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L'hemorragie est un ecoulement du sang hors de vaisseaux sanguins.l'hemorragie peut être interne, externe ou s'ecouler par des orifices naturels(nez, oreilles etc)

Le mal de dents a de violentes douleurs, il est important de distinguer si la douleur vient de la gencive ou de la dent.

Les caries ne sont pas les seules affections à l’origine du mal de dent. Citons notamment : une infection bactérienne ; la présence d’un abcès ; un traumatisme bucco-dentaire, par exemple une chute ayant entrainée une fissure ou une fracture de la dent ou alors un coup porté à la mâchoire ; une maladie des gencives, comme la gingivite (qui désigne une inflammation de la gencive) ; le bruxisme, c’est à dire le grincement de dents (ou le serrement de dents) qui survient souvent pendant la nuit ; la poussée des dents de sagesse ou l’éruption des dents chez les bébés et les enfants ; une sinusite peut provoquer une douleur au niveau des molaires ; une affection aux oreilles, au cou ; ou encore une attaque cardiaque (qui provoquent un mal au niveau des dents et des mâchoires). Notons qu’une carie trop profonde ou encore un traumatisme de la dent peuvent provoquer des lésions au niveau du nerf de la dent. Dans ces cas là, le dentiste peut avoir recours à une pulpectomie, c’est à dire à une dévitalisation de la dent. Le but est de rendre la dent insensible.

L'enflure est une reaction frequente de la peau dûe à son elasticité. La "grosse jambe" est définie par l'augmentation de sa circonférence et un oedème plus ou moins douloureux, plus ou moins tendu, d'apparition progressive. Les grosses jambes peuvent être d'origine veineuse ou lymphatique. La stratégie du traitement d'une grosse jambe varie selon les médecins et les patients. Les traitements peuvent être médicaux, mécaniques ou chirurgicaux

La rhino-pharyngite (ou nasopharyngite) est une infection fréquente et généralement bénigne des voies aériennes supérieures (cavité nasale et pharynx) par un virus.Les symptômes principaux du rhume se manifestent par une rhinite (éternuements, toux, congestion et écoulement nasal de mucus), une pharyngite, une conjonctivite, des myalgies, de la fatigue, des maux de tête, mais pas de fièvre et une perte d’appétit. Le virus inhalé contamine les cellules du nasopharynx (l’espace situé entre le nez et la gorge) et se multiplie rapidement. Les points d’entrée principaux sont le nez, mais aussi les yeux (dans ce cas, la contamination du nasopharynx s’effectue par drainage du liquide via le canal lacrymonasal). La période d'incubation est en général de deux à cinq jours, parfois moins. Complications Bien que bénignes, ces infections présentent toutefois un risque chez les sujets à risque (asthmatique, insuffisant respiratoire) ou fragilisés (enfants, personnes âgées, fumeur). Les complications principales sont la surinfection bactérienne (principalement par les pneumocoques), la sinusite, et la décompensation en bronchite chronique ou encore en emphysème. Cette maladie, comme toute maladie virale, peut causer une inflammation au niveau des muscles lisses du corps dont les intestins et le myocarde (Myocardite virale).

Le mot « rhume » est emprunté au bas latin rheuma signifiant « flux marin » ou « catarrhe », terme lui-même emprunté au grec rheuma signifiant « eau qui coule » qui s'est spécialisé en médecine, initialement pour tout type d'écoulement corporel

Le rhume du bébé est bien banal. Il peut se manifester par un simple nez qui coule ou des éternuements. Il peut aussi fatiguer, faire tousser, faire vomir, donner la diarrhée, rendre bébé grognon et fiévreux. En une à deux semaines, tout devrait rentrer dans l'ordre.

La toux ne signe pas obligatoirement une atteinte des bronches ou des poumons. Si le nez est encombré, l'air ne peut pas passer par les narines et le bébé tousse. Le premier réflexe en cas de toux chez un bébé est donc d'abord et avant tout de lui nettoyer le nez. Vous pouvez aussi : Humidifiez les pièces ; Proposez-lui régulièrement de boire de l'eau ; Couchez-le sur le dos et surélevez son matelas au niveau de la tête ; Fractionnez ses repas

C'est l'incapacité permanente ou recurrente chez l'homme d'avoir ou ne maintenir une rigidité penienne suffisante pour l'accomplissement de l'acte sexuel. Ce phonomene varie d'une insuffisance ponctuelle à la perte complete de l'erection.L'erection fait intervenir le cerveau,les vaisseaux sanguins,les nerfs, la chimie et le désir.

Les facteurs physiques : Parmi les principaux facteurs physiques qui engendrent des troubles de l’érection on trouve : - Les anomalies portant sur les vaisseaux sanguins provoquées par l’hypertension artérielle (40% des troubles de la fonction érectile), le diabète, un taux de cholestérol trop élevé et le tabac. - Les plaques d’athérome qui en se déposant sur les parois des artères irrigant le pénis peuvent provoquer un rétrécissement des artères et empêcher alors le sang de circuler correctement pour aboutir à une réelle érection. - Le surpoids et l’obésité: Les anomalies portant sur le système nerveux (et donc sur le bon fonctionnement) des nerfs telles que : l’alcoolisme, la maladie de parkinson, la sclérose en plaque, l’épilepsie, un accident vasculaire cérébral ou encore une atteinte de la moelle épinière. - L’insuffisance rénale : 40% des hommes atteints d’insuffisance rénale ont une dysfonction érectile. - Des anomalies hormonales : taux d’hormones masculines trop faibles. - Des anomalies secondaires liées à des causes traumatiques : fracture du bassin associée à des traumatismes de l’urètre, traumatismes de la moelle épinière mais également microtraumatismes du périnée notamment chez les cyclistes professionnels sont autant de raisons à un dysfonctionnement. Ces troubles de l’érection ayant une origine physique concernent surtout les hommes de plus de 50 ans. Ces dysfonctionnements sont généralement d’apparition progressive sur plusieurs années et non pas brutalement. La chirurgie liée au cancer de la prostate ? Le cancer de la prostate est le cancer le plus diagnostiqué chez l’homme et l’intervention la plus pratiquée. La prostatectomie totale a en général pour conséquence une disparition (temporaire) des érections. Les chirurgiens pratiquent très souvent une ablation large pour ne pas risquer de laisser des tissus cancéreux et comme les nerfs érecteurs sont très proches de la prostate, ils sont souvent abimés. Quand cela est possible, ces nerfs sont laissés en place, ce qui permet de retrouver des érections dans un délai inférieur à 1 an mais en général, il n’est pas rare qu’il faille attendre deux ans pour retrouver une qualité d’érection satisfaisante.

Elle peut se transmettre de la mère à l'enfant, sexuellement, elle se manifeste par la fièvre, les maux de tête, les douleurs articulaires en se compliquant elle donne des anemies, des troubles cardiaques, renaux,et des problèmes mentaux,des fatigues et des insomnies.C'est une maladie mortelle.

Une papule peut se développer au niveau de la morsure de la mouche tsé-tsé, quelques jours à 2 semaines après la morsure. Elle évolue en nodule induré douloureux rouge brunâtre (chancre trypanosomal).Les symptômes commencent par de la fièvre, typiquement intermittente, des maux de tête, et des douleurs articulaires. Un chancre (tuméfaction au niveau du point d'inoculation) se voit dans un cas sur cinq dans la forme rhodésienne mais est exceptionnel dans la forme gambienne.

Après plusieurs mois d'infestation par T. b. gambiense mais après quelques semaines dans le cas de T. b. rhodesiense, une fièvre intermittente, des céphalées, des frissons, des douleurs musculaires et articulaires et des œdèmes faciaux transitoires se développent. Une éruption érythémateuse circinée éphémère peut se développer. Elle est plus visible chez le patient à peau claire. Une lymphadénopathie généralisée est fréquente.

Dans la forme due à T. b. gambiense, l'atteinte du SNC se produit des mois à plusieurs années après le début de la phase aiguë de la maladie. Dans la forme due à T. b. rhodesiense, l'évolution de la maladie est plus rapide et l'envahissement du SNC se produit en quelques semaines. L'atteinte du SNC entraîne des céphalées persistantes, une incapacité à se concentrer, des modifications du comportement (p. ex., lassitude évolutive, indifférence), une somnolence diurne, un tremblement, de l'ataxie et un coma terminal. En l'absence de traitement, le décès survient dans les quelques mois suivant le début de la maladie due à T. b. rhodesiense et au cours de la 2e ou 3e année dans le cas de T. b. gambiense. Le patient non traité décède dans un coma de dénutrition ou par suite de surinfections secondaires.

La maladie se transmet essentiellement par la piqûre d’une mouche tsé-tsé infectée, mais il existe aussi d’autres façons pour les populations de contracter la maladie du sommeil. La contamination mère-enfant: le trypanosome peut franchir la barrière placentaire et infecter le fœtus. La transmission mécanique par d’autres insectes hématophages est possible. Toutefois, il est difficile d’évaluer l’impact épidémiologique de cette transmission. Des infections accidentelles se sont produites en laboratoire par piqûre accidentelle avec des aiguilles contaminées. La transmission du parasite par contact sexuel a également été documentée. Au cours du premier stade de la maladie, les trypanosomes se multiplient dans les tissus sous-cutanés, dans le système sanguin et lymphatique. On parle alors de phase lymphatico-sanguine qui se caractérise par des poussées de fièvre, des céphalées, des douleurs articulaires et un prurit. Au cours de la seconde phase, le parasite franchit la barrière hémato-encéphalique et envahit le système nerveux central. C’est ce que l’on appelle la phase neurologique ou méningo-encéphalique. En général, elle correspond à l’apparition des signes et symptômes manifestes de la maladie: modification du comportement, état confusionnel, troubles sensoriels et mauvaise coordination. Les troubles du sommeil, à l’origine du nom de la maladie, sont une caractéristique importante de la deuxième phase. En l’absence de traitement, la maladie du sommeil est mortelle. On considère qu’en l’absence de traitement, la maladie du sommeil est mortelle, bien qu’on ait signalé quelques cas de porteurs sains.

Le corps humain a une température qui varie autour de 37Ã?° , elle peut être un peu plus elevée après un effort musculaire,On se sent fièvreux lorsqu'on a chaud sans raison, des frissons.On parle de forte fièvre lorsque la température dépasse 39Ã?° et au dessus de 43Ã?° C'est la mort.

La température peut être prise sur divers endroits du corps: dans l’anus, sous les aisselles, dans la bouche ou encore dans le tympan. En fonction de la technique sélectionnée, les températures normales varient: de36,6 à 38°C par voie rectale, de 35,5 à 37,5°C par voie buccale, de 34,7 à 37,3°C sous les aisselles et de 35,8 à 38°C par voie tympanique. Si vous prenez la température par voie buccale, il faut ajouter 0,5°C pour retrouver l’équivalent d’une prise rectale ou tympanique et 0,7°C pour une prise sous les aisselles.

La fièvre est une réaction à une agression bénigne ou grave. C’est la présence d’autres symptômes qui doit alerter : Est-ce que le cœur fonctionne comme il faut ? Et la respiration ? Quel est l’état de conscience… Ce sont bien ces autres symptômes, moins évidents à identifier et qui sont les plus importants et doivent conduire à consulter un médecin

La morsure d'un serpent est suivie par des signes caractéristiques, en leurs abscence on doit considerer que la morsure n'etait pas venimeuse.Les manifestations sont: les douleurs et sensation de brulure intense,la peau est legerement plus foncee autour de la morsure, l'enflure debute et s'etend plus ou moins vite.La zone peu devenir terne , grisatre et insensible après quelques jours.

Trois niveaux d'intervention doivent être distingués : sur les lieux de la morsure (premiers secours), dans les postes ou cabinets médicaux périphériques et sans moyens particulier (traitement d'urgence) et les services de soins intensifs réservés aux cas les plus sévères (réanimation et traitement des complications)

l convient d'abord de rassurer la victime et d'éviter la panique. Si l'on dispose du matériel nécessaire, on peut nettoyer la morsure. Il faut s'efforcer d'immobiliser le membre avec un bandage peu serré (bande Velpeau, gaze foulard...). Il est essentiel d'éviter les gestes dangereux : brûlure de la plaie avec une flamme ou un objet incandescent, application directe de glace ou de produits chimiques agressifs, incisions ou garrot. Ces gestes, le plus souvent inutiles sont toujours dangereux. Enfin, on procédera le plus rapidement possible à l'évacuation du patient vers le centre de santé le plus proche.

À la suite d'une morsure, on observe généralement chez la victime un état de panique et une instabilité émotionnelle qui peuvent causer des nausées, des vomissements, des vertiges, de la diarrhée, des évanouissements, de la tachycardie et des frissonnements. La télévision, la littérature et le folklore sont en partie responsable du battage qui suit souvent une morsure, et la victime peut penser même inconsciemment à une mort imminente. Bien que ces effets soient d'origine psychologique et non directement dus au venin, ce stress important peut aggraver la situation. Les morsures sèches (sans injection de venin), ainsi que celles causées par les espèces non-venimeuses, peuvent quand même parfois causer des blessures graves, pour plusieurs raisons. Tout d'abord une morsure qui n'est pas traitée correctement peut s'infecter, comme c'est souvent le cas pour les morsures de vipéridés qui sont souvent très profondes. Par ailleurs la morsure peut dans de rares cas causer un choc anaphylactique chez certaines personnes, et la salive du serpent peut contenir des pathogènes dangereux comme Clostridium tetani. Ainsi, une morsure considérée comme inoffensive et négligée peut parfois tuer la victime. La plupart des morsures, par un serpent venimeux ou non, ont des effets locaux. On observe ainsi une douleur et une rougeur dans 90 % des cas, bien que cela dépende de l'endroit du corps touché. Les morsures de vipéridés et de certains cobras peuvent être très douloureuses, avec un œdème important des tissus touchés dans les cinq minutes qui suivent[6]. La zone touchée peut également saigner et se cloquer, se nécroser parfois. D'autres symptômes liés aux morsures de crotales et de vipéridés sont la léthargie, le saignement, un affaiblissement de la victime, des nausées et des vomissements. Certains symptômes mettent plus en danger la vie de l'individu mordu qui peut développer de l'hypotension, de la tachypnée, une importante tachycardie, une grave hémorragie interne, ou des problèmes aux reins et aux poumons.

Ici on a des envies frequentes, des necessité d'attendre pour uriner, la faiblesse du jet d'urine, cela peut s'aggraver et bloquer completement, et l'urine risque de chercher d'autrès chemins et infecter le sexe.

Toute perte de sang indique qu'on recherche sa cause et qu'on la traite, il faut savoir si le sang est sorti pendant des efforts de toux, avec un vomissement, s'il est noir ou rouge.L'evolution du saignement est aussi très important, pour savoir si le saignement à commencé brutalement, si elle a été de courte durée( quelque heures au maximun), ou s'il colore les crachats pendant plusieurs jours. Pour prevenir les Ulcères d'estomac, il faut eviter les contrariétés, le strèss et les inquiétudes, eviter le tabac l'alcool, le piment , le citron, eviter les gros repas et prendre les repas en petites quantités

L’absence des règles est du à leurs disparition ou à leurs non apparition au moment opportun,elle apparaissent normalement entre 10 et 14 ans, mais certaines filles peuvent l'avoir à 9 ans ou à 16 ans, de plus au cours des premières années elles sont irrégulières, la disparition des règles se fait entre 45 et 50 ans. Les règles durent generalement 4 à 5 jours avec des pertes de sang,chacune devrait connaitre la durée des siennes, et dire qu'elles sont abondantes revient a constatée qu'elles sont anormale par rapport à la moyenne. Les douleurs lors des règles sont plus ou moins intense les premiers jours, la plupart de temps elles ne sont pas signe de maladies, cependant si elles sont très aiguës il faut chercher la cause. Les saignements vaginaux sont l’écoulement du sang en dehors des règles.

L'aménorrhée est l’absence de menstruations chez une femme en âge de procréer. Le mot « aménorrhée » provient du grec a pour privation, mên pour mois et rhein pour couler. De 2 % à 5 % des femmes seraient touchées par l’aménorrhée. Il s’agit d’un symptôme dont il est important de connaître la cause. L’absence de règles est tout à fait naturelle lorsque, par exemple, la femme est enceinte, allaite ou approche de la ménopause. Mais en dehors de ces situations, elle peut être un signe révélateur d’un stress chronique ou encore d’un problème de santé comme l’anorexie ou d’un trouble de la glande thyroïde.

La durée de l’aménorrhée dépend de la cause sous-jacente. Dans la majorité des cas, l’aménorrhée est réversible et se soigne facilement (à l’exception, bien sûr, de l’aménorrhée liée à des anomalies génétiques, à des malformations non opérables, à la ménopause ou à l’ablation de l’utérus et des ovaires). Cependant, lorsqu'une aménorrhée de longue date n’est pas traitée, la cause peut finir par atteindre les mécanismes de la reproduction. Par ailleurs, l’aménorrhée associée à un manque d’oestrogènes (l’aménorrhée causée par des sports exigeants ou un trouble de l’alimentation) rend plus à risque d'ostéoporose à long terme – donc de fractures, d’instabilité des vertèbres et de lordose - puisque les oestrogènes jouent un rôle essentiel pour préserver la structure osseuse. Il est maintenant bien connu que les femmes athlètes qui souffrent d’aménorrhée ont une densité osseuse plus faible que la normale, ce qui explique qu’elles soient plus sujettes aux fractures1. Si la pratique modérée d’exercice aide à prévenir l’ostéoporose, l’excès d’exercice, quant à lui, a plutôt l’effet inverse s’il n’est pas équilibré par un apport calorique supérieur.

Le grattage provoqué par le demangeaisons peut à la longue entrainer des ecorchures, des croutes et les infections.

Les grosseurs sont les boules qui roulent sur la peau

Les testicules sont enfermés dans les Bourses ou le SCrotum, si ce derniers grossit soit ce sont les testicules qui ont augmentés soit c'est le scrotum qui a augmenté.

Le Vomissement c''est le rejet par la bouche du contenu de l'estomac.La Nausée c'est l'envie de vomir. Il ne faut pas confondre vomissement et Regurgitement, ni avec l'aigreur de l'estomac, le regurgitement chez un bébé c'est le renvoi d'une quantité minime de lait, c'est normale, alors que l'aigreur de l'estomac .C'est une remontée acide comme du vinaigre dans la gorge, elle est favorisée par certaines positions ou par la consommation de certains aliments qui irritent l'estomac.

Les régurgitations qui ne sont que des rejets passifs liés à la contraction de la musculaire lisse de l'estomac (les mères disent parfois de leur nourrisson qu'il "crache" : le contenu de l'estomac sort lentement de la bouche de l'enfant et tache les draps, les couvertures et les habits. Ces régurgitations sont favorisées par les mouvements brusques imposés au nourrisson) ; Le mérycisme qui est l'aptitude à faire remonter volontairement vers l'oesophage le contenu gastrique, véritable acte de rumination chez un bébé qui y prend plaisir, qui manque de contacts affectifs et qui s'ennuie. Le vomissement vrai se définit par le rejet actif de tout ou partie du contenu gastrique sous l'effet de la contraction des muscles abdominaux, du diaphragme et des muscles lisses de l'estomac.

La cétonurie avec vomissements qui apparaît chez l'enfant de 2 à 8 ans. L'haleine acétonique et la cétonurie font poser le diagnostic. Céphalées, fièvre, vomissements, douleurs abdominales sont fréquemment associés. Une diarrhée, des selles décolorées font parler de "crise de foie". L'enfant présente des vomissements répétés, incoercibles et n'accepte rien dans l'estomac. Il est fatigué, abattu, irritable ou somnolent. Une déshydratation est possible. Ces crises se répètent régulièrement et inquiètent les parents. Parfois, le tableau est plus dramatique. Des troubles neurologiques surviennent : convulsions, troubles de la conscience, collapsus cardiovasculaire. Il s'agit souvent d'enfants anxieux, émotifs et instables, sujets au mal des transport, aux migraines et aux maladies allergiques. Des antécédents familiaux identiques sont souvent retrouvés. La crise peut être déclenchée par le jeûne, une émotion, un stress, un traumatisme, une infection ou rien du tout. Les troubles disparaissent vers 12 ans mais sont souvent remplacés par d'autres maladies psychosomatiques : migraine, spasmophilie, céphalées .

Enflement des joues à partir de la base des oreilles, accompagné de legère douleur. Cette maladie est très contagieuse, il faut isoler le malade pour qu'il ne contamine pas les autres personnes. Les oreillons sont une maladie contagieuse transmise par un virus, appelé paramyxovirus, à l’origine d’une infection qui provoque le gonflement de l’une ou des deux glandes parotides (= glandes responsables de la production de salive) situées à proximité des oreilles. Le cou et les joues sont enflés, ce qui cause une douleur souvent importante au moment de mastiquer ou d’avaler des aliments.

Les oreillons sont une maladie virale due à un paramyxovirus dit virus "ourlien". Très contagieuse, la maladie se manifeste par une inflammation des glandes salivaires.

Dans près d'un tiers des cas, le patient ne présente pas de symptôme : la maladie est dite asymptomatique. La période d'incubation (entre la contamination et les premiers symptômes) dure environ 3 semaines. Voici les symptômes qui doivent alerter : La parotidite (inflammation de la glande parotide) doit faire évoquer d'emblée le diagnostic dans un contexte épidémique évocateur (oreillons à la crèche, chez les frères et sœurs,…). D'abord d'un seul côté puis des deux, elle réalise une tuméfaction douloureuse de la joue refoulant le lobe de l'oreille en haut et en dehors : le visage est déformé en forme de poire. Une fièvre modérée et des douleurs des oreilles sont fréquemment présentes. Les localisations dans les autres glandes peuvent survenir avant, pendant ou après l'atteinte salivaire ; L'orchite (inflammation testiculaire) ne s'observe en cas d'oreillons qu'après la puberté. Elle doit être suspectée devant une fièvre élevée et des douleurs abdominales. Le plus souvent d'un seul côté, elle atteint les deux testicules dans un quart des cas ; Une pancréatite (inflammation du pancréas) avec vomissements et douleurs abdominales est possible. Les localisations neurologiques se manifestent le plus souvent sous la forme d'une méningite (sans signes cliniques le plus souvent), plus rarement d'une encéphalite. Il existe également une possibilité (rare) d'atteinte des nerfs crâniens avec surdité définitive.

C'est de 0 à 5 ans que le developpement de l'enfant est plus important et il est plus vulnérable, il est désarmé car il ne sait pas marcher , ne sait pas s'exprimer, il a besoin de plus de soins,et son alimentation influe beaucoup sur sa croissance, il est fragile car non habitué aux microbes etc. A cet age, un drame peut lui être physiquement ou psychologiquement fatale, il ne supporte pas les séparations avec les personnes qu'il connait déjà, c'est aussi l'age où la mortalité infantile est la plus élévée et atteint souvent les un enfant sur deux.

Le mal de dos est fréquent car la colonne vertébrale qui est la partie centrale du Dos est une alignement des os et d articulations qui supportent le poids du corps tout en etant soumis à des mouvements complexes, au fil de l'âge on est moins souple à partir de 50 ans on a des douleurs supplementaire dues à certains mouvements et lorsqu'on est gros, il est normal d'avoir de temps en temps mal au dos et au reins car ils sont plus sollicité que la normale.

C'est une maladie tropicale qui peut être bénigne dans la plupart des cas.Les vers véhiculés par ces parasites obstruent les vaisseaux sanguins,créant des troubles cutanés ,des démangeaisons qui peuvent devenir l’éléphantiasis.Les filarioses sont des helminthiases, maladies dues à des vers parasites, des nématodes appelés filaires. Il existe une très grande diversité de filaires dont très peu d'espèces sont des parasites de l'Homme. Ce sont toutes des maladies transmissibles par la piqûre d'un arthropode vecteur et l'hôte principal est toujours un vertébré. Les filaires sont ovovivipares : elles ne pondent pas des œufs, mais des larves appelées microfilaires qui peuvent circuler dans le sang des vertébrés. Les adultes sont appelés macrofilaires qui peuvent vivre dans les lymphatiques, la peau ou autres tissus.Les filarioses humaines sont très fréquentes dans les pays tropicaux . Leur gravité est variable : elles peuvent être bénignes ou lourdement handicapantes.

Ce sont des sensations de la peau faite de picotements ou de chatouillement qui poussent irresistiblement à se gratter.

C'est une inflammation cutanée, l'eczema provoque des irritations ainsi que l apparition de petites pustules squameuses (boutons). Souvent du à une réaction allergique Ã?  certaines substances, L'eczema peut être héréditaire, provenir d un contact prolonge avec un agent irritant ou tout simplement apparaître sans raison précise. L\'acné survient pendant l\' adolescence et se traduit par des boutons, des pustules et des kystes, localisés sur le visage et le dos.

L’acné est une maladie de la peau caractérisée par l’éruption de boutons rouges, de points noirs et de kystes. Elle touche le plus souvent le visage et le thorax, mais aussi le dos, le torse voire le cuir chevelu. L’acné est le reflet de réactions qui ont lieu dans les glandes sébacées. Logées dans la peau, ces glandes produisent le sébum, une substance lubrifiante. S’il manque de sébum, la peau sera sèche et facilement gercée. S’il y en a trop, la peau deviendra plus grasse et acnéique. En effet, l’excès de sébum obstrue le conduit des glandes sébacées. Cela facilite la prolifération de bactéries normalement présentes dans la peau et notamment les bactéries Propionibacterium acnes, responsables d’inflammation (boutons rouges). Lorsque le follicule bouché se dilate trop, cela provoque des lésions rétentionnelles (points noirs et microkystes). Les symptômes de l’acné se traitent plutôt bien chez l’adolescent. Ils sont parfois plus difficiles à guérir chez l’adulte.

L’acné est très fréquente chez les adolescents : on estime que de 80 % à 90 % d’entre eux en sont atteints à un moment ou à un autre. Les garçons sont plus touchés que les filles. Dans la majorité des cas, l’acné disparaît vers l'âge de 20 ou 30 ans, mais il arrive qu’elle persiste, on parle alors d'acné tardive.

Les lésions plus profondes (kystes) peuvent laisser des cicatrices. Il faut absolument éviter de percer les lésions, car cela peut entretenir l’acné et risque davantage de créer des cicatrices. La présence prolongée de nombreux boutons ou de lésions sur le visage et sur le corps peut nuire à l’image et l’estime de soi, surtout chez les adolescents. Il peut accroître le stress dans les relations sociales. Il est souvent possible d’améliorer l’apparence de la peau avec des soins quotidiens, le temps que l’acné s’atténue ou disparaisse.

Le visage, le cou et le thorax sont les régions où on trouve le plus de glandes sébacées. C’est pourquoi l’acné s’y concentre. Des comédons ouverts ou points noirs : une tête noire apparaît parce que le mélange sébum-cellules de peau change de couleur en entrant en contact avec l’air ; Des comédons fermés : se présentent sous la forme de boutons blancs. Ils sont causés par l’encombrement et la dilatation de follicules pileux en raison de l’excès de sébum ; Des papules : il s’agit de boutons rouges. La rougeur indique une inflammation. Ils peuvent être sensibles au toucher ; Des pustules : il s’agit de lésions contenant du pus. Elles peuvent être rouges à leur base et sensibles au toucher. Elles se forment lorsque l’obstruction du follicule entraîne une accumulation de bactéries ; Des nodules : ces lésions sont plus grosses, plus profondes et plus douloureuses au toucher que les pustules. Elles sont dures au toucher ; Des kystes : comme les nodules, ils forment des boules, mais sont situés plus profondément sous la peau. Parfois ils sont douloureux et rougissent, signe d'infection.

Destruction de la peau ou de la chair, elle peut être superficielle( premier degre) , ou grave car beaucoup d eau s y ecoule et la chair brulée developpe les microbes

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