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On appelle dystrophie musculaire un groupe de maladies dans lesquelles les muscles du visage, des bras, des jambes, de la colonne vertébrale ou du cœur diminuent de volume et s'affaiblissent progressivement avec le temps. Cela peut entraîner de nombreuses restrictions physiques et, dans certaines formes de dystrophie musculaire, réduire la durée de vie. Les troubles musculaires sont des affections familiales (ils touchent plusieurs membres d'une même famille) et la plupart commencent pendant l’enfance.

Les symptômes et l'âge d'apparition de la maladie dépendent du type de dystrophie musculaire. Les symptômes de la dystrophie musculaire incluent souvent : - des troubles de la coordination et de la mobilité, avec des chutes fréquentes; - une faiblesse musculaire; - une raideur articulaire. Les symptômes de la dystrophie musculaire de Duchenne apparaissent de manière précoce, habituellement lorsque l'enfant a entre 1 et 6 ans. Cette affection qui évolue rapidement touche d’abord les jambes et les hanches, et l’enfant a besoin d’un fauteuil roulant vers l’âge de 12 à 13 ans. Aux symptômes énumérés précédemment s’ajoutent la fatigue, les problèmes dans les os du dos et du thorax et, enfin, la déficience intellectuelle. Les personnes atteintes ont souvent de gros mollets parce que d’importants dépôts graisseux se forment sur les muscles de cette région. Ils peuvent éventuellement s'associer à des difficultés respiratoires et à une pneumonie.

Par ailleurs, certaines dystrophies ne touchent que les garçons : c’est le cas de la myopathies de Duchenne et de la myopathie de Becker. Dans les deux cas, le gène en cause dans ces deux maladies est situé sur le chromosome X qui existe en un seul exemplaire chez les personnes de sexe masculin.

En outre, la dégénérescence musculaire conduit le corps et les articulations à se déformer peu à peu : les personnes atteintes peuvent souffrir de scoliose. On observe fréquemment un raccourcissement des muscles et des tendons, qui donne lieu à des rétractions musculaires (ou tendineuses). Ces différentes atteintes se traduisent par des déformations articulaires : les pieds et les mains sont tournés vers l’intérieur et vers le bas, les genoux ou les coudes se déforment.

Le déchaussement dentaire, appelé également récession gingivale, est la rétractation de la gencive autour de la dent. Il entraîne la destruction des tissus de soutien de la dent (ligaments, os, etc.) au niveau de la racine de la dent. Cette destruction va créer une poche parodontale. Cet espace entre la gencive et la racine va être propice à l’accumulation de bactéries.

La gingivite est le premier stade du déchaussement dentaire : elle constitue un véritable signal d'alerte. Cette inflammation du tissu gingival rend la gencive gonflée, rouge et sujette à des saignements. Elle peut être traitée facilement et ne pas avoir de conséquences. En revanche, si elle n’est pas prise en charge, elle peut alors mener au déchaussement dentaire.

Certains signes devraient vous alarmer et vous inciter à contacter en urgence votre dentiste : - Une sensibilité dentaire au chaud, au froid et à l’acidité ; - Une ou plusieurs dents plus longues que les autres dents saines, à cause de la racine qui s’expose peu à peu ; - Le saignement des gencives lors du brossage des dents ; - Une rougeur et une enflure des gencives, qui persiste durant plusieurs semaines.

La (DMLA) ou dégénérescence maculaire sénile est une maladie de la rétine provoquée par une dégénérescence progressive de la macula, partie centrale de la rétine, qui peut apparaître à partir de l'âge de 50 ans, et plus fréquemment à partir de 65 ans, provoquant un affaiblissement important des capacités visuelles, sans toutefois les anéantir.

Les habitudes de vie jouent un rôle important. Le tabagisme est un facteur de risque majeur : comparativement aux non-fumeurs, les fumeurs courent de 2 à 3 fois plus de risque d'être un jour atteint de cette affection

Dans le cas de la forme sèche, plusieurs personnes conserveront néanmoins une bonne vision toute leur vie ou perdront progressivement leur vision centrale. Cette forme de dégénérescence maculaire est incurable. Par contre, on peut ralentir son évolution par la prise de certaines vitamines antioxydantes et la pratique d’exercice physique. Comme la maladie peut rester asymptomatique pendant longtemps, cela pourrait retarder le diagnostic et donc le traitement - ce qui risque de réduire son efficacité. Dans le cas de la forme humide, les sujets risquent de perdre rapidement leur vision centrale. Heureusement, il existe des traitements pour soigner la forme humide. Cette forme provoque des symptômes assez rapidement : une baisse soudaine de vision et une distorsion des objets (les lignes droites deviennent déformées). Pour les 2 formes de dégénérescence maculaire liée à l'âge, la vision peut baisser dans un oeil et se maintenir dans l'autre durant des années.

D'abord asymptomatique, la maladie évolue jusqu'à donner lieu à des symptômes qui varient en fonction de la gravité de la maladie, mais qui n'occasionnent pas de douleur. Un besoin d'accroître l'intensité lumineuse pour la lecture ou pour un travail de précision. Une vision centrale de plus en plus floue ou embrouillée, qui se remarque davantage à la lecture. Une adaptation lente après un éblouissement par une lumière vive ou lorsque la luminosité baisse soudainement. Une perception altérée des couleurs : elles paraissent plus ternes et difficiles à distinguer. Une distorsion des lignes droites en cas de dégénérescence maculaire humide, de proche et de loin. Au stade le plus avancé, une petite tache sombre au centre du champ visuel, une difficulté à reconnaître les visages et, parfois, des hallucinations visuelles (des formes géométriques, des animaux, des visages déformés, etc...).

La dyspareunie est le terme médical utilisé pour désigner les douleurs ressenties lors d’un rapport sexuel. Il est plus souvent employé pour désigner les douleurs perçues par les femmes. La dyspareunie peut avoir des causes différentes, aussi bien physiques que psychiques.

Chez la femme, il est fréquent de distinguer deux types de dyspareunie : les dyspareunies superficielles, ou dyspareunies d’intromission, lorsque la douleur se manifeste à proximité ou au niveau de l’orifice du vagin ; les dyspareunies profondes, en cas de douleurs pelviennes, c’est-à-dire de douleurs ressenties dans la région du pelvis, incluant le bas ventre et la zone génitale. En cas de douleurs pendant un rapport sexuel chez la femme, le terme de vaginisme est parfois employé.

La dyspareunie est caractérisée par l’apparition de douleurs lors d’un rapport sexuel. Celles-ci peuvent être : localisées ou diffuses, en se manifestant par exemple chez la femme au niveau de différentes régions de la zone intime comme les lèvres, le vagin, le clitoris, ou encore la vulve ; superficielles ou profondes. Lors d’une dyspareunie, les douleurs peuvent notamment se manifester par : des sensations de brûlures, de piqûres ou de coupures ; des picotements ; des démangeaisons ; des contractures spasmodiques.

La Dysménorrhée est le terme médical pour les crampes menstruelles. La plupart des femmes qui sont menstruées ont quelques crampes. Pour certaines, c’est seulement agaçant, alors que chez d’autres, c’est sérieux et invalidant. La dysménorrhée est une douleur qui précède, accompagne ou suit la menstruation (les règles).

Il s'agit de douleurs pelviennes (du bas ventre), médianes, parfois à type de coliques, d'autres fois plus lancinante et continue. Elles apparaissent soit un peu avant les règles, soit au début de celles-ci, soit vers la fin, et ou bien se manifester pendant toute leur durée. Quand elles sont très intenses, elles peuvent gêner considérablement la femme.

Celles-ci s'accompagnent parfois de : Nausées ; Vomissements ; Diarrhée ; Fièvre ; Douleurs dans le bas du dos et aux jambes ; Sensation de malaise.

L'andropause se manifeste chez l'homme entre 45 et 65 ans. C'est une période de la vie de l'homme durant laquelle le taux de testostérone baisse et entraîne un certain nombre de symptômes liés à ce chamboulement hormonal : baisse du désir sexuel, troubles érectiles, irritabilité, augmentation de la graisse viscérale, etc. L'alimentation saine peut être un véritable remède contre l'andropause en améliorant la qualité de vie et en prévenant les désagréments liés à l'andropause.

Dans la plupart des cas, la dysfonction érectile serait causée par l'incapacité du système à faire affluer suffisamment de sang dans le pénis pour générer une érection. Parmi les causes de cette incapacité, on met en cause des lésions nerveuses, le stress, l’anxiété, la prise de certains médicaments, l’excès d’alcool, le tabagisme, l’obésité et les troubles de santé comme l’hypertension, l’artériosclérose et le diabète. (Voir aussi notre fiche sur la dysfonction érectile.) La baisse de testostérone qui accompagne l’andropause joue aussi un rôle négatif dans le métabolisme du glucose et des lipides, d’où une plus grande susceptibilité à souffrir de diabète type 2, de maladies cardiovasculaires et éventuellement du syndrome métabolique. Une bonne alimentation peut aider à prévenir l’apparition de ces 3 problèmes de santé et ainsi contribuer à améliorer la fonction érectile.

À l’aube de la quarantaine, beaucoup d’hommes commencent à accumuler de la graisse au niveau de la taille. La baisse de la testostérone est impliquée dans cette tendance à accumuler de la graisse abdominale. Cette graisse, appelée graisse viscérale, est dangereuse pour la santé puisqu’elle se retrouve autour d'organes importants comme le coeur et le foie. De plus, elle augmente le risque de nombreuses maladies, dont le diabète, l’hypertension et les maladies cardiovasculaires. La mesure du tour de taille peut indiquer si l’on souffre d’embonpoint ou d’obésité abdominale. Il est question de surpoids abdominal lorsque le tour de taille est supérieur à 94 cm chez l’homme. Quant à l’obésité abdominale, elle correspond à un tour de taille de 102 cm et plus chez l’homme. La mesure du tour de taille doit être prise au plus petit périmètre entre le nombril et les dernières côtes.

Les voies biliaires se composent de petits tubes (canaux) qui transportent la bile du foie à la vésicule biliaire puis à l’intestin grêle. La vésicule biliaire est un organe de petite taille, en forme de poire, localisé sous le foie. Elle stocke la bile. Lorsque la bile est nécessaire, au moment du repas, la vésicule se contracte et chasse la bile des voies biliaires vers l’intestin grêle.

Les symptômes de la cholécystite aiguë,Ce sont en général des symptômes qui évoquent une colique hépatique. A cette douleur sont associées : Une fièvre supérieure à 38.5°C ; Une asthénie avec anorexie ; Une contracture abdominale ; Des nausées. La crise dure 2 ou 3 jours et guérit en une semaine. Il y a parfois des antécédents de colique hépatique, mais parfois c'est le premier signe d'une lithiase biliaire.

Un aphte est un ulcère superficiel douloureux de la muqueuse buccale ou d'un autre organe. Il est parfois « bipolaire » (oro-génital). Au niveau de la muqueuse buccale, il se forme la plupart du temps sur l'intérieur des lèvres et des joues, la langue, le palais, les gencives ou la gorge. Les aphtes apparaissent le plus souvent chez un sujet apparemment « sain », de façon isolée. Ils sont parfois précédés d’une sensation de cuisson, et guérissent spontanément. Caractérisés par une forme arrondie ou ovale sur un fond jaune cerné d’un halo rouge inflammatoire, non indurés, ils peuvent être de très petite taille (aphtes « miliaires ») ou géants (aphtes nécrotiques de Sutton). Lorsque les aphtes buccaux ne sont pas isolés et sont systématiquement accompagnés d'autres symptômes, ils peuvent évoquer : une maladie de Behçet ; une des maladies inflammatoires de l'intestin (colite ulcéreuse, maladie de Crohn).

La guérison est spontanée en 8 à 10 jours dans des conditions d'hygiène normale, traités par des antiseptiques locaux. Si un aphte n'a pas disparu deux semaines après son apparition ou si d'autres sont apparus entre-temps, la consultation d'un praticien est fortement conseillée. Il existe de nombreux traitements traditionnels, dont ceux basés sur le vinaigre en bain de bouche.

Le psoriasis est une maladie inflammatoire de la peau. Il se caractérise généralement par l'apparition d'épaisses plaques de peau qui desquament (qui se détachent sous formes « d’écailles » blanches). Les plaques apparaissent à différents endroits du corps, le plus souvent sur les coudes, les genoux et le cuir chevelu.

Le psoriasis peut être très désagréable ou même douloureux lorsqu’il se manifeste sur la paume des mains, la plante du pied ou dans les plis de la peau. L’étendue de la maladie varie considérablement d’une personne à l’autre. Selon l’endroit où les plaques sont situées et leur étendue, le psoriasis peut être gênant et nuire à la vie sociale. En effet, le regard des autres sur les maladies de peau est souvent blessant.

La maladie évolue par poussées assez imprévisibles et très variables selon les individus. Les symptômes durent généralement 3 à 4 mois, puis ils peuvent disparaître durant plusieurs mois, voire des années (c'est la période de rémission) pour ensuite réapparaître dans la plupart des cas. Les personnes atteintes d’une forme de psoriasis modérée ou sévère peuvent être très affectées par leur apparence et ainsi souffrir de stress, d’anxiété, solitude, perte d’estime de soi et même de dépression.

Une courbature est décrite comme étant « une sensation d’endolorissement, de fatigue des muscles après un effort inhabituel ou à la phase initiale de certaines infections virales ». Une courbature est le résultat d’un microtraumatisme au niveau des fibres musculaires. En réponse à cette lésion, l’organisme déclenche une petite réaction inflammatoire dont l’objectif est de réparer le muscle. C’est exactement ce phénomène qui provoque les douleurs, parfois très handicapantes et directement en lien avec l’intensité de l’exercice physique.

Les signes de courbatures sont très facilement identifiables. Elles se manifestent par des douleurs musculaires diffuses qui s’intensifient lors d’un mouvement ou au toucher. Elles surviennent dans les 12 à 72 heures qui suivent un effort physique, et disparaissent spontanément en quelques jours (3 à 7 jours).

Cors aux pieds, callosités, durillons sont des affections de la peau qui correspondent à un épaississement de la peau des pieds. Ils sont liés à des pressions et des frottements pendant la marche et causent très souvent de désagréables douleurs.

Les cors : C’est une affection bénigne qui se présente sous la forme de petites zones épaissies de la peau des pieds. Ils apparaissent sous l’effet de frottements et de pressions pendant la marche et, d’un point de vue morphologique ils comprennent 2 parties : - Un noyau arrondi, dense et translucide, visible sur la peau du pied. Une pointe en forme de cône inversé qui pénètre dans les couches cutanées profondes et provoque la douleur. Il existe généralement 2 types de cors : - Les cors mous : ils se forment généralement entre les 4ème et 5ème orteils et sont par paire, c’est-à-dire que deux cors situés sur deux orteils se font face. Ils ont une couleur blanchâtre et une consistance spongieuse due à la transpiration et la sueur produites entre les doigts de pied. Souvent ces cors mous ont une bordure rouge, enflammée et leur centre comporte un point noir : on les trouve alors sous le nom d’œil de perdrix. Ces cors mous peuvent éventuellement s’infecter.

- Les cors durs : ce sont les plus répandus, ils peuvent entrainer des douleurs gênantes pendant la marche et apparaissent : - sur le dessus des orteils (principalement sur les 3 derniers orteils) au niveau des articulations et entre les phalanges. - sur le côté extérieur du petit orteil qui est la zone la plus souvent soumise aux frictions dans les chaussures.

Les troubles et infections pouvant toucher le vagin sont multiples et variés. Ils peuvent se manifester par divers symptômes, tels que : des démangeaisons, internes et au niveau de la vulve; des sécrétions anormales, de couleur inhabituelle et/ou malodorantes; des sensations de brûlures, de douleurs, d’irritation; des modifications de la peau autour du vagin; une sécheresse vaginale anormale; la présence d’une « boule » ou d’une excroissance à l’intérieur du vagin;

La mycose vaginale est due à un champignon, le plus fréquent est le candida albicans. C'est l'infection vaginale la plus courante, elle n'est pas grave, mais doit être traitée.

Les démangeaisons vulvaires sont un symptôme féminin fréquent, qui survient dans diverses affections telles que : une irritation, qui peut elle-même être due à l’utilisation d’un savon trop acide, de bains moussants ou de sels de bain, de lessive ou encore de certains médicaments appliqués localement ; une pathologie dermatologique telle que l’eczéma, le psoriasis, le lichen scléro-atrophique ou autre ; une mycose vaginale, due à la présence d’un champignon, notamment Candida albicans, le plus fréquent ; une allergie, par exemple à la lessive ou à une matière textile ; une infection bactérienne ; une infection sexuellement transmissible ; une infection due à un morpion (le poux du pubis) ; une infection virale, comme l’herpès ; ou, bien plus rarement, un cancer de la vulve. Vous l’aurez compris, les démangeaisons de la vulve et du vagin peuvent principalement être dues à une réaction allergique, à une infection par un champignon, une bactérie ou un virus, ou à un dérèglement de la flore vaginale.

Si vous constatez des symptômes faisant penser à une mycose, une vulvite, une vaginose ou toute autre irritation de la vulve ou du vagin, vous pouvez être tentée de recourir à l'automédication, via des remèdes de grand-mères pas toujours très recommandés. Si vous connaissez bien ces symptômes et avez déjà été traitée pour cela, vous pouvez réutiliser la crème ou l’ovule prescrit par votre médecin, à condition de bien respecter la posologie. Si toutefois les symptômes sont différents, ou que c’est la première fois que vous souffrez d’un tel prurit vulvaire, mieux vaut consulter un médecin généraliste ou un gynécologue, surtout si les symptômes persistent au-delà de trois jours. Il identifiera la cause exacte de ces démangeaisons et vous prescrira le traitement adéquat.

L'ostéoporose est une affection qui touche le squelette. Elle entraîne une diminution de la masse de l'os et une détérioration de la structure interne du tissu osseux. L'ostéoporose touche davantage les femmes au moment de la ménopause et est associée à un risque accru de fractures.

L' ostéoporose une maladie du squelette principalement liée au vieillissement. Elle est caractérisée par une baisse généralisée et progressive de la quantité de tissu osseux (déminéralisation osseuse) et à une détérioration de sa structure interne. Le processus de renouvellement et de réparation des os que l'on appelle le remodelage osseux est raréfié et moins efficace, ce qui empêche la fixation de minéraux tels que phosphore et calcium.

Longtemps, la déminéralisation osseuse reste silencieuse sans aucune traduction clinique. Ce n’est que dans les formes avancées du déficit minéral que peuvent survenir des fractures spontanées ou lors de traumatismes légers. Ce risque fracturaire est augmenté surtout lors de maladie de Crohn, et il concerne essentiellement les fractures des vertèbres ; ces fractures sont habituellement muettes et découvertes lors d’examens radiographiques systématiques. La minéralisation osseuse peut s’évaluer par densitométrie osseuse : grâce à l’utilisation de rayons X, cet examen inoffensif et indolore permet de déterminer avec précision la densité minérale osseuse. Il n’existe pas de test biologique de pratique courante permettant de préciser le diagnostic. D’ailleurs, habituellement, au cours de l’ostéopénie, il n’y a pas de déficit documenté de la calcémie, de la phosphatémie ou de la 25 hydroxy-vitamine D.

Les staphylocoques sont des bactéries, sources de plusieurs pathologies. L'un des plus courants est le staphylocoque doré. Très contagieux, il est difficile d'en venir à bout.

Les symptômes se manifestent donc différemment selon les cas. Dans le cadre d’une infection cutanée, comme les furoncles, les folliculites ou l’impétigo, la peau devient rouge, gonflée et douloureuse. Des boutons remplis de pus apparaissent au niveau de l’aine, des fesses ou sous les bras.

Dans les cas les plus graves, les bactéries entrent dans le flux sanguin et prolifèrent. C’est ce qu’on appelle une septicémie, ou infection du sang. Cela provoque une forte fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires et parfois un choc toxique potentiellement mortel.

Avec l’âge, les cellules de la peau vieillissent et les premiers signes apparaissent dès la trentaine sur le visage

Tout simplement une veine anormalement dilatée au niveau des membres inférieurs. A cette augmentation de diamètre, s'associent également des anomalies de la paroi veineuse.On peut constater une dilatation d'une ou de plusieurs veines qui sont d’abord fines (moins de 3 millimètres de diamètre).

L'immense majorité des varices sont observées au niveau des jambes, des cuisses, derrière le genou et peuvent s’étendre jusqu'à l'aine. Elles se développent à partir du réseau de la veine saphène et de ses branches (réseau superficiel de veines).

Les varices sont inesthétiques, mais ne donnent en général pas de symptôme particulier. Elles se traduisent par un cordon bleu, visible à la surface de la peau, qui est plus saillant en position debout et s'efface en partie en position allongée.

Néanmoins, la stagnation du sang dans les membres inférieurs, qui résulte du mauvais fonctionnement veineux (insuffisance veineuse), peut favoriser l'apparition de symptômes associés, comme : Des œdèmes ou des gonflements, Une sensation de jambes lourdes , Des fourmillements ou des impatiences, Des dysesthésies : sensations de brûlures, de courant électrique, qui accompagnent souvent les impatiences , Des crampes nocturnes, Des démangeaisons. Il arrive aussi que la mauvaise circulation sanguine soit source de troubles cutanés avec une peau qui revêt une couleur brune au niveau des chevilles (dermite ocre). Dans d'autres cas, enfin, apparaissent des ulcères de la peau, difficiles à cicatriser et souvent siège de surinfection.

Certaines circonstances de la vie féminine favorisent l'apparition d'une insuffisance veineuse, qui pourra conduire à terme au développement de varices : période précédant immédiatement les règles (syndrome prémenstruel), prise de contraception hormonale, ménopause. Les grossesses augmentent aussi ce risque dans des proportions notables.

Lorsque ce sont les veines de la vulve qui sont dilatées, on parle alors de varice vulvaire. Très sensibles aux fluctuations hormonales, elles surviennent surtout chez certaines femmes au cours d'une grossesse. Dans la majorité des cas, ces varices disparaissent toutes seuls après l'accouchement. A noter que ces varices sont bien souvent asymptomatiques, mais dans quelques cas, elles s'accompagnent de lourdeur, de gonflement ou de démangeaisons.

Les varices des membres inférieurs sont l'un des symptômes de l'insuffisance veineuse, elles peuvent être accompagnées de : douleurs au niveau jambes, et en particulier sur le trajet d'une veine, constatée lors d'immobilisation prolongée. Elle s'aggrave lorsque la température est élevée, et est plus importante en fin de journée. lourdeurs au niveau des mollets, parfois de toutes les jambes, associées à des sensations de brûlures, de fourmillements ou de démangeaisons. Des crampes peuvent aussi réveiller la nuit. d'un œdème de la cheville et/ou du pied.

La maladie de La Peyronie (aussi appelé Induratio penis plastica) est une sclérose des corps caverneux, responsable d'une déviation de la verge en érection. Il s'agit d'une infiltration scléreuse du tissu conjonctif. Cette sclérose plus ou moins étendue en longueur voire en profondeur peut entraîner une déviation de la verge voire une dysfonction érectile. En effet l'érection va jusqu'à la plaque. Le plus souvent cette anomalie n'entraîne aucune gêne particulière.

- une éjaculation qui survient trop rapidement, avant que l'homme ou sa partenaire ne le souhaitent et ce, systématiquement ou très souvent; - une incapacité à « retenir » ou à contrôler l’éjaculation ; - des répercussions psychologiques négatives.

L’ejaculation precoce ou prématuree est, avec la dysfonction erectile (problemes d'erection), le trouble de la sexualité masculine le plus frequent. Ses causes sont variees : elles peuvent etre psychologiques, comportementales, neurobiologiques.

- une éjaculation qui survient trop rapidement, avant que l'homme ou sa partenaire ne le souhaitent et ce, systématiquement ou très souvent; - une incapacité à « retenir » ou à contrôler l’éjaculation ; - des répercussions psychologiques négatives.

Un bébé est considéré comme «prématuré» s’il naît avant que 37 semaines de gestation se soient écoulées. Normalement, une grossesse dure environ 40 semaines.

Pour certains parents, un accouchement prématuré est un souvenir douloureux. Plusieurs émotions peuvent être ressenties. Par exemple, le stress survient lorsque les parents réalisent que rien ne se passe comme ils l’avaient prévu. Ce sentiment est amplifié par la peur que le bébé souffre d’un problème grave ou par l’impression d’être complètement désorganisé. Un accouchement prématuré amène souvent une période de séparation entre les parents et le bébé. Cette séparation est nécessaire afin que le bébé reçoive les soins dont il a besoin, tout comme la maman.

• Les problèmes respiratoires sont fréquents en cas de prématurité. Une assistance par ventilation nasale ou par sonde est parfois nécessaire. Deux médicaments ont beaucoup amélioré le pronostic respiratoire : les corticoïdes intraveineux donnés à la maman avant la naissance ; le surfactant donné au bébé lors de son séjour en réanimation qui permet la maturation pulmonaire. • Le bébé prématuré n’a pas encore le réflexe de succion et ne peut coordonner déglutition et respiration. Cela explique qu’avant 34 semaines il soit nourri par sonde. • Une surveillance neurologique par électroencéphalogramme et IRM est indispensable au cours des premières semaines pour dépister d’éventuelles anomalies, en particulier en cas de grande prématurité. • D’autres complications digestives, hépatiques, rénales ou du système immunitaire justifient une surveillance médicale spécialisée.

Le tabagisme est l' intoxication aiguë ou chronique de nature physiologique et psychique provoquée par l'abus du tabac.Le tabac a été fumé en premier lieu par les Amérindiens depuis des temps indéterminés.

La consommation de tabac peut provoquer : - une forte dépendance et des épisodes de craving, même longtemps après un sevrage ; -des maladies cardiovasculaires : maladie coronarienne, accident vasculaire cérébral, anévrisme aortique, artériopathie oblitérante des membres inférieurs ; - des cancers : cancer du poumon, cancer du larynx, cancer des voies aérodigestives supérieures, cancer de la bouche, cancer de la vessie, cancer de l'œsophage, cancer du rein, cancer du pancréas, cancer du col utérin, cancer du sein et cancer du pénis ; - des maladies respiratoires : bronchopneumopathie chronique obstructive, aggravation de l'asthme, augmentation du risque de pneumonie aiguë, histiocytose langerhansienne, syndrome d'apnées du sommeil ; - des maladies de la grossesse et de la petite enfance : placenta praevia, retard de croissance intra-utérin, mort subite du nourrisson, pathologies infectieuses bénignes ; - des maladies digestives : œsophagite, reflux gastro-œsophagien, ulcère gastro-duodénal, maladies du pancréas, aggravation d'une hépatite, aggravation de la maladie de Crohn ; - des maladies variées : aggravation de la dégénérescence maculaire liée à l'âge, aggravation d'une kératite, aggravation de l'acné, retard de cicatrisation, pseudarthrose, agueusie, anosmie ; - des problèmes dentaires : les « gros fumeurs » (fumant au minimum 15 cigarettes par jour) ont deux à trois fois plus de chances de perdre des dents que les non-fumeurs .

L’immunité fait référence à la capacité qu’a le corps de se défendre contre des substances menaçantes pour son bon fonctionnement ou sa survie. Ces « menaces » peuvent être de 3 ordres : des microbes (virus, bactéries, champignons, parasites), des cellules devenues cancéreuses ou un corps étranger

La malnutrition. Une alimentation non équilibrée en quantité ou en qualité est la plus importante cause de déficit immunitaire à travers le monde et rend vulnérable à plusieurs maladies infectieuses. La sédentarité, et à l’inverse, le surentraînement. Le manque de sommeil. Le stress chronique. L’un des multiples effets du stress chronique sur le corps est de réduire la capacité du système immunitaire à réagir. L’exposition aux toxines, notamment par l’utilisation de produits de nettoyage domestique chimiques et d’herbicides sur les pelouses, et par la consommation de fruits et de légumes vaporisés d’insecticides. L’exposition aux polluants atmosphériques extérieurs ainsi qu’à ceux qui se propagent à l'intérieur des habitations (moisissures, bactéries, tabac et gaz de combustion). Le surplus de poids et l’obésité. Les fonctions immunitaires semblent lésées par l’excès de tissu adipeux, selon des études chez l’humain et chez l’animal4. On a même observé que l’obésité accroissait le risque de contracter certains microbes bien précis, comme l’influenza (responsable de la grippe) et l’Helicobacter pylori (associé aux ulcères gastroduodénaux). Les changements hormonaux et la présence accrue de substances pro-inflammatoires pourraient être en cause.

Le hoquet correspond à des spasmes involontaires du diaphragme, suivis de fermetures rapides et bruyantes de la glotte. Le diaphragme est le muscle qui sépare le thorax de l’abdomen et qui est responsable de chaque respiration. La glotte est l’ouverture entre les cordes vocales, qui se ferme pour stopper le flux d’air vers les poumons. Le hoquet est plus fréquent chez l’homme. De brefs épisodes de hoquet (qui durent quelques minutes) sont très fréquents. Mais il arrive parfois que le hoquet se prolonge, même chez des personnes en bonne santé. Parfois, le hoquet peut durer plus de deux jours, voire plus d’un mois. Ces épisodes plus longs sont appelés hoquets persistants. Les hoquets persistants sont rares mais peuvent être très pénibles.

L’uvéite correspond à une inflammation d’une partie ou de la totalité de l’uvée. Elle peut ainsi provoquer une rougeur au niveau de l’œil. L’uvée, qui se situe dans la couche moyenne, c’est à dire au centre de l'œil, est composée de l’iris, de la choroïde, une membrane qui irrigue la rétine, et du corps ciliaire.L’iris correspond à la partie colorée de l’œil entourant la pupille, qui contrôle la quantité de lumière qui entre dans l’œil et qui atteint la rétine. Le corps ciliaire est un ensemble de muscles qui permet à l’œil de rendre une image nette : on parle d’accommodation. L’uvéite peut être aigue ou chronique et peut toucher un œil ou les deux. L’uvéite peut être une iritis, également appelée uvéite antérieure. Dans ce cas, l’inflammation concerne l’iris. L’iritis est l’uvéite la plus fréquente. Il existe aussi des cyclites qui correspondent à une inflammation du corps ciliaire. Lorsque l’inflammation atteint l’iris et le corps ciliaire, on parle alors d’iridocyclite. L’uvéite postérieure, ou la choroïdite, touche elle la choroïde dans le fond de l’œil. Quand la totalité de l’urée est concernée, on parle plutôt d’une panuvéite.

Non traitées, les uvéites peuvent abîmer rapidement l’œil et avoir des conséquences graves. Elles peuvent par exemple entraîner une baisse irréversible de la vision ou provoquer des glaucomes, des problèmes au niveau du nerf optique ou de la rétine, ou une cataracte. Les complications sont moins fréquentes en cas d’uvéite antérieure. Logiquement, la panuvéite est l'uvéite qui peut avoir les conséquences les plus graves.

Les uvéites présentent des symptômes différents selon leur localisation. L'uvéite antérieure et intermédiaire se manifestent par des rougeurs et des douleurs oculaires, des larmoiements, une photophobie (intolérance à la lumière) et une vision floue. En revanche, l'uvéite postérieure se présente généralement avec une myodésopsie (perception des corps flottants) et une perte de vision variable en fonction de la taille et de la localisation des lésions. L'inflammation peut apparaître uniquement dans un œil ou dans les deux (simultanément ou de façcon séparée dans le temps). Elle peut apparaître de manière aiguë et soudaine ou avoir une évolution chronique avec un début plus progressif et une durée plus longue. Les récidives ou rechutes peuvent être fréquentes.

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