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une infection est dite « respiratoire » lorsqu’elle atteint l’une des structures composant le système respiratoire, à savoir le nez, les oreilles, la gorge, le larynx, la trachée, les bronches ou les poumons.Parmi l’ensemble des infections respiratoires aiguës, la pneumonie est la plus meurtrière.

Une tache dans l'œil peut se manifester de deux façons différentes. Il peut en effet s'agir de taches noires ou lumineuses qui apparaissent dans le champ visuel et entraînent des troubles de la vision (scotome). Les tâches situées sur la conjonctive, c'est-à-dire la partie blanche de l'œil, ne perturbent pas la vision. Les taches avec troubles visuels sont appelées scotomes. Il en existe plusieurs types, chacun pouvant toucher un seul œil ou les deux yeux à la fois. Les scotomes peuvent être permanents ou ne durer que quelques minutes, comme ors de l'aura migraineuse. On parle de scotome négatif lorsque cette tache entraîne une perte de champs visuel. On parle de scotome positif quand la zone de la tâche est vue de manière floue

Baisse de l'acuité visuelle, vision floue, vision double ou perception déformée des objets : ces différents troubles de la vue sont causés par des affections plus ou moins fréquentes, au caractère bénin ou plus sérieux

Trouble bénin de la vision, l'astigmatisme est néanmoins inconfortable au quotidien et cache des pathologies bien plus graves. Des lunettes, des lentilles ou une chirurgie peuvent corriger ce trouble de la vue. • Presbytie Due à l'âge, la presbytie se caractérise par une baisse d'acuité visuelle de près. L'image se forme en arrière de la rétine (comme dans l'hypermétropie), le cristallin n'étant plus capable d'accommoder suffisamment

Fatigue oculaire, difficultés à lire, incapacité à faire la mise au point, vision floue de près… Ce sont les premiers signes de la presbytie, un déclin naturel de l'accommodation visuelle qui nécessite une correction spécifique, généralement après 40 ans. Symptômes, diagnostic, correction, différence avec l'hypermétropie… Le point sur ce trouble de la vision. Symptômes • Perte brutale de la vue partielle ou totale : une maladie de Horton ? La maladie de Horton fait partie des maladies auto-immunes, dont les causes sont encore inconnues. Une artérite temporale peut entraîner dans les cas les plus graves la perte brutale, partielle ou totale de la vision d'un œil (cécité). Cette complication intervient dans 10% des cas si un traitement n'est pas mis en place rapidement. Il s'agit d'une véritable urgence médicale pour l'œil

Le vieillissement du cristallin est la principale cause de la cataracte qui est donc essentiellement liée à l'âge des patients. Elle ne survient pas avant 63 ans dans près de 90% des cas. On compte également d'autres facteurs de risques : une exposition importante et régulière aux rayonnements solaires (sans protection des yeux), certains troubles alimentaires (consommation excessive d'alcool) ou encore le diabète sucré et l'obésité. Une cataracte peut également être provoquée par un traitement corticoïde pris à long terme mais aussi par un gros traumatisme. Dans ce cas d'un accident ou d'un coup violent, on parlera alors de cataracte traumatique. L'opacification du cristallin de l'œil entraîne une moins bonne perception des couleurs et des contrastes. Cette perte est accompagnée d'une sensation de voile devant les yeux. Ce voile a tendance à s'assombrir à mesure que la maladie évolue. Parmi les autres conséquences à moyen et plus long terme : une sensation de gêne à la lumière (photophobie) et, en l'absence de traitement, la cécité.

Vous devez vous faire opérer de la cataracte ? Comment s'y préparer, que choisir entre l'implant et la lentille, savoir si l'opération est douloureuse. Les réponses aux questions que vous vous posez certainement. • Une perte de la vision périphérique : un glaucome ? Le glaucome chronique est fréquemment associé à une hypertonie oculaire, qui se définit par une pression intra-oculaire anormale. Celle-ci est causée par la dégénérescence du trabéculum, un tissu fibreux qui lorsqu'il vieillit, résorbe moins vite l'humeur aqueuse. D'autres facteurs (notamment génétiques) sont en causes dans la fragilisation du nerf optique, à l'origine d'un glaucome chronique. Enfin, certaines maladies chroniques (diabète et/ou hypertension artérielle) prédisposent également à l'apparition d'un glaucome chronique. "Une perte de la vision périphérique qui avance progressivement est le symptôme le plus important du glaucome Glaucome chronique ou glaucome aigu ? Forme la plus fréquente de glaucome (80 à 90% des cas), le glaucome chronique non traité évolue systématiquement vers une dégénérescence des fibres nerveuses qui relient les cellules de la rétine au cerveau. Les dommages sont irréparables : la complication la plus grave d'un glaucome chronique est donc la perte irréversible de la vision. Plusieurs facteurs prédisposent par ailleurs à l'apparition d'un glaucome aigu (ou "glaucome par fermeture de l'angle") comme l'hypermétropie, la cataracte et le terrain génétique. La forme aiguë du glaucome est une urgence : en effet, un glaucome aigu peut entraîner la cécité en 48 heures par compression de la papille de la rétine.

La BPCO est une maladie respiratoire chronique définie par une obstruction permanente et progressive des voies aériennes. Elle est fréquente et certainement sous-diagnostiquée car les symptômes peuvent être frustres ou isolés . Elle s'accompagne d'un risque élevé de complications infectieuses bronchique et pulmonaires.Il est possible de faire face à ce risque élevé grâce à quelques éléments de prévention notamment pour certains types de pneumonies telles que les pneumonies à pneumocoque.

La BPCO est définie comme un trouble ventilatoire obstructif se caractérisant par un rapport VEMS/CVF < 70 % après administration d’un bronchodilatateur au cours d'explorations fonctionnelles respiratoires .Elle s’accompagne fréquemment d'une inflammation chronique des voies aériennes pouvant conduire à long terme à une diminution des capacités respiratoires

La BPCO met plusieurs années à se développer et progresser.

Chez les personnes atteintes de BPCO, une légère toux productive d’expectorations claires se développe au cours de la quarantaine ou de la cinquantaine. La toux et la production d’expectorations sont généralement plus prononcées le matin au lever du lit. La toux et la production d’expectorations peuvent persister tout au long de la journée. Une dyspnée (essoufflement) peut se manifester à l’effort. Souvent, les personnes pensent d’abord que le vieillissement ou une mauvaise condition physique en sont responsables, et elles ont tendance à diminuer leur activité physique par réaction. Parfois, la dyspnée ne se produit initialement que lors d’une infection respiratoire (généralement, une bronchite), lorsque la toux est plus fréquente et que le volume de l’expectoration augmente. La couleur des expectorations passe souvent du transparent ou blanc au jaune ou au verdâtre.

Avec le temps, beaucoup de personnes développent un thorax en tonneau, car la taille des poumons augmente par piégeage aérien. La baisse de l’oxygénation du sang donne à la peau une couleur bleuâtre caractéristique (cyanose). La survenue d’hippocratisme digital est rare et fait suspecter un cancer du poumon ou d’autres troubles pulmonaires. Les zones fragiles des poumons peuvent se rompre et permettre à l’air de passer des poumons à la cavité pleurale, une affection appelée pneumothorax. Cette survenue provoque souvent une douleur brutale et une dyspnée et impose une intervention immédiate par le médecin pour éliminer l’air de la cavité pleurale.

Une poussée (ou exacerbation) de la BPCO est caractérisée par une aggravation des symptômes suivants : en général, la toux, une quantité accrue d’expectorations et la dyspnée. La couleur des expectorations passe au jaune ou au vert et parfois apparaissent fièvre et douleurs diffuses. Une dyspnée peut apparaître même au repos, et être parfois suffisamment grave pour imposer l’hospitalisation. Les poussées peuvent être provoquées par des pics de pollution atmosphérique, les allergènes habituels ou une infection bactérienne ou virale. Pendant les poussées graves, les personnes peuvent développer une affection menaçant le pronostic vital, qu’on désigne sous le terme d’insuffisance respiratoire aiguë. Parmi les symptômes possibles, on trouve la dyspnée grave (sensation ressemblant à la noyade), l’anxiété sévère, des sueurs, une cyanose et de la confusion.

La peau et le blanc des yeux prennent une teinte jaunâtre chez les personnes présentant une jaunisse. L’ictère apparaît en présence d’un excès de bilirubine (pigment jaune) dans le sang, une affection connue sous l’appellation d’hyperbilirubinémie.

La bilirubine se forme lorsque l’hémoglobine (la partie des globules rouges qui transporte l’oxygène) se dégrade dans le cadre du processus normal de recyclage des globules rouges anciens ou endommagés. La bilirubine est transportée dans le sang vers le foie, où elle se lie à la bile. La bilirubine est ensuite évacuée via les canaux biliaires dans le tube digestif, de façon à pouvoir être éliminée de l’organisme. Une grande partie de la bilirubine est éliminée dans les selles, mais une faible quantité est éliminée dans les urines. Si la bilirubine ne peut être excrétée dans le foie et les canaux biliaires suffisamment vite, elle s’accumule dans le sang et se dépose dans la peau. Il en résulte un ictère. De nombreuses personnes souffrant d’ictère ont également des urines sombres et des selles de couleur claire. Ces changements s’opèrent lorsqu’un blocage ou un autre problème empêche l’élimination de la bilirubine dans les selles, ce qui augmente son élimination dans les urines.

Si les taux de bilirubine sont élevés, les substances formées lorsque la bile est décomposée peuvent s’accumuler, causant des démangeaisons sur tout le corps. Toutefois, l’ictère par lui-même provoque peu d’autres symptômes chez l’adulte. Cependant, chez les nouveau-nés présentant un ictère, des taux de bilirubine élevés (hyperbilirubinémie) peuvent provoquer une forme d’atteinte cérébrale, appelée ictère nucléaire. Par ailleurs, de nombreux troubles qui provoquent un ictère, en particulier une maladie hépatique grave, entraînent d’autres symptômes ou problèmes graves. Chez les personnes atteintes de maladie hépatique, ces symptômes peuvent comprendre des nausées, des vomissements et des douleurs abdominales, et l’apparition de petits vaisseaux sanguins en forme d’étoile visibles sur la peau (angiomes stellaires). Les hommes peuvent présenter une augmentation du volume mammaire, une réduction du volume des testicules et une croissance de poils pubiens, comme chez la femme.

Lorsque l’atteinte hépatique est sévère, l’ictère peut s’accompagner de problèmes graves, tels qu’une dégradation de la fonction cérébrale et une tendance aux saignements ou aux ecchymoses. L’hépatite virale aiguë est une cause fréquente d’ictère, en particulier chez les personnes jeunes et autrement en bonne santé. Les personnes doivent rapidement consulter un médecin si elles présentent un ictère, de façon à ce que le médecin puisse rechercher des causes graves. La cholestyramine peut soulager les démangeaisons

Un ongle incarné est un problème fréquent affectant plus volontiers les ongles des pieds, particulièrement celui du gros orteil. Les bords latéraux de l’ongle touché s’enfoncent dans les tissus le bordant.Un ongle est composé de kératine. La kératine est une protéine, riche en soufre, produite et utilisée par l’organisme comme élément structural d’un tissu. C’est le constituant majoritaire des phanères (cheveux, ongles, poils, etc.). La kératine de l’ongle repose sur le lit unguéal et s’insère sur le doigt par la racine de l’ongle. Enfin, l’ongle est bordé par un repli cutané que l’on nomme « repli unguéal ». L’ongle joue plusieurs rôles. En premier, il permet la protection des phalanges sous-jacentes, tout en assurant une certaine esthétique du pied ou de la main. Ensuite, l’ongle permet d’augmenter la discrimination tactile. Par ailleurs, les ongles de pieds interviennent dans la course et la marche. Enfin, les ongles sont également des moyens de grattage, voire même de défense.

Un ongle est dit incarné lorsque ses extrémités latérales pénètrent dans les tissus le bordant. L’atteinte se traduit par un bourrelet rouge et douloureux, témoignant d’une inflammation et pouvant s’infecter si aucun traitement n’est mis en place. Cette affection touche plus fréquemment les pieds, particulièrement l’ongle du gros orteil. Un ongle incarné est le plus souvent dû à une coupe trop courte et/ou trop arrondie de ce dernier. En effet, il est recommandé de ne jamais couper l’ongle à ras mais de laisser 2 à 3 mm afin de s’assurer que la peau ne puisse pas passer par dessus le rebord de l’ongle.

L’ongle incarné est caractérisé par un gonflement et une rougeur de la zone (voire parfois d’une coupure de la peau) suivis de l’apparition d’un bourrelet autour de l’ongle. Ces symptômes sont associés à une douleur plus ou moins importante. La douleur s’intensifie si l’on appuie dessus, dans les chaussures et lors d’une activité sportive. Les différents stades de l’affection: -Le premier stade est une atteinte légère de l’ongle (apparition du bourrelet péri-unguéal) se traduisant par une douleur modérée, intermittente et ressentie uniquement lors du chaussage ou d’une activité physique. -Le deuxième stade est plus douloureux. Le bourrelet péri-unguéal est chaud, rouge et tuméfié. La douleur est quasi permanente et s’intensifie lors du chaussage, pouvant occasionner une gêne lors de la marche. -Le troisième stade est grave. Le bourrelet péri-unguéal est hypertrophié, irrité et très douloureux. Apparaît ensuite un écoulement purulent et malodorant. L’infection chronique mène finalement à l’apparition d’un botryomycome (bourgeonnement saignant aisément).

L’infection pulmonaire désigne toutes les maladies pouvant toucher des structures pulmonaires comme les bronches (bronchite aiguë) ou les alvéoles pulmonaires (pneumonie aiguë). La gravité d’une infection pulmonaire est très variable. Elle peut être bénigne ou au contraire, très grave, pouvant menacer le pronostic vital. L'expression "infection pulmonaire" (ou pneumopathie) désigne les maladies majoritairement infectieuses pouvant toucher les poumons (bronchite aiguë, pneumonies typiques et atypiques...) et leurs complications. Les infections pulmonaires et broncho-pulmonaire sont des infections respiratoires basses qui touche n'importe quelle partie des poumons : les bronches ( bronchites ou BPCO), le parenchyme (pneumonies et suppurations pulmonaires et pleuropulmonaire) ou les deux à la fois (broncho-pneumonie).

Les pneumonies, c’est-à-dire l’infection avec inflammation et sécrétions attrapées dans les alvéoles pulmonaires, peuvent être : D’origine virale : virus de la grippe, virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) et parfois le virus de l’ herpès ; D'origine bactérienne, le plus souvent par Haemophilus influenzae, par staphylocoque doré ou pneumoniae. Les mêmes agents infectieux peuvent être responsables de bronchopneumonie. Dans ce cas, en général, une bronchite aiguë précède la bronchopneumonie. Autrement dit, c’est une bronchite qui "descend vers les alvéoles". Ce genre de cas s’observe également chez les patients qui ont une BPCO qui se surinfecte.

En dehors d’une situation de déficit immunitaire ou chez un nourrisson ou une personne très âgée, les infections pulmonaires virales sont généralement bénignes (sauf celles provoquées par le virus du SRAS, qui ont tendance à se compliquer assez rapidement d’une insuffisance respiratoire). Comme leurs signes (sauf pour le SARS) sont très similaires aux pneumonies bactériennes (mais plus progressifs et bénignes), les patients sont parfois traités avec des antibiotiques qui n’ont pourtant aucun effet sur les virus responsables de ces pneumonies virales. Parmi les symptômes les plus courants d'une pneumonie virale (similaires à la grippe), on trouve la fièvre, les courbatures, la fatigue, la toux, une gêne respiratoire plus ou moins prononcée selon la gravité

La pneumonie bactérienne est une maladie grave entraînant jusqu'à 15 % de mortalité. Les décès sont plutôt observés chez les plus de 65 ans, en cas de maladie grave (en particulier cardiaque, rénale ou hépatique) ou d’immunodépression. Parmi les pneumonies bactériennes, on distingue les pneumonies communautaires, c’est-à-dire, celles acquises dans la communauté (par contamination à l’école, au travail, dans les transports, par la climatisation…) et celles acquises à l’hôpital ou pneumonies nosocomiales. Parmi ces 2 pneumonies bactériennes, les pneumonies nosocomiales sont les plus redoutables car, acquises à l’hôpital, il s’agit en général de bactéries soit atypiques, soit multirésistantes aux antibiotiques , ou les deux.

Les fibromes utérins sont des tumeurs bénignes (non cancéreuses) situées sur la paroi de l’utérus, de façon isolée ou en groupe.Aussi appelés myomes, méiomyomes ou fibromyomes utérins, les fibromes apparaissent généralement chez les femmes après l’âge de 30 ans. Leur taille peut varier de la grosseur d’un pois à celle d’un pamplemousse, voire davantage.

Ce sont des croissances non cancéreuses de l'utérus qui apparaissent souvent en âge de procréer. Leur taille peut être tellement petite qu’ils ne peuvent pas être détectés par l’œil humain, ou tellement grande qu’ils peuvent dilater l’utérus. Bien qu’ils soient généralement anodins, les fibromes utérins peuvent causer de l'inconfort et entraîner des complications comme de l’anémie ou, dans des cas plus rares, une augmentation des risques au cours d’une grossesse. De nombreuses femmes ont des fibromes utérins au cours de leur vie sans même s’en apercevoir et sans ressentir aucun symptôme. Les éventuels signes révélateurs dépendent de l’emplacement, de la taille et du nombre de fibromes. Dans certains cas, ils peuvent provoquer : des saignements menstruels abondants,des règles de plus d’une semaine,une pression ou une douleur pelvienne,une miction fréquente,une difficulté à vider la vessie,une constipation des douleurs au dos ou aux jambes,plus rarement, une douleur aiguë lorsque le fibrome devient trop grand.

L’évolution naturelle de la plupart des fibromes utérins est l’augmentation de volume. Un taux élevé d’oestrogènes dans l’organisme accélère la croissance des fibromes. Le fait d’être enceinte, de prendre des contraceptifs oraux ou de suivre une hormonothérapie augmente la présence d’oestrogènes dans l’organisme. Paradoxalement, des études cliniques ont montré que les fibromes n’augmentent pas pendant la grossesse. Cependant, de 2 % à 4 % des femmes enceintes ont un fibrome qui se révèle pendant la grossesse. Quant à la prise de contraceptifs oraux (association d’oestrogènes et de progestatifs), les études sont contradictoires, mais la plupart montrent que les contraceptifs ralentissent la croissance du fibrome, surtout lorsqu’ils se sont formés tôt à l’adolescence. En début de périménopause, le taux d’oestrogènes est généralement plus élevé, ce qui déclenche souvent une croissance des fibromes quelques années avant la ménopause. Après la ménopause, les fibromes régressent progressivement en raison du déclin de la production d’oestrogènes et, s’ils ne sont pas trop gros, ils finissent par disparaître. L’hormonothérapie de remplacement après la ménopause n’entraîne que rarement une légère croissance des fibromes. En effet, les doses d’oestrogènes contenues dans ces hormones de remplacement sont très faibles.

L’utérus est l’organe reproducteur principal chez une femme. Il est destiné à recevoir l’ovule fécondé afin d’assurer le développement du fœtus. Situé au niveau du petit bassin, en arrière de la vessie et en avant du rectum, l’utérus est un organe creux, de forme triangulaire d’une dizaine de centimètres de haut sur 5 centimètres de large. Le col utérin, la partie la plus inférieure de l’organe, débouche sur le vagin. Le corps utérin qui représente la partie la plus volumineuse de l’utérus destinée à recevoir l’ovule fécondé est relié par ses extrémités supérieures droites et gauches aux trompes utérines. La paroi utérine est constituée de 3 couches : La muqueuse utérine appelée « endomètre » représente la paroi interne de l’utérus ; La couche intermédiaire musculaire appelée « myomètre » ; La séreuse utérine est la paroi externe de l’utérus.

Un fibrome, aussi appelé « fibromyome », est une tumeur bénigne touchant le muscle utérin. Selon son emplacement au niveau de l’utérus, on distingue 3 types de fibromes : intramuraux, sous-séreux et sous-muqueux.

La majorité des fibromes sont intramuraux. Ils se développent à l’intérieur du muscle utérin et peuvent aboutir à la formation d’une petite bosse au niveau de la paroi de l’utérus. Plus rarement, les fibromes peuvent être sous-séreux en se développant dans la cavité pelvienne et formant une saillie à la surface de l’utérus. Les plus exceptionnels sont les fibromes sous-muqueux qui occupent la cavité utérine et grossissent à l’intérieur de l’utérus. La taille des fibromes est très variable allant du microscopique à plusieurs centaines de grammes. Leur nombre l’est aussi. En effet, le développement d’un seul fibrome est possible mais le plus souvent plusieurs apparaissent en même temps. Enfin, dans la majorité des cas, les fibromes forment une masse au sein du muscle utérin ou parfois ils sont seulement reliés au muscle par un pédicule (fibromes pédiculés). Les fibromes utérins sont fréquents chez les femmes âgées de 30 à 50 ans. Ils peuvent cependant, parfois se former plus précocement lorsqu’il existe des facteurs héréditaires dans la famille. L’origine exacte de l’apparition de ces petites masses est encore inconnue à ce jour. Une certitude : leur développement est influencé par les hormones. Notamment, les oestrogènes qui sont des hormones produites par les ovaires et intervenant dans le développement sexuel féminin. Ainsi, selon les périodes de vie d’une femme, les fibromes peuvent : Se développer lors d’une grossesse lorsque le taux sanguin d’oestrogènes est le plus élevé ; Ou au contraire régresser après la ménopause, période où le taux d’hormones chute (sauf en cas de prise de traitement hormonal de substitution). Il semblerait que certaines populations de femmes soient plus concernées par les fibromes utérins : les femmes d’origine africaine ou des Caraïbes, celles en surpoids ou qui n’ont jamais eu d’enfants.

Ces rougeurs aux contours définis sont souvent présentes dès la naissance. Bien que sans gravité, elles inquiètent les parents, selon la localisation. Si elles peuvent disparaître spontanément, il faudra parfois avoir recours à d'autre moyen pour les effacer. on parle d'hémangiomes. Un bébé sur 10 en souffre durant sa première année. Ces tumeurs vasculaires doivent surveillées par un médecin même si elles sont généralement bénignes.

L'angiome est une malformation cutanée qui peut disparaître spontanément ou perdurer toute une vie. Ils peuvent être stellaires, caverneux ou plans (on les appelle communément les taches de naissance). Photos pour les reconnaître, symptômes, diagnostic et traitement.

les angiomes se définissent par des malformations situées au niveau des vaisseaux sanguins, veines, artères ou capillaires ou lymphatiques. La plupart des angiomes apparaissent dès la naissance, mais d'autres s'acquièrent plus tard. Il en existe plusieurs formes qui se manifestent par des taches sur la peau, de couleur, taille et forme différentes, sur le visage, le tronc, les bras, les jambes. Ils finissent en général par s'atténuer ou disparaître spontanément, mais certaines taches peuvent aussi se développer à l'âge adulte. Même si la grande majorité est bénigne et se développe sur la peau, certains angiomes peuvent aussi siéger à l'intérieur des organes, pouvant parfois entraîner des complications.

Des douleurs chroniques dans le bas-ventre ou des saignements entre les règles signalent souvent la présence de kystes ovariens.Dans 90% des cas, les kystes ovariens sont dits "fonctionnels", c'est-à-dire liés au fonctionnement de l'ovaire. Ces kystes sont fréquents, surtout si vous prenez un traitement pour stimuler l'ovulation ou si vous n'êtes pas sous pilule contraceptive. Même s'ils sont douloureux, ils sont considérés comme bénins et ne nécessitent pas d'opération. Généralement, ils disparaissent en quelques mois. Mais s'ils surviennent fréquemment et vous gâchent la vie, le gynécologue peut vous proposer de prendre une pilule qui bloquera l'ovulation : la mise au repos des ovaires suffit souvent à résorber les kystes existants.Le kyste ovarien correspond à un sac rempli de liquide qui se développe sur ou dans l'ovaire. Les femmes sont nombreuses à souffrir au cours de leur existence d'un kyste ovarien. Les kystes ovariens, souvent indolores sont très fréquents et rarement graves.

Un ovaire avec de multiples petits kystes (micropolykystiques) s'accompagne le plus souvent de surpoids et d'une absence d'ovulation. C'est un trouble fréquent qui provoque une infertilité chez les femmes en âge de procréer. Le diagnostic est simple à faire car à l'échographie, le médecin voit que les ovaires sont plus gros que la normale et qu'ils contiennent des kystes. En cas de désir de grossesse, le médecin peut prescrire un médicament stimulateur de l'ovulation(le citrate de clomifène) ou parfois faire une petite opération chirurgicale sur les ovaires pour libérer les ovocytes.

Même s'il n'y a plus d'activité ovarienne, il arrive que des kystes apparaissent après la ménopause : la plupart du temps, ce sont des kystes dits organiques. Malheureusement, ces kystes là ne vont pas disparaître spontanément mais au contraire, ils risquent de grossir, de se rompre ou de se tordre (c'est ce qu'on appelle une torsion de l'ovaire). C'est pourquoi ils doivent être opérés, soit en urgence quand il y a un risque de torsion ou une suspicion de cancer des ovaires, soit en programmant l'opération (une kystectomie).

Les kystes, lorsqu'ils ne disparaissent pas spontanément, peuvent entraîner plusieurs complications. Le kyste ovarien peut : Se rompre, auquel cas du liquide se répand dans le péritoine entraînant des douleurs importantes et parfois des saignements. Il faut une intervention chirurgicale. Se tordre (torsion de kyste), le kyste tourne sur lui-même, entraînant une rotation de la trompe et un pincement des artères, donc une diminution ou un arrêt de la circulation provoquant une très forte douleur et un manque d’oxygène pour l’ovaire. Il s’agit d’une urgence chirurgicale pour détordre l’ovaire afin d’éviter qu’il ne souffre trop ou ne se nécrose (dans ce cas, ses cellules meurent par manque d’oxygène). Ce phénomène survient surtout pour les gros kystes ou les kystes ayant un pédicule très fin. La femme ressent une douleur brutale, forte et ne cessant pas, souvent associée à des nausées et des vomissements. Saigner : il peut s’agir d’une hémorragie intrakystique (douleur brutale) ou d’une hémorragie extrakystique péritonéale (ressemblant à la rupture de kyste). Il faut également avoir recours à une intervention chirurgicale par coelioscopie a priori. Comprimer les organes voisins. Cela se produit lorsque le kyste grossit beaucoup. Cela peut entraîner une constipation (compression intestinale), des envies d’uriner fréquentes (compression de la vessie) ou encore des compressions de veines (œdème). S'infecter. On parle alors d'infection ovarienne. Elle peut se produire suite à une rupture de kyste ou bien suite à une ponction de kyste. Une intervention chirurgicale et un traitement antibiotique sont nécessaires. Obliger à pratiquer une césarienne en cas de grossesse. Pendant la grossesse, les complications des kystes ovariens sont plus fréquentes.

Petite grosseur anormale au niveau d’un ovaire, le kyste ovarien concerne moins de 10% des femmes. Si dans la plupart des cas les kystes ovariens sont bénins et ne donnent aucun signe, parfois il est nécessaire de les enlever car ils sont trop gros ou nombreux. Mais l’apparition de douleurs, saignements anormaux ou troubles digestifs peuvent aussi alerter et donner lieu à des complications, nécessitant souvent une intervention chirurgicale.

Dans 50% des cas, le kyste ovarien peut rester à l’état latent, sa présence étant décelée lors d’un examen clinique ou d’une échographie pour une autre raison. Dans les autres cas, plusieurs signes, souvent douloureux, peuvent se manifester tels que : Des douleurs pelviennes (dans la partie inférieure du bassin) modérées, d’un seul côté du corps, donnant l’impression d’une pesanteur ; Des métrorragies (saignement génital survenant en dehors des règles) ; Une pollakiurie (envies fréquentes d’uriner avec émission de petites quantités d’urine) ; Des troubles digestifs par compression.

La polyarthrite rhumatoïde se manifeste souvent de façon symétrique, atteignant les mêmes articulations des 2 côtés du corps. Ce signe la distingue de l'arthrose qui, elle, touche habituellement les articulations d'un seul côté à la fois.Le rhumatisme est un terme générique qui désigne toutes les atteintes articulaires. Il peut s'agir d'arthrose, d'arthrite ou encore d'ostéoporose ou des maladies auto-immunes comme la polyarthrite rhumatoïde. Ces troubles ostéoarticulaires font partie des premières causes d'incapacité et de handicap. Les rhumatismes désignent toutes les pathologies de l'appareil locomoteur. Cela peut être une atteinte du cartilage, de la membrane synoviale, mais aussi du tendon ou encore d'un disque intervertébral.Le mot «rhumatisme» est tiré du grec rheuma, qui signifie «eau qui coule». Cette origine témoigne de la conception de la médecine ancienne, qui interprétait le rhumatisme comme un écoulement des «humeurs» du corps humain. Elle illustre aussi le fait que les manifestations rhumatologiques, en particulier les douleurs, peuvent être perceptibles dans différents tissus et régions du corps au cours de l’évolution de la maladie.

Des douleurs (ou une sensibilité) aux articulations atteintes. Les douleurs sont plus fortes la nuit et au petit matin, ou après une période de repos prolongé. Elles occasionnent souvent un réveil nocturne en deuxième partie de nuit. Elles peuvent être continuelles et jouer considérablement sur le moral. Le gonflement (oedème) d’une ou, le plus souvent, de plusieurs articulations. En règle générale, l’atteinte est « symétrique », c’est-à-dire que le même groupe d’articulations est touché des 2 côtés du corps. Il s’agit souvent des poignets ou des articulations des doigts, en particulier celles situées le plus près de la main ; Les articulations atteintes sont également chaudes et parfois rouges ; Une raideur matinale des articulations, qui persiste durant au moins 30 à 60 minutes. Cette raideur s’atténue après le « dérouillage » des articulations, c’est-à-dire après les avoir mobilisées et « réchauffées ». Cependant, la raideur peut revenir dans la journée, après une période d’inactivité prolongée ; La fatigue est très présente dans cette maladie, souvent dès le début. Elle peut être très invalidante et difficile à comprendre pour l’entourage. Elle est liée au processus auto immun et à l’inflammation. Elle peut être associée à un manque d’appétit. De la fièvre peut être présente lors des poussées de la maladie.

Plus la maladie évolue, plus il devient difficile d’utiliser ou de bouger normalement les articulations atteintes ; De nouvelles articulations peuvent être touchées ; De petites bosses dures (non douloureuses) peuvent se former sous la peau, surtout à l’arrière des chevilles (tendons d’Achille), aux coudes et près des articulations des mains. Il s’agit de « nodules rhumatoïdes », présents chez 10 à 20 % des personnes atteintes ; Une dépression, causée par la douleur, la chronicité de la maladie et tous les changements de vie qu’elle impose, peut survenir.

Chez certaines personnes, le processus auto-immun de la polyarthrite rhumatoïde peut agresser divers organes en plus des articulations. Ces formes peuvent nécessiter une approche thérapeutique plus énergique. Une sécheresse des yeux et de la bouche (un syndrome de Gougerot-Sjögren), présente chez environ un quart des personnes atteintes ; Une atteinte du coeur, en particulier de son enveloppe (appelée péricarde) qui n’entraîne pas toujours de symptômes ; Une atteinte des poumons ou des reins, pouvant aussi être liée aux médicaments ou aggravée par ceux-ci ; Une anémie inflammatoire.

L'arthrose est aussi un trouble très fréquent : environ 15 % de la population est atteinte de cette destruction du cartilage. L'arthrose de la colonne cervicale et lombaire sont les principales pathologies arthrosiques, viennent ensuite l'arthrose de la main, du genou et de la hanche. L'épaule, le coude, le poignet et la cheville sont rarement touchés.

Les rhumatismes se manifestent, la plupart du temps, par des douleurs de type "mécaniques" déclenchées et aggravées par le mouvement. Elles s'atténuent avec du repos. Des douleurs quotidiennes qui ne quittent pas les malades : plus de la moitié d'entre eux sont réveillés par leurs douleurs. La raideur des articulations, le gonflement et la gêne sont aussi des symptômes communs à toutes les maladies rhumatismales. Ces symptômes diminuent dans la journée lorsque l'on bouge et mobilise les articulations.

L’allergie est une réaction excessive du système immunitaire qui identifie une substance habituellement inoffensive comme un « ennemi ». Les réactions sont diverses selon le type d’allergie : rhinite, eczéma, asthme voire choc anaphylactique. Il faut alors prendre un médicament antihistaminique pour soulager les symptômes, voire en cas de crises graves, des corticostéroïdes. Les principaux allergènes en cause sont : les pollens (fleurs, arbres, gazon, graminées) mais aussi les acariens, certains aliments, les poils ou plumes d’animaux, la poussière domestique, le soleil, le venin d’insectes ou d’animal (abeille, méduse…), les moisissures.

Symptômes en cas d’allergie aux pollens, aux moisissures ou à la poussière : nez qui picote, qui coule,yeux rouges, qui démangent,éternuements fréquents,gorge qui gratte crise d’asthme : difficultés à respirer, essoufflement, toux, respiration sifflante.

Eternuements fréquents,yeux rouges, qui démangent,nez pris,plaques rouges sur le corps Symptômes en cas d’allergie alimentaire : boutons ou plaques rouges sur le corps qui parfois démangent (urticaire, eczéma),nausée, vomissement, diarrhée,difficultés à avaler,démangeaisons, picotements des lèvres, de la bouche ou de la gorge,œdème de Quincke : gonflement du visage, sensation de brûlure, difficultés à respirer,Crise d’asthme : difficultés à respirer, essoufflement, toux, respiration sifflante,choc anaphylactique : gonflement du visage, chute de tension, malaise, anxiété extrême, difficultés à respirer,Symptômes en cas d’allergie aux médicaments :plaques rouges ou boutons qui grattent (urticaire, eczéma),nausée, diarrhée,œdème de Quincke : gonflement du visage, sensation de brûlure, difficultés à respirer,crise d’asthme : difficultés à respirer, essoufflement, toux, respiration sifflante,choc anaphylactique : gonflement du visage, chute de tension, malaise, anxiété extrême, difficultés à respirer… Symptômes en cas d’allergie au soleil (lucite), au parfum ou au nickel : plaques rouges ou boutons qui grattent,Symptômes en cas d’allergie au venin d’insectes ou d’animaux :douleur et rougeur au niveau de la piqûre,boutons,œdème de Quincke : gonflement du visage, sensation de brûlure, difficultés à respirer,choc anaphylactique : gonflement du visage, chute de tension, malaise, anxiété extrême, difficultés à respirer.

Dans la plupart des cas, la réaction allergique nécessite 2 contacts avec l’allergène. La sensibilisation. La première fois que l’allergène pénètre dans le corps, par la peau ou par les muqueuses (yeux, voies respiratoires ou digestives), le système immunitaire identifie l’élément étranger comme étant dangereux. Il se met à fabriquer des anticorps spécifiques contre lui. Les anticorps, ou immunoglobulines, sont des substances fabriquées par le système immunitaire. Ils reconnaissent et détruisent certains éléments étrangers auxquels le corps est exposé. Le système immunitaire produit 5 types d’immunoglobulines appelés Ig A, Ig D, Ig E, Ig G et Ig M, qui ont des fonctions spécifiques. Chez les personnes allergiques, ce sont surtout les Ig E qui sont impliquées. La réaction allergique. Lorsque l’allergène pénètre une deuxième fois dans l’organisme, le système immunitaire est prêt à réagir. Les anticorps cherchent à éliminer l’allergène en déclenchant un ensemble de réactions de défense.

Au moment de la digestion, le contenu acide de l’estomac remonte le long de l’œsophage, donnant au passage de désagréables sensations de brûlures. Celles-ci restent parfois localisées au niveau de l’estomac.D’autres symptômes peuvent alors apparaître comme une érosion des dents, des raclements de gorge fréquents, des laryngites à répétition, la voix cassée, de la toux, des douleurs thoraciques.

Généralement, les personnes qui souffrent de brûlures d'estomac ou de remontées acides ont repéré des facteurs déclenchants : les douleurs apparaissent en général dans les deux heures qui suivent un repas, surtout s'il est lourd. la position couchée : les douleurs surviennent fréquemment la nuit, après le dîner. le fait de se pencher en avant juste après un repas par exemple pour faire ses lacets (la pression abdominale augmente) ; les aliments acides ou épicés, le café, l’alcool, les boissons gazeuses autre élément aggravant connu : le stress. Souvent, les personnes sujettes au reflux gastrique se sentent mieux le week-end ou pendant les vacances. certains médicaments, comme les anti-inflammatoires non stéroïdiens ou l’aspirine, peuvent provoquer des brûlures d’estomac. Si tel est le cas, il faut stopper leur prise et prendre un avis médical. En cas de douleur chronique, de prise quotidienne de médicaments, de toux ou de douleur thoracique, il importe de consulter. Une difficulté à avaler peut évoquer une pathologie plus grave (ulcère…).

L'estomac est une portion du tube digestif qui suit l'oesophage. D'une contenance d'un demi-litre à vide, cette poche peut contenir jusqu'à 4 litres d'aliments. Ceux-ci arrivent dans l'estomac où ils vont être digérés par le suc gastrique. Le suc est un liquide produit par des cellules et des glandes présentes dans les villosités gastriques. Elles vont libérer les composants du suc gastrique, et des enzymes telles que la pepsine et la lipase gastrique vont découper les aliments en nutriments. Ces enzymes ne peuvent agir que dans un milieu acide, c'est pour cette raison que d'autres cellules libèrent un acide : l'acide chlorhydrique. Heureusement, l'estomac possède un système de protection contre cette acidité. Des cellules produisent un mucus : une sorte de barrière riche en bicarbonate. Ce mucus recouvre la surface de la muqueuse gastrique pour la protéger des attaques acides. Quand un déséquilibre entre toutes ces sécrétions survient, par exemple un excès d'acidité, une inflammation apparaît au niveau de la muqueuse : c'est la gastrite. Si cette agression se poursuit, l'inflammation peut aboutir à une lésion qui va véritablement endommager la paroi interne de l'estomac : c'est l'ulcère.

Une hernie inguinale est une grosseur sous-cutanée localisée au niveau de l’aine. Elle peut être présente dès la naissance ou survenir suite à certaines affections ou à des efforts répétés.L’aine est la partie du corps permettant la jonction entre l’abdomen et la cuisse. Une hernie inguinale est le terme médical qui décrit la présence d’une grosseur au niveau de cette zone du corps. Une hernie inguinale se développe lorsque l’un des éléments contenus dans l’abdomen, généralement l’intestin, sort de son emplacement habituel, à savoir la cavité abdominale. Cette sortie se produit via : L’orifice inguinal trop distendu. Ce dernier, situé au niveau de l’aine dans la paroi abdominale, permet d’ordinaire le passage des divers vaisseaux et ligaments irriguant le membre inférieur ; Un orifice crée accidentellement suite à la rupture de la paroi abdominale en raison d’efforts répétés. Lorsqu’une hernie inguinale est présente à la naissance, on parle de hernie congénitale. Parfois, le canal péritonéo-vaginal qui assure la migration des testicules dans les bourses chez le fœtus, ne se referme pas avant la naissance. Ainsi, un bout d’intestin se loge dans le canal et une hernie apparaît. On estime que 2 à 5% des nouveau-nés seraient atteints de cette affection. Cependant, dans la majorité des cas, la hernie inguinale est dite acquise : elle apparaît chez l’adulte. Elle peut être liée à des efforts répétés, une obésité, une toux chronique ou même une constipation. Une hernie peut être : Directe lorsqu’elle est due à une déchirure des muscles de l’abdomen qui sont devenus trop faibles ; Indirecte quand la hernie se forme dans l’orifice inguinal.

Une hernie inguinale est une affection fréquente, particulièrement chez les hommes. En effet, près d’un homme sur trois est opéré pour cette affection au cours de sa vie. Les femmes sont plus touchées par un autre type de hernie : la hernie crurale située dans le haut de la cuisse. Cette dernière est plus douloureuse et comporte plus de risque de complications.

Une petite hernie inguinale peut être asymptomatique. En revanche, lorsqu’elle grossit, les symptômes apparaissent et s’intensifient à mesure de la journée et lors d’effort ou de toux. L’affection se manifeste le plus souvent par une sensation de pesanteur et de gêne voire de douleur dans le bas de l’abdomen. Par ailleurs, le patient peut observer la présence d’une grosseur au niveau de l’aine. Cependant, cette dernière peut être absente le matin au réveil et apparaître au fur et à mesure de la journée, lorsque le patient est en position debout. Il arrive également, chez les hommes, que la grosseur descende jusque dans une bourse. En cas de hernie congénitale, l’affection peut être découverte par les parents lors du bain ou du change de l’enfant. En effet, la grosseur apparaît lors d’effort du nourrisson (par exemple, lorsqu’il pleure ou défèque), tandis qu’elle disparaît lorsque le nourrisson retrouve son calme.

Les crampes désignent des troubles musculo-squelettiques se manifestant par des contractions musculaires involontaires, soutenues, temporaires et plus ou moins douloureuses, le plus souvent bénignes. Elles peuvent survenir au repos, y compris pendant le sommeil, ou lors d'un effort physique assez intense, que ce soit durant l'échauffement, pendant l'exercice, ou même pendant la phase de récupération.

L'origine des crampes est relativement complexe et relève souvent de plusieurs facteurs combinés, qu'ils soient vasculaires (trouble de la circulation sanguine et vascularisation musculaire insuffisante pendant un court instant) ou métaboliques (production en excès d'acide lactique), déshydratation, La crampe débute généralement de manière soudaine et brutale, sans qu'aucun signe préalable ne permette de l'anticiper. Elle se traduit par la contraction douloureuse involontaire et incontrôlable d'un muscle ou d'un faisceau de muscles entraînant une incapacité fonctionnelle temporaire du groupe musculaire atteint. Elle est de courte durée (de quelques secondes à plusieurs minutes). En cas de contraction prolongée, on parle de tétanie. Les muscles les plus souvent touchés par des crampes sont ceux des membres inférieurs, et en particulier du mollet.

A l’état normal, la colonne vertébrale dorsale (située entre la nuque et les lombes) présente une courbure à convexité postérieure. A l’inverse, la région du cou et des lombes présentent une courbure à convexité antérieure.La cyphose correspond à une exagération de la convexité de la région dorsale donnant au dos une position trop arrondie. Les parties cervicales et lombaires de la colonne vertébrale présentent quant à elles une cambrure exagérée pour contre balancer la convexité dorsale liée à la cyphose. Une cyphose peut être associée à une scoliose (déviation latérale de la colonne vertébrale) réalisant une cyphoscoliose.

Il existe plusieurs types de cyphoses : a) la cyphose des enfants et des adolescents. Elle peut être due à : - une mauvaise position : elle est liée le plus souvent à une musculation dorsale insuffisante. Aucune difformité significative des os de la colonne vertébrale n’est identifiable. -la maladie de Scheuermann : elle est due à une anomalie de croissance des vertèbres dorsales. La cause de cette maladie reste inconnue. Elle touche plus souvent les garçons que les filles. Elle associe une raideur dorsale, des douleurs augmentées après une station assise prolongée ou un exercice physique. La difformité esthétique du dos du patient est le plus souvent marquée. Un examen radiographique de la colonne vertébrale permet de faire le diagnostic en montrant une déformation affectant au moins trois vertèbres dorsales consécutives. L’évolution de la maladie cesse à la fin de la croissance mais les anomalies vertébrales liées à la maladie restent irréversibles. b) la cyphose des adultes jeunes constitue le plus souvent un des symptômes d’une maladie rhumatismale inflammatoire appelée spondylarthrite ankylosante. Cette maladie touche surtout le bassin et la colonne vertébrale et peut associer un ensemble de symptômes : douleurs articulaires survenant surtout la nuit, raideur dorsale, fièvre, fatigue, troubles intestinaux. Son évolution est chronique et par poussées. c) la cyphose du sujet âgé peut être liée à : -une ostéoporose vertébrale responsable d’une fragilisation des vertèbres et de tassements vertébraux. -une dégénérescence des disques intervertébraux (sorte de coussinets situés entre chacune des vertèbres) D’autres causes, plus rares, peuvent être responsables d’une cyphose : -un traumatisme -une maladie neuromusculaire (comme la poliomyélite) -une malformation congénitale

Le cancer des testicules est un des cancers qui se soigne le mieux, puisque le taux de guérison approche les 100 % (moins de 1 % de mortalité). Ce cancer du testicule est un cancer relativement rare, mais c’est la forme de cancer la plus fréquente chez les hommes jeunes et les adolescents, entre la puberté et 45 ans, l’âge moyen de diagnostic étant de 37 ans.

On classe les cancers du testicule en deux grandes catégories : les séminomes et les « non séminones » (qui regroupent toutes les autres formes). Les séminomes se retrouvent plus souvent chez les hommes plus âgés, tandis que les non séminomes touchent surtout les jeunes hommes. La seule manière de confirmer le type de cancer est de retirer le testicule par chirurgie pour l’analyser. Cette opération porte le nom d’orchidectomie totale. Elle s'effectue par une incision à l’aine. Dans la quasi-totalité des cas, un seul testicule est atteint. Très souvent, c’est la découverte d’une masse suspecte lors de la palpation des testicules qui sonne l’alarme. Le cancer du testicule est une forme de cancer qui répond bien aux traitements (95 % des hommes en guérissent). Cependant, les traitements, qu’ils soient par chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie, entraînent des risques d’infertilité.

Si un homme perçoit une boule ou un gonflement, généralement indolore et grossissant progressivement au niveau de l’un de ses testicules, il faut consulter un médecin. Un faible pourcentage des cancers du testicule est susceptible d’entraîner des douleurs en début d’évolution. Les tumeurs bénignes du testicule sont rares, et c’est pour cela qu’il faut consulter rapidement.

Le cancer des testicules est un des cancers qui se soigne le mieux, puisque le taux de guérison approche les 100 % (moins de 1 % de mortalité). Ce cancer du testicule est un cancer relativement rare, mais c’est la forme de cancer la plus fréquente chez les hommes jeunes et les adolescents, entre la puberté et 45 ans, l’âge moyen de diagnostic étant de 37 ans.

On classe les cancers du testicule en deux grandes catégories : les séminomes et les « non séminones » (qui regroupent toutes les autres formes). Les séminomes se retrouvent plus souvent chez les hommes plus âgés, tandis que les non séminomes touchent surtout les jeunes hommes. La seule manière de confirmer le type de cancer est de retirer le testicule par chirurgie pour l’analyser. Cette opération porte le nom d’orchidectomie totale. Elle s'effectue par une incision à l’aine. Dans la quasi-totalité des cas, un seul testicule est atteint. Très souvent, c’est la découverte d’une masse suspecte lors de la palpation des testicules qui sonne l’alarme. Le cancer du testicule est une forme de cancer qui répond bien aux traitements (95 % des hommes en guérissent). Cependant, les traitements, qu’ils soient par chirurgie, radiothérapie ou chimiothérapie, entraînent des risques d’infertilité.

Si un homme perçoit une boule ou un gonflement, généralement indolore et grossissant progressivement au niveau de l’un de ses testicules, il faut consulter un médecin. Un faible pourcentage des cancers du testicule est susceptible d’entraîner des douleurs en début d’évolution. Les tumeurs bénignes du testicule sont rares, et c’est pour cela qu’il faut consulter rapidement.

Le claquage est une lésion musculaire consécutive à la rupture d’un nombre plus ou moins important de fibres musculaires (des cellules capables de contraction contenues dans les muscles). Elle est secondaire à un effort d’intensité supérieure à ce que le muscle peut supporter et s’accompagne classiquement d’une hémorragie locale (qui forme un hématome).

Le terme « claquage » est discutable ; il s’inscrit dans une classification clinique empirique dans laquelle on retrouve la courbature, la contracture, l’élongation, le claquage et la déchirure ou rupture.

Les douleurs au cou, ou cervicalgies, peuvent avoir de multiples origines. Elles peuvent être attribuables à une entorse cervicale, à un torticolis ou à de l’arthrose, par exemple. Bien souvent, elles s’accompagnent d’une raideur qui limite les mouvements du cou. La douleur est parfois ressentie dans tout le haut du corps, en particulier au haut du dos et aux épaules. Les symptômes varient selon l’endroit atteint : les vertèbres, les tendons, les ligaments, les muscles ou les nerfs.

La plupart du temps, les douleurs au cou se dissipent en l’espace de quelques jours à quelques semaines (de huit à douze semaines au plus). Cependant, il se peut qu’elles durent plus longtemps si les vertèbres du cou sont touchées par l’arthrose ou par une autre maladie chronique, comme l’arthrite rhumatoïde. Le cou est formé de sept vertèbres, dont le nom va de C1 à C7 . Entre les vertèbres se trouvent les disques intervertébraux. Ces disques renferment un gel qui donne au cou sa mobilité et qui lui permet de mieux absorber les chocs. Sans les disques intervertébraux, on sentirait les vertèbres frotter les unes contre les autres. L’ensemble est entouré de muscles, de tendons et de ligaments, dont le rôle est d’assurer la stabilité, le soutien et la mobilité des articulations délicates de la colonne vertébrale.

La coqueluche est une maladie respiratoire très contagieuse d’origine bactérienne. Généralement sans gravité, elle se caractérise par une forte toux. Elle évolue lentement, sur quelques semaines et peut durer près de deux mois. La période d’incubation, c’est-à-dire le temps entre l’infection par la bactérie et les premiers symptômes, peut s’étaler sur 20 jours. La bactérie attaque principalement la trachée et les bronches, où du mucus s’accumule. L’organisme essaie d’évacuer ces sécrétions par la toux. La bactérie génère également une inflammation des voies respiratoires qui rend la respiration difficile. Chez le nourrisson, la coqueluche peut avoir des conséquences très graves, comme des complications pulmonaires ou neurologiques. Elle peut même être fatale

Les complications concernent le plus souvent les nourrissons et particulièrement les bébés de moins de 6 mois. Ils peuvent souffrir d’une infection à l’oreille, de difficultés à respirer, d’une perte de poids provoquée par des vomissements importants, d’une pneumonie, d’une déshydratation, d’une insuffisance rénale, de convulsions ou même de dommages cérébraux. Ces complications graves restent rares mais nécessitent une prise en charge hospitalière rapide. Chez les enfants plus âgés et les adultes, les complications sont encore plus rares et moins graves. Il peut s’agir d’une côte fissurée, d’une hernie abdominale, d’un saignement de nez ou d’un gonflement du visage.

La candidose cutanéo muqueuse est une mycose, due à une levure appelée candida, faisant partie de la flore normale (saprophyte ou commensale) du tube digestif et de la muqueuse vaginale.La candidose est due à la transformation de cette levure saprophyte en une forme filamenteuse pathogène pouvant adhérer sur les muqueuses et les envahir. Une dizaine d'espèces de candida sont potentiellement pathogènes pour l'homme mais c'est candida albicans qui est la plus fréquemment retrouvée.

Les candidoses cutanées se manifestent avant tout par des intertrigos (rougeurs) des grands plis (plis inguinaux, abdominaux, sous-mammaires, axillaires et interfessier), et des petits plis (commissure labiale, anus, espaces interdigitaux, rarement espaces interorteils). Les symptômes sont identiques : début de la rougeur au fond du pli puis extension de part et d’autre sur les surfaces cutanées adjacentes. La peau y est rouge, d’aspect vernissé et suintant, fissurée au fond du pli qui est parfois recouvert d’un enduit blanchâtre, les contours sont irréguliers, limités par une bordure en « collerette desquamative », et la présence de petites pustules en périphérie sont très évocatrices. Parfois, l'atteinte cutanée est sèche et desquamative. Au niveau des mains, l'atteinte résulte souvent de contacts répétés avec l’eau, de traumatismes mécaniques ou chimiques, d’application de dermocorticoides... Les intertrigos des grands plis sont en relation avec l’humidité, la macération ou l’extension à la peau d’une candidose muqueuse digestive ou génitale.

Sous formes unguéales Le plus souvent, l’atteinte débute par un périonyxis (rougeur et gonflement de la peau autour de l'ongle), avec parfois écoulement de pus à la pression. L'ongle est atteint dans un second temps, et il prend souvent prendre une teinte jaune verdâtre, marron ou noire, surtout dans les zones latérales. L'atteinte résulte souvent de contacts répétés avec l’eau, de traumatismes mécaniques ou chimiques, d’application de dermocorticoides, de refoulement des cuticules.

Sous formes muqueuses La candidose buccale La manifestation la plus commune est le muguet ou candidose buccale. Sur une muqueuse rouge apparaissent de petites plages blanches comme du « lait caillé » plus ou moins adhérentes sur la face interne des joues, des gencives, le palais, les piliers des amygdales.Fréquent chez l'enfant, il peut se voir chez l'adulte notamment en cas d'immunodépression.

La candidose vaginale. Elle provoque une rougeur, des démangeaisons et des pertes blanches dites « caillebotées ». On estime que 75 % des femmes ont fait ou feront un ou plusieurs épisodes de candidose vaginale. Parmi elles, 10 % souffrent d’une forme récidivante définie par plus de quatre épisodes par an. Il ne s’agit pas d’une maladie sexuellement transmissible mais d’une infection opportuniste pouvant être favorisée par les rapports sexuels en raison des traumatismes des muqueuses ou exceptionnellement en raison d'une balanite profuse du partenaire. Les phases du cycle (rôle prépondérant du taux de progestérone naturelle) et la grossesse pourraient être aussi favorisantes. La balanite candidosique. L’homme présente des rougeurs du sillon balanopréputial parfois recouvertes d'un enduit blanchâtre et parsemées de petites pustules évocatrices. Chez l’homme, la candidose génitale est souvent liée à des irritations locales répétées ou chroniques faisant le lit de l’infection lors des rapports avec une partenaire infectée, ou à l’existence d’un diabète qui doit être recherché de principe.

La prostate est une glande de l’appareil reproducteur masculin. Elle est située tout juste sous la vessie et, comme un anneau, elle entoure l’urètre, ce canal par lequel l’urine et le sperme sortent à l’extérieur du corps. Le rôle de la prostate est de produire le liquide prostatique, un des composants du sperme avec le liquide séminal et les spermatozoïdes, de stocker temporairement le sperme avant l’éjaculation, puis de se contracter au moment de l’éjaculation, participant ainsi à l’expulsion du sperme. Le cancer de la prostate est le type de cancer le plus fréquent chez les hommes : on estime que 1 homme sur 7 en recevra le diagnostic, le plus souvent à partir de la soixantaine. Bien qu’aucune cause particulière n’ait été découverte, il existerait une prédisposition génétique. La plupart des cancers de la prostate évoluent très lentement. D’ailleurs, la grande majorité des hommes chez qui l’on détecte ce cancer mourront d’une autre cause. Bien souvent, la tumeur demeure localisée dans la prostate et a des effets limités sur la santé, provoquant parfois des troubles urinaires ou érectiles. Il peut arriver cependant que certains cancers évoluent et s’étendent plus rapidement.

La prostatite est l'infection, aiguë ou chronique, de la prostate (glande située sous la vessie, présente uniquement chez l'homme). Dans certains cas de prostatite chronique, on ne retrouve pas de germe causal aux examens. On parle alors de prostatite chronique non bactérienne.

Toute infection urinaire accompagnée de fièvre chez l'homme est une prostatite, à l'exception des pyélonéphrites (infections rénales). La prostatite chronique est la conséquence d'infections urinaires répétées. La prostate est un carrefour anatomique entre les voies urinaires et les voies génitales de l'homme. Toute prostatite peut donc être la conséquence d'une contamination bactérienne de l'urètre, mais aussi d'une infection de tout l'appareil urinaire (vessie, uretères, reins).

Fièvre supérieure à 38,5, frissons, grande fatigue ; Le patient se plaint de brûlures en urinant, d'avoir des difficultés à uriner ( dysurie), d'uriner trop souvent ( pollakiurie) ; Il existe parfois un écoulement purulent au méat urinaire ; Présence de sang dans les urines ou le sperme ; Les urines peuvent être troubles et malodorantes. La prostatite aiguë peut se présenter avec des signes grippaux : Douleurs musculaires diffuses, articulaires… ; Rarement, est associée une sensation de corps étranger dans l'anus. La prostatite chronique se caractérise par des douleurs périnéales chroniques, parfois dans la région anale. Les brûlures mictionnelles peuvent évoluer depuis plusieurs années.

Les coliques du nourrisson se caractérisent par des épisodes de pleurs ou de cris difficiles à calmer, voire inconsolables, qui surviennent chez les bébés en bonne santé de 4 mois et moins. Ces crises de pleurs surviennent le plus souvent en fin de journée ou le soir, sans qu’une cause médicale claire ne puisse être identifiée. Les pleurs débutent et cessent sans raison apparente.

Les coliques du nourrisson sont bénignes et transitoires. Elles s’estompent naturellement vers l’âge de 3 ou 4 mois et au maximum à l’âge de 6 mois, sans aucun traitement spécifique. Il ne faut toutefois pas hésiter à demander de l’aide car elles peuvent être une source importante de stress au sein des familles ou même de détresse parentale. Dans les cas extrêmes, elles peuvent perturber gravement la relation parents–enfant et mener à une dépression chez la mère, voire à des gestes de maltraitance. Un nourrisson qui pleure beaucoup n’est pas forcément atteint de coliques. Mieux vaut obtenir un avis médical pour éliminer toute cause grave pouvant expliquer ces pleurs. Ainsi, des maladies comme le reflux gastro-oesophagien, une hernie inguinale, une otite, une intolérance au lactose ou une constipation grave peuvent générer des pleurs intenses chez les nourrissons.

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