traitement n’est administré. La plupart des sujets infectés par V. cholerae ne manifestent aucun symptôme, bien que le bacille soit présent dans leurs selles pendant 1 à 10 jours après l’infection et soit éliminé dans l’environnement, où il peut potentiellement infecter d’autres personnes. Pour les personnes qui manifestent des symptômes, ceux-ci restent bénins à modérés dans la majorité des cas, tandis que chez une minorité, une diarrhée aqueuse aiguë, s’accompagnant de déshydratation sévère, se développe. En l’absence de traitement, elle peut entraîner la mort.

C'est le trouble de l'humeur qui se traduit par la surexcitation de l'individu, il parle trop, bouge sans arret, cet etat peut se transformer en une violence contre quelqu'un: on parle d'agressivité.

La tête est périodiquement douloureuse dans la zone du front

Il est naturel qu'une femme nourrisse son enfant au sein, la production du lait commence, aussitot après l'accouchement et dure aussi longtemps que le nourrisson tète, l'allaitement maternel est le meilleur moyen de nourrir un enfant, et l'enfant nourrit au sein est en meilleure santé que les autrès qui ne le sont pas. A la fin de l'allaitement: le SEVRAGE: c'est le passage à l'alimentation normale,le sevrage doit être progressif, on doit utiliser des aliments complets pour sevrer un enfant,on doit eviter de sevrer l'enfant trop tot( dans sa première années), et eviter de le sevrer brutalement. Un mauvais sevrage à des consequences nutritionnelles,emotionnelles et financieres, l'enfant maigrit, ils devient malade, il refuse de manger, et developpe des maladies. La meilleurs maniere de sevrer un enfant est de commencer à partir de 5 mois de lui donner des aliments complementaires, et peu à peu au fil des mois de diminuer la quantité de tétées pour augmenter la quantité de nourriture, c'est à partir de 15 mois que l'enfant peut commencer à manger comme la famille.

La poitrine contient deux principaux organes: le coeur et les poumons

Ce sont des insectes Culicidés,à ailes longues fines et ecaillées,les femelles ont une trompes les permettant de sucer du sang, il en existe plus de 3500 especes de moustiques.Ce sont des grands vecteurs d'epidemies. La plupart des moustiques femelles aiment le sang,c'est pour quoi il faut imperativement s'en proteger et proteger les enfants.

C'est la privation de sommeil, c'est normal d'avoir de temps en temps des Difficultés pour dormir causées par les gros repas, l'abus de thé , de café ou des soucis, mais lorsque ces troubles durent des semaines ou des mois, on parle d'insomnie.L'insomnie correspond à une diminution de la qualité et de la quantité du sommeil avec un sommeil insuffisamment récupérateur. Tout le monde peut être concerné un jour ou l'autre par une insomnie. Elle peut être passagère, survenant une ou deux nuits épisodiquement sans entraîner de retentissement.

Les symptômes de l'insomnie sont divers : difficultés à s'endormir, sommeil léger et irrégulier, réveils nocturnes, difficultés à se rendormir, impossibilité de dormir plus de 3 ou 4 heures, cauchemars et idées noires... Dans la plupart des cas, c'est l'angoisse en lien avec des problèmes personnels ou le stress de ne pas dormir qui alimente et aggrave l'insomnie. Lorsqu'il existe une répétition des épisodes d'insomnie jour après jour, les personnes affectées s'angoissent généralement à l'idée de passer une mauvaise nuit. Cette peur de l'insomnie rend le sommeil de l'insomniaque encore plus difficile, ce qui peut alors l'entraîner dans un cycle infernal.

L'epaule est l'articulation qui relie le bras au thorax,Les os present dans cette articulation sont l'humerus et l'omoplate.

La couleur normale des urines est jaune, mais elle depend de la quantité de boissons allant du jaune claire pour celui qui boit beaucoup d'eau et du jaune fonce pour celui qui n'en boit pas assez.Certains produits naturels ou medicaments peuvent donner une couleur anormale au urines sans que cela ne soit une maladie.

Les urines sont blanches Une infection avec présence de pus est le plus souvent en cause et un examen cyto-bactériologique des urines (ECBU) permet d'en faire le diagnostic. Beaucoup plus rarement, les urines peuvent contenir de la lymphe témoignant d'une communication entre les vaisseaux lymphatiques et les voies urinaires (séquelles post chirurgicales, infection parasitaire comme la filariose).

La couleur noire peut témoigner de la présence de vieux sang. Les causes sont alors les mêmes que pour une hématurie.

La fréquence des cystites chez la petite fille et la femme est très élevée, au point que rares sont celles qui n'en ont jamais au cours de leur vie. Le conduit urinaire permettant de vider la vessie (urètre) ne mesure pas plus de quatre centimètres chez la femme, contre une vingtaine chez l'homme. Germes intestinaux et génitaux ont donc vite fait de remonter l'urètre féminin jusqu'à la vessie, où ils provoquent une inflammation ou cystite. Etre diabétique est également un facteur de risque car les germes prolifèrent davantage dans des urines sucrées. Symptômes des urines troubles Seules les urines troubles en rapport une infection urinaire peuvent s'accompagner d'autres signes, comme une envie fréquente d'uriner quelques gouttes (pollakiurie) et/ou des brûlures lors des mictions. La pollakiurie et les brûlures mictionnelles peuvent manquer, en particulier chez la femme enceinte et chez les personnes âgées. Dans ce cas, le risque est grand de passer à côté de l'infection. C'est d'ailleurs pourquoi les femmes enceintes bénéficient d'une surveillance régulière de leurs urines.

Parasites dans les cheveux

Gonflement intestinal,problemes urogenitaux. Elle peut creer une Anemie, des infections et des malnutritions. Le malades peut etre fatigué, avoir des diarhées, des douleurs au ventre, de la toux, la fièvre,les gonflements de ventre et des lesions genitales . La bilharziose, communément appelée schistosomiase, est une maladie parasitaire qui sévit dans les régions tropicales et subtropicales. Elle est provoquée par des vers parasites et peut causer une infection sévère et de lourds handicaps.

Les premiers signes d’une infection sont des éruptions cutanées, suivies quelques semaines plus tard par de la fièvre, de la toux et des douleurs musculaires. Il existe 2 formes principales de schistosomiase : La schistosomiase intestinale : diarrhée, sang dans les selles et douleurs abdominales en sont les signes fréquents. Dans sa forme chronique, les complications sont l'augmentation du volume du foie et de la rate (hépatomégalie et splénomégalie). La schistosomiase urogénitale : la présence de sang dans les urines trahit souvent la schistosomiase urogénitale, qui peut entraîner des lésions au niveau de la vessie, l’urètre et les reins. On observe des retards de la croissance et du développement cognitif chez les enfants atteints et non-soignés.

Les vers adultes Schistosoma vivent et s'accouplent à l'intérieur des veinules du mésentère (pour S. japonicum et S. mansoni) ou de la vessie (pour S. haematobium). Certains œufs pénètrent dans la muqueuse de la vessie ou de l'intestin et se retrouvent dans les selles ou les urines; les autres œufs restent dans l'organe hôte ou sont transportés par le système porte vers le foie et, éventuellement, vers d'autres organes (p. ex., poumons, SNC, moelle épinière). Les œufs excrétés éclosent dans l'eau douce, libérant des miracidiums (premier stade larvaire) qui pénètrent dans les mollusques. Après multiplication, des milliers de cercaires à queue fourchue sont libérés et nagent dans l'eau. Les cercaires pénètrent la peau humaine quelques minutes après l'exposition. Lorsqu'ils pénètrent dans la peau, ils perdent leur queue fourchue et se transforment en schistosomules, qui, par la circulation, migrent vers le foie, où elles deviennent adultes. Les vers adultes migrent ensuite vers leur localisation préférentielle, dans les veines de l'intestin ou le plexus veineux de l'appareil génito-urinaire. Les œufs apparaissent dans les selles ou les urines de 1 à 3 mois après la pénétration des cercaires. La durée de vie d'un ver adulte varie de 3 à 7 ans. La taille des femelles varie de 7 à 20 mm; celle des mâles étant légèrement plus petite.

Fièvre aiguë de Katayama La fièvre de Katayama peut se manifester lors du début de la ponte des œufs, habituellement 2 à 4 semaines après une infestation importante. Les symptômes comprennent une fièvre, des frissons, de la toux, des nausées, des douleurs abdominales, une sensation de malaise, des myalgies, de l'urticaire, et une hyperéosinophilie, faisant penser à une maladie sérique. Les manifestations sont plus fréquentes et habituellement plus sévères chez les voyageurs que chez les résidents des régions d'endémies et durent habituellement plusieurs semaines.

Schistosomiase (bilharziose) chronique: Les symptômes de la schistosomiase (bilharziose) chronique sont dus aux réponses immunitaires de l'hôte aux œufs formant des granulomes dans les tissus. Au stade précoce, les ulcérations de la muqueuse intestinale provoquée par S. mansoni ou S. japonicum peuvent saigner et entraîner une diarrhée hémorragique. Avec l'extension des lésions, des fibroses localisées, des sténoses, des fistules et des papillomes peuvent se développer dans l'intestin. Les réactions granulomateuses autour des œufs de S. mansoni et de S. japonicum dans le foie ne mettent habituellement pas en jeu la fonction hépatique, mais peuvent déclencher une fibrose et une cirrhose, qui peuvent entraîner une hypertension portale, cause d'une splénomégalie et de varices œsophagiennes. Les varices œsophagiennes peuvent saigner, provoquant une hématémèse. Dans les poumons, les granulomes autour des œufs peuvent entraîner une artérite oblitérante, qui peut entraîner finalement une hypertension artérielle pulmonaire et un cœur pulmonaire chronique. Avec S. haematobium, les ulcérations de la paroi vésicale peuvent être la cause de dysurie, d'hématurie et de pollakiurie. Avec le temps, se développe une cystite chronique. Les sténoses peuvent entraîner un méga-uretère et une hydronéphrose. Les papillomes sont fréquents dans la vessie et des épithéliomas malpighiens peuvent se développer. Les pertes sanguines dans le tube digestif et l'appareil génito-urinaire entraînent souvent une anémie. Les surinfections génito-urinaires bactériennes sont fréquentes et des septicémies à Salmonella peuvent être associées à S. mansoni. Plusieurs espèces, notamment S. haematobium, peuvent atteindre le système génital chez l'homme et la femme, induisant de nombreux symptômes dont une infertilité. Des complications neurologiques peuvent se produire même dans le cas d'infections légères à Schistosoma. Les œufs ou les vers adultes situés dans la moelle épinière peuvent entraîner une myélite transverse, et ceux qui sont situés dans le cerveau peuvent produire des lésions et des convulsions focales.

C'est une dilatation permanente des veines,qui généralement touche le rectum. Ces dilatations veineuses sont physiologiques. Leur présence est normale, les hémorroïdes formant des sortes de coussinets qui tapissent la paroi interne du canal anal avec une fonction précise : assurer la régularisation fine du sphincter et sa bonne fermeture. Normalement donc, les hémorroïdes contrôlent en particulier l’élimination des gaz digestifs. Et cette « usine à gaz » est partagée en deux réseaux hémorroïdaires : externe au niveau de la marge de l’anus, et interne dans le canal anal, situé plus haut.

Il se traduit par une gène, une pesanteur, des démangeaisons ou une sensation de brûlure, voire une vive douleur au niveau de la région anale. Les selles peuvent contenir du sang – rouge vif – qui va tacher le papier toilette ou éclabousser largement la cuvette… Parfois aussi en s’essuyant, le malade découvre une petite boule dure et douloureuse près de l’anus. Autre point très important : la douleur n’est pas du tout corrélée au volume de la dilatation. Des hémorroïdes volumineuses peuvent rester indolores indéfiniment, alors que de toutes petites dilatations pourront entraîner des douleurs très pénibles.

L’hémorroïde externe, qui se présente comme une protubérance près de l’anus, entraîne des démangeaisons et l’émission de sang rouge vif à l’occasion des selles. Il arrive aussi qu’elle soit le siège d’une inflammation. Et si un caillot s’y forme, elle devient dure et très douloureuse. La bonne nouvelle, c’est que l’évolution de ces hémorroïdes externes est bénigne. Les symptômes régressent en quelques jours avec un traitement médical et un bon contrôle de l’hygiène de vie. Les hémorroïdes internes pour leur part, se compliquent plus volontiers que les hémorroïdes externes. Elles aussi peuvent ne se traduire que par des démangeaisons ou des saignements. Mais il arrive qu’elles descendent le long du canal anal et s’extériorisent, formant un « paquet » hémorroïdaire très douloureux au niveau de l’anus. Le phénomène peut être intermittent – par exemple au moment d’aller à la selle – ou permanent. Enfin ces hémorroïdes internes peuvent se trouver emprisonnées par le sphincter. Elles constituent alors un étranglement hémorroïdaire : une urgence chirurgicale à part entière.

C'est un etat d hyperglycemie crée par la concentration excèssive de glucose dans le sang.A jeûn le taux de glucose dans le sang est de 1.26g/l,au dela on parle d'hyperglycemie.Chez une personne saine le pancréas secrète de l'insuline qui est une hormone qui regule le taux de glucose dans le sang,les diabétiques ont un problème dans leurs secretion d'insuline.

Le diabète est une maladie chronique qui apparaît lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou que l’organisme n’utilise pas correctement l’insuline qu’il produit. L’insuline est une hormone qui régule la concentration de sucre dans le sang. L’hyperglycémie, ou concentration sanguine élevée de sucre, est un effet fréquent du diabète non contrôlé qui conduit avec le temps à des atteintes graves de nombreux systèmes organiques et plus particulièrement des nerfs et des vaisseaux sanguins.

Principaux faits Le nombre des personnes atteintes de diabète est passé de 108 millions en 1980 à 422 millions en 2014 (1). La prévalence mondiale du diabète* chez les adultes de plus de 18 ans est passée de 4,7% en 1980 à 8,5% en 2014 (1). La prévalence du diabète a augmenté plus rapidement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Le diabète est une cause majeure de cécité, d’insuffisance rénale, d’accidents cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et d’amputation des membres inférieurs. En 2015, on a estimé que 1,6 million de décès étaient directement dus au diabète et que 2,2 millions de décès supplémentaires devaient être attribués à l’hyperglycémie en 2012**. Près de la moitié des décès dus à l’hyperglycémie surviennent avant l’âge de 70 ans. L’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7e cause de décès dans le monde (1). Avoir une alimentation saine, une activité physique régulière, un poids normal et éviter la consommation de tabac, sont autant de moyens de prévenir ou de retarder l'apparition du diabète de type 2. Un régime alimentaire sain, l’activité physique, des médicaments, un dépistage régulier et le traitement des complications permettent de traiter le diabète et d’éviter ou de retarder les conséquences qu’il peut avoir. Qu'est-ce-que le diabète? Le diabète est une maladie chronique qui apparaît lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou que l’organisme n’utilise pas correctement l’insuline qu’il produit. L’insuline est une hormone qui régule la concentration de sucre dans le sang. L’hyperglycémie, ou concentration sanguine élevée de sucre, est un effet fréquent du diabète non contrôlé qui conduit avec le temps à des atteintes graves de nombreux systèmes organiques et plus particulièrement des nerfs et des vaisseaux sanguins. En 2014, 8,5% de la population adulte (18 ans et plus) était diabétique. En 2015, le diabète a été la cause directe de 1,6 million de décès et en 2012 l'hyperglycémie avait causé 2,2 millions de décès supplémentaires. Diabète de type 1 Le diabète de type 1 (précédemment connu sous le nom de diabète insulino-dépendant ou juvénile) est caractérisé par une production insuffisante d’insuline3 et exige une administration quotidienne de cette dernière. La cause de diabète de type 1 n'est pas connue, et en l'état des connaissances actuelles, il n'est pas évitable. Les symptômes sont les suivants: excrétion excessive d’urine (polyurie), sensation de soif (polydipsie), faim constante, perte de poids, altération de la vision et fatigue. Ces symptômes peuvent apparaître brutalement. Diabète de type 2 Le diabète de type 2 (précédemment appelé diabète non insulino-dépendant ou diabète de la maturité) résulte d’une mauvaise utilisation de l’insuline par l’organisme. Le diabète de type 2 représente la majorité des diabètes rencontrés dans le monde. Il est en grande partie le résultat d’une surcharge pondérale et de la sédentarité. Ses symptômes peuvent être les mêmes que ceux du diabète de type 1 mais sont souvent moins marqués. De ce fait, la maladie peut être diagnostiquée plusieurs années après son apparition, une fois les complications déjà présentes.

Principaux faits Le nombre des personnes atteintes de diabète est passé de 108 millions en 1980 à 422 millions en 2014 (1). La prévalence mondiale du diabète* chez les adultes de plus de 18 ans est passée de 4,7% en 1980 à 8,5% en 2014 (1). La prévalence du diabète a augmenté plus rapidement dans les pays à revenu faible ou intermédiaire. Le diabète est une cause majeure de cécité, d’insuffisance rénale, d’accidents cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et d’amputation des membres inférieurs. En 2015, on a estimé que 1,6 million de décès étaient directement dus au diabète et que 2,2 millions de décès supplémentaires devaient être attribués à l’hyperglycémie en 2012**. Près de la moitié des décès dus à l’hyperglycémie surviennent avant l’âge de 70 ans. L’OMS prévoit qu’en 2030, le diabète sera la 7e cause de décès dans le monde (1). Avoir une alimentation saine, une activité physique régulière, un poids normal et éviter la consommation de tabac, sont autant de moyens de prévenir ou de retarder l'apparition du diabète de type 2. Un régime alimentaire sain, l’activité physique, des médicaments, un dépistage régulier et le traitement des complications permettent de traiter le diabète et d’éviter ou de retarder les conséquences qu’il peut avoir. Qu'est-ce-que le diabète? Le diabète est une maladie chronique qui apparaît lorsque le pancréas ne produit pas suffisamment d’insuline ou que l’organisme n’utilise pas correctement l’insuline qu’il produit. L’insuline est une hormone qui régule la concentration de sucre dans le sang. L’hyperglycémie, ou concentration sanguine élevée de sucre, est un effet fréquent du diabète non contrôlé qui conduit avec le temps à des atteintes graves de nombreux systèmes organiques et plus particulièrement des nerfs et des vaisseaux sanguins. En 2014, 8,5% de la population adulte (18 ans et plus) était diabétique. En 2015, le diabète a été la cause directe de 1,6 million de décès et en 2012 l'hyperglycémie avait causé 2,2 millions de décès supplémentaires. Diabète de type 1 Le diabète de type 1 (précédemment connu sous le nom de diabète insulino-dépendant ou juvénile) est caractérisé par une production insuffisante d’insuline3 et exige une administration quotidienne de cette dernière. La cause de diabète de type 1 n'est pas connue, et en l'état des connaissances actuelles, il n'est pas évitable. Les symptômes sont les suivants: excrétion excessive d’urine (polyurie), sensation de soif (polydipsie), faim constante, perte de poids, altération de la vision et fatigue. Ces symptômes peuvent apparaître brutalement. Diabète de type 2 Le diabète de type 2 (précédemment appelé diabète non insulino-dépendant ou diabète de la maturité) résulte d’une mauvaise utilisation de l’insuline par l’organisme. Le diabète de type 2 représente la majorité des diabètes rencontrés dans le monde. Il est en grande partie le résultat d’une surcharge pondérale et de la sédentarité. Ses symptômes peuvent être les mêmes que ceux du diabète de type 1 mais sont souvent moins marqués. De ce fait, la maladie peut être diagnostiquée plusieurs années après son apparition, une fois les complications déjà présentes. Récemment encore, ce type de diabète n’était observé que chez l’adulte mais on le trouve désormais aussi chez l’enfant. Diabète gestationnel Il se caractérise par une hyperglycémie, c’est-à-dire une élévation de la teneur en sucre du sang, avec des valeurs supérieures à la normale, mais inférieures à celles posant le diagnostic de diabète, apparaissant pendant la grossesse. Les femmes ayant un diabète gestationnel ont un risque accru de complications pendant la grossesse et à l’accouchement. Leur risque ainsi que celui de leur enfant, d’avoir un diabète de type 2 à un stade ultérieur de leur vie augmente également. Il est très souvent diagnostiqué au cours du dépistage prénatal et non pas suite à des symptômes.

En cas de diabète de type 1, on observe généralement : des envies importantes d’uriner et de boire, une bouche sèche un manque d’énergie et de la fatigue un amaigrissement des troubles de la vue des malaises, nausées et douleurs abdominales Pour le diabète de type 2, il y a très peu de symptômes sauf en cas de complications tardives.

La stérilité c'est l'incapacité à avoir un enfant, on admet qu'un couple est sterile si après deux ans de relations sexuelles en periode feconde il n'ya pas d'enfant,

C'est le retard de l'evacuation des selles, elles sont dures et douleureuses, en moyenne on fait une selle par jour, mais cela varie. Si vous allez à la selle deux fois par semaine ou moins, vous souffrez certainement de constipation. C'est un trouble très fréquent, qui traduit un ralentissement du transit intestinal (diminution de la fréquence ou du volume des selles). Ce problème est quasi essentiellement féminin. La constipation survient généralement chez une personne lorsque celle-ci n'a pas assez de fibres et/ou d'eau dans son alimentation. Elle peut également résulter d'un manque d'activité physique ou être un effet secondaire de la prise de certains médicaments. Tout le monde vit ce phénomène de temps en temps, sachez qu'il existe un certain nombre de remèdes naturels et légers permettant de soulager et de prévenir la constipation. En opérant quelques petits ajustements dans votre routine quotidienne, vous pourrez faire face à ce problème sans rien dépenser et en restant dans l'intimité de votre foyer. Les remèdes naturels et quelques modifications de votre style de vie pourront vous aider à affronter dès maintenant votre problème de constipation et éviter qu'il ne survienne à nouveau dans le futur.

Si elle est plus courante chez les femmes et chez les personnes âgées, on l'observe aussi chez les bébés. Chez les enfants, elle n'est pas rare non plus, en particulier chez ceux qui "se retiennent" car ils n'aiment pas aller aux toilettes

Évitez les aliments industriels. Les aliments industriels et les « fastfoods » peuvent contribuer à la constipation chronique. Ils sont souvent riches en graisses, pauvres en fibres et ne comportent pas beaucoup d'éléments nutritifs. Il vaut mieux rester à bonne distance des aliments cités ci-dessous . Les produits céréaliers raffinés ou enrichis. Le pain blanc, les pâtisseries, la plupart des pâtes ou encore les céréales du petit-déjeuner contiennent souvent de la farine qui a été débarrassée de la plupart de ses fibres et de sa valeur nutritionnelle. Recherchez plutôt des céréales complètes. La malbouffe. Les aliments riches en graisses et en sucres peuvent être à l'origine de la constipation. Votre corps essaiera d'abord de tirer les calories de la graisse et cela va ralentir la digestion . La saucisse, la viande rouge et la charcuterie sont riches en graisses et en sel. Favorisez plutôt les viandes maigres comme le poisson, le poulet et la dinde. Les chips, les frites et les produits similaires ne comportent pas beaucoup de nutriments et sont pauvres en fibres. Préférez plutôt des frites de patates douces cuites au four ou bouillies, ou encore du maïs soufflé.

N'ignorez pas les rythmes naturels de votre corps. Votre corps vous dira lorsqu'il est prêt à aller à la selle . Plusieurs options sont possibles en ce qui concerne une fréquence de selles considérée comme « normale ». Beaucoup de gens y vont en moyenne 1 à 2 fois par jour, mais d'autres n'y vont que 3 fois par semaine. Du moment que votre corps se sent bien, vous n'avez pas à vous inquiéter de votre fréquence de selles. La constipation peut survenir ou être aggravée par le fait de ne pas pouvoir aller aux toilettes lorsque vous en avez envie. Si vous repoussez fréquemment vos envies, votre corps risque d'arrêter de vous envoyer le signal. Repousser ce moment le rendra plus difficile plus tard.

Faites du sport. Si vous le pouvez, essayez de faire régulièrement des petites pauses « marche » pour masser vos intestins. Commencez par marcher doucement pendant environ 30 secondes. Augmentez progressivement le rythme jusqu'à marcher le plus vite possible. Faites une marche rapide pendant environ 5 minutes. Ralentissez ensuite pendant les 5 minutes suivantes. Vous devriez au total marcher 10 minutes toutes les heures . Si vous ne pouvez pas consacrer ce temps à la marche à cause de vos autres responsabilités, ne vous en faites pas. Essayez simplement d'augmenter le nombre de moments où vous marchez plus vite que d'habitude. Si votre constipation est sévère, essayez de ne pas vous décourager par le caractère inconfortable de la situation. C'est préférable à une journée supplémentaire de constipation.

Si vous avez un problème de constipation récurrent et qu'aucune des méthodes ci-dessus ne fonctionne, consultez un professionnel de la santé pour lui parler de votre problème. Si votre situation ne s'améliore pas, vous pouvez combiner plusieurs méthodes. Vous pouvez par exemple augmenter vos apports en fibres, aller marcher, prendre une infusion au séné ou essayer quelques postures de yoga. En revanche, ne prenez pas plus d'un type de laxatif à la fois. Le fait de consommer des aliments riches en fibres et de boire beaucoup d'eau soulagera non seulement votre constipation, mais aussi la préviendra. Même si c'est difficile, essayez de vous détendre et de laisser vos intestins (et la gravité) faire la majeure partie du travail lorsque vous allez aux toilettes. Essayez de boire de l'eau citronnée. L'acide du citron va ramollir les selles et faciliter le mouvement de vos intestins. Il est difficile de prévoir quelle méthode va fonctionner, à quel point elle va fonctionner et quand. Assurez-vous que vous aurez le temps et la possibilité d'utiliser les toilettes lorsque vous en aurez besoin. L'eau chaude avec du miel devrait également vous aider.

Les convulsions sont des crises pendant lesquelles les muscles du corps se contractent et entraine momentanément la raideur du corps et des secouements de jambes ,elles sont periodiques, et on peut avoir des emissions d'urines, les yeux blancs qui tournent vers le haut et la perte de conscience.

Elle est transmise par un moustique Aedes portant le virus de la dengue. Cette maladie entrainne la fievre, les maux de tete, les douleurs musculaires et articulaires, la fatigues, des nausées et des vomissements.La dengue est due à un arbovirus (virus transmis par les insectes), appartenant à la famille des Flaviviridae, du genre flavivirus, comme le virus West Nile et de la fièvre jaune. Il est transmis à l’homme par les moustiques du genre Aedes lors d’un repas sanguin.

La dengue est une maladie grave de type grippal qui touche les nourrissons, les jeunes enfants et les adultes mais dont l’issue est rarement fatale. On suspectera la dengue en présence d’une forte fièvre (40°C), accompagnée de 2 des symptômes suivants: céphalées sévères, douleurs rétro-orbitaires, musculaires, articulaires, nausées, vomissements, adénopathie ou éruption cutanée. Les symptômes perdurent en général de 2 à 7 jours et apparaissent à la suite d’une période d’incubation de 4 à 10 jours après la piqûre d’un moustique infecté. La dengue sévère est une complication potentiellement mortelle due à une fuite plasmatique, une accumulation liquidienne, une détresse respiratoire, des hémorragies profuses ou une insuffisance organique. Les signes d’alerte surviennent de 3 à 7 jours après les premiers symptômes, conjointement à une baisse de la température (en dessous de 38°C). On peut alors observer des douleurs abdominales sévères, des vomissements persistants, une hyperpnée, des saignements des gencives, de la fatigue, une agitation, du sang dans les vomissures. La mort peut survenir dans les 24 à 48 heures suivantes de cette phase critique; un traitement médical adapté est alors nécessaire pour éviter les complications et le risque de décès.

L'habitude des enfants de tout mettre dans la bouche peut causer des empoisonements par des produits chimiques ou dangereux.

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