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La migraine est une forme de mal de tête plus intense et plus douloureuse, voire handicapante. Souvent familiale, elle se manifeste par des crises de quelques heures à quelques jours.. Heureusement, il existe maintenant des médicaments très efficaces pour diminuer la douleur et la fréquence des crises

Douleur intense et pulsatile d’un côté de la tête ou au-dessus d’un œil.Intolérance à la lumière, au bruit et aux mouvements obligeant à s’isoler dans une pièce calme et sombre.Nausées ou vomissements.Troubles de la vision (vision trouble, petites taches noires).Impression de froid ou de chaleur.La migraine peut parfois être précédée d’une aura, c’est-à-dire de troubles de la vision (stries lumineuses, scintillements, perte de vision temporaire) et de sensations étranges (engourdissements, picotements, difficultés à parler). Ce phénomène dure moins d’une heure mais l’aura n’est pas systématiquement suivie de migraine.Après une migraine, fatigue et difficultés de concentration sont souvent au rendez-vous.

L'hypertension artérielle touche beaucoup d'adultes et, si elle n'est pas traitée, augmente grandement les risques de crises cardiaques, et d’accidents vasculaires cérébraux. Mais de nouvelles études suggèrent que de brusques fluctuations de la pression artérielle peuvent avoir un effet tout aussi dévastateur sur la santé. En effet, oublier de prendre quotidiennement ses comprimés augmente considérablement les variations de la pression artérielle donc les risques d'accident vasculaire cérébral, et de crise cardiaque.

L'AVC frappe sans prévenir et risque de se reproduire chez 30 à 40% des patients dans les 5 ans suivant le premier AVC. Alors, pour réduire au maximum les risques de séquelles, voire de décès, il est indispensable de connaître les signes d'un AVC. Les symptômes d'alerte suivants : Paralysie d'un côté du corps : perte de la force d'un bras ou d'une jambe, de la moitié du visage, ou d'un côté du corps dans sa totalité. Troubles du langage : difficulté soudaine pour trouver ses mots, jargon peu compréhensible, difficultés à articuler ou à comprendre ce que dit une personne. Troubles de la sensibilité : engourdissement du visage, d'un bras ou d'une jambe, pouvant entraîner une chute. Difficultés à bouger un bras ou une jambe. Troubles visuels : perte soudaine de la vision d'un œil ou vision absente de la moitié d'un champ visuel, Maux de têtes violents. Troubles de l'équilibre. Ce sont les symptômes les plus fréquents, mais il en existe d'autres. Contrairement à l'infarctus du myocarde qui se caractérise par une douleur dans la poitrine bien spécifique, l'AVC peut en effet se manifester différemment, selon la région du cerveau qui souffre.

L'accident vasculaire crée un barrage au niveau d'une artère. Le sang ne passe plus et l'artère ne peut plus irriguer correctement le cerveau afin de lui apporter les éléments nécessaires à son fonctionnement, comme l'oxygène ou le sucre. Résultat, la zone se mortifie, c'est-à-dire que les cellules de la zone concernée meurent progressivement. Les séquelles sont variables selon la zone touchée. Beaucoup de patients présentent des séquelles après un AVC. La gravité des troubles varie selon les cas. Les séquelles les plus fréquentes sont les troubles de l'équilibre et de la mémoire. De plus, parmi les personnes avec séquelles, 51 % déclarent avoir beaucoup de difficultés ou ne pas pouvoir marcher 500 mètres. Près de la moitié (45,3 %) déclarent avoir des difficultés pour les activités de la vie quotidienne, la toilette le plus souvent. L'AVC peut aussi entraîner une incontinence urinaire et la dépression.

Le pied d'athlète ou intertrigo inter-orteils (du nom scientifique tinea pedis) est une dermatomycose, c'est-à-dire une infection de la peau par des champignons microscopiques. L'incidence de l'affection est élevée chez les adolescents. Elle se manifeste par des érosions linéaires suivant la direction des plis et bardées par des squames.

Démangeaisons entre les orteils, surtout entre les 4e et 5e.De petits lambeaux de peau se détachent, la peau rougit et se crevasse.Mauvaise odeur dans certains cas.

La localisation des dermatophytes au niveau du cuir chevelu (teignes) se voit chez l'enfant entre 3 et 12 ans. Connues depuis l'Antiquité, les teignes sont toujours d'actualité et continuent à se propager malgré l'utilisation de traitements efficaces. Elles résultent de l'atteinte du follicule pileux et du poil par certains champignons (dermatophytes Microsporum et Trichophyton) qui pénètrent le cheveu. La teigne est une maladie du cuir chevelu et des poils provoquée par des champignons appelés dermatophytes. C’est un genre de mycose. Trois types de teignes du cuir chevelu sont connus mais au début toutes les teignes se présentent sous le même aspect de petites plaques squameuses parfois légèrement érythémateuses.

Une plaque squameuse constitue la lésion sur laquelle les cheveux parasités sont cassés courts et tous de la même longueur. Le contour de chaque plaque est bien limité. Progressivement, les teignes tondantes s'étendent en l'absence de traitement mais guérissent toujours sans alopécie cicatricielle.On distingue les teignes tondantes à grande plaque et les teignes tondantes à petites plaques : Les teignes tondantes à grandes plaques sont dues à des microspores. Le chat et le chien sont les vecteurs contaminateurs. Les plaques sont peu nombreuses et mesurent 2 à 4 centimètres de diamètre. A leur niveau, les cheveux sont cassés à 3 ou 4 mm de l'émergence et recouverts de squames poudreuses grisâtres. Les cheveux s'arrachent facilement et leur base est engainée. Les teignes tondantes à petites plaques sont dues aux trichophytes. Les plaques sont petites (1 cm) et les cheveux sont cassés très courts (1 à 2 mm) , englués dans des squames. Au sein de la plaque, tous les cheveux ne sont pas cassés. Les limites des plaques ne sont pas très nettes. Le cheveu parasité n'est pas fluorescent en lumière de Wood. Toutes les teignes trichophytiques sont anthropophiles.

LES TEIGNES SUPPURATIVES Le kérion de Celse se présente sur le crâne tout d'abord sous la forme d'un macaron érythémato-squameux rapidement extensif atteignant plusieurs centimètres de diamètre. Vers le quinzième jour, cette plaque se surélève en bloc et prend un aspect inflammatoire et pustuleux. La pression fait sourdre du pus par les orifices pilaires dilatés. Les cheveux restants peuvent être extraits par simple traction et ne sont pas fluorescents en lumière de Wood. L'intensité des signes locaux contraste avec l'absence de fièvre, de douleur et de ganglion satellite. Le kérion guérit tout seul en quelques semaines sans cicatrice importante et laisse une immunité durable. Les parasites d'origine animale sont fréquents en zone rurale. Trichophyton mentagrophytes est transmis à l'homme par les animaux familiers (chien, chat, lapin, cobaye, cheval etc). Trichophyton verrucosum est transmis par les bovidés. LES AUTRES DERMATOPHYTIES La contamination par les poils teigneux du chat ou du chien et les spores peut engendrer des lésions cutanées sur les joues ou les bras de l'enfant. Le milieu extérieur peut conserver le champignon jusqu'à un an. L' herpès circiné est très caractéristique et se présente comme une plaque ronde dont le centre est érythémato-squameux et la bordure plus foncée, vésiculeuse. Lorsqu'il s'agit d'une lésion unique d'herpès circiné, le traitement peut se faire par une crème anitycosique. Dans les cas de lésions multiples, l'antimycosique est prescrit par voie orale pendant 7 à 14 jours.

Une sinusite est une inflammation d'un ou de plusieurs des quatre types de sinus (maxillaire, frontal, sphénoïdal ou ethmoïdal) que comporte le corps humain. Les symptômes les plus communs incluent : irritation nasale, voire congestion au niveau d'une ou des deux fosses nasales, et douleur faciale. D'autres signes peuvent inclure fièvre, céphalée, diminution du sens de l'odorat, larmoiements, maux de gorge et toux, aussi des mauvaises odeurs (dues au pus et à d'éventuels saignements) et parfois une dysgueusie. Des symptômes qui peuvent empirer la nuit

La sinusite peut être de deux types. Aiguë : provoquée dans la plupart des cas par une infection virale du type rhume, elle se soigne entre 7 et 12 jours . Elle peut également être provoquée par des allergies ou des abcès dentaires. Chronique : elles peuvent être la conséquence d'épisodes infectieux insuffisamment traités et sont souvent favorisées par des facteurs anatomiques ou allergiques. La sinusite est qualifiée de chronique lorsqu'elle dure au-delà de 2 semaines et jusqu'à 4-8 semaines. Toutefois, une sinusite aigüe peut être qualifiée de chronique si elle se répète 2 a 4 fois durant la même année.

Les sinus sont des cavités osseuses presque refermées sur elles-mêmes, en arrière des fosses nasales, avec lesquelles elles communiquent. Les principaux sinus se situent au-dessus des sourcils : ce sont les sinus frontaux, et sous les orbites : ce sont les sinus maxillaires.

La sinusite correspond à une inflammation des sinus entraînée par un virus ou une bactérie. Il existe plusieurs types de sinusite selon les sinus atteints : sinusite maxillaire, frontale, éthmoïdale ou encore sphénoïdale. L’infection la plus courante est l'atteinte des deux sinus maxillaires, à la suite à une rhinopharyngite.

La pharyngite est une inflammation du pharynx. On parle de pharyngo-amygdalite lorsqu'il y a une inflammation des amygdales associée.

La colopathie fonctionnelle ou syndrome du côlon irritable (SCI), ou syndrome de l’intestin irritable (SII), est un trouble du fonctionnement de l’intestin. Les personnes concernées souffrent d’une forte gêne au quotidien : ballonnements, diarrhées, constipations… Des facteurs comme le stress favorisent son déclenchement. On fait le point sur ce trouble.C'est une affection fréquente qui se manifeste par la survenue chronique de symptômes digestifs, comme des douleurs abdominales, des ballonnements, une diarrhée ou une constipation, sans que l'intestin ne présente aucune lésion visible. En d'autres termes, le tube digestif est normal anatomiquement, c'est son fonctionnement qui est pathologique. On parle également de côlon irritable ou de trouble fonctionnel de l'intestin.

Le syndrome de l’intestin irritable (SII) est aussi nommé syndrome du côlon irritable. On utilise également le terme « colopathie fonctionnelle ». Il s’agit d’un trouble digestif qui se caractérise par des malaises ou des sensations douloureuses au ventre. Ces malaises sont associés à la modification de la vitesse de passage des aliments dans le côlon, aussi appelé gros intestin (voir schéma). Des vitesses de passage trop rapides ou, à l’opposé, trop lentes causeront des symptômes différents. Ainsi, lorsque les phases de contraction et de relâchement des muscles intestinaux sont plus rapides ou plus fortes que la normale, le côlon n’a pas le temps d’absorber l’eau contenue dans les aliments. Cela provoque de la diarrhée.

Le cancer de l’œsophage se développe le plus souvent à partir de cellules de la muqueuse. Les facteurs de risque les plus connus sont la consommation de tabac, d'alcool et l’obésité. Les traitements proposés dépendront de la gravité du cancer et de son étendu. Ils reposent généralement sur la chirurgie, la chimiothérapie et la radiothérapie. Le cancer de l’œsophage peut apparaître sur n'importe quelle partie de l'organe. Il se développe le plus souvent à partir de cellules de la muqueuse. La tumeur siège le plus souvent au tiers inférieur de l’œsophage. Le cancer de l’œsophage touche plus souvent les personnes entre 50 et 84 ans . Le cancer de l’œsophage est un cancer de mauvais pronostic. La gravité de ce cancer est notamment liée à son extension au moment du diagnostic.Il existe deux principaux types de cancer de l’œsophage : Les carcinomes épidermoïdes (les plus fréquents) ; Les adénocarcinomes.

La dysphagie intermittente et variable est le premier symptôme : le patient a l'impression que les aliments se bloquent de temps en temps derrière le sternum. Ce signe s'accompagne parfois : De douleurs ; De brûlures derrière le sternum ; De troubles digestifs banals ; D'éructations (rots) douloureuses. À un stade plus tardif, la dysphagie est permanente, la salivation exagérée (hypersialorrhée), avec régurgitations, enrouements...

La conjonctivite est une inflammation de l'oeil très fréquente, et notamment de la conjonctive, couche transparente de cellules recouvrant toute la surface de l’œil y compris l’intérieur de la paupière. L’inflammation donne un aspect d’œil rouge, par irritation diffuse de la conjonctive. Elle est en général virale, d'orgine allergique ou bactérienne.

Des douleurs à un oeil ou aux deux yeux, souvent à type de sensation d’un grain de sable dans l’oeil. Des picotements à un oeil ou aux deux yeux. Une sensation de brûlure, d'égratignure ou d'abrasion. Des sécrétions qui forment parfois une croûte durant la nuit. Une rougeur de l’œil atteint (ou des deux yeux). Un larmoiement réflexe.

Les vergetures sont des lésions cutanées très fréquentes qui sont assimilables à des cicatrices et qui surviennent essentiellement à la puberté et pendant la grossesse, lorsque l'on a en même temps une distension d'une partie du corps, c'est-à-dire une augmentation de volume (mais pas toujours), et souvent le rôle favorisant de certaines hormones. Si on analyse la peau, le nombre de fibres élastiques est très grandement diminué. De façon exceptionnelle, elles peuvent survenir spontanément. 40% des hommes sont concernés contre 70% des femmes. Les vergetures ont un aspect de dépressions linéaires qui sont orientées la plupart du temps dans le sens de la tension de la peau. On observe deux phases d'évolution : une phase inflammatoire qui leur donne un aspect rouge violacé dû à la dilatation des vaisseaux une phase cicatricielle où elles sont blanches et atrophiques. Les vergetures sont généralement situées dans les zones qui prennent du volume : sous les seins, sur les cuisses et sur les hanches à l'adolescence et sur les seins et l'abdomen lors de la grossesse. Chez les hommes, on les observe dans la partie basse du dos, à la racine des bras chez ceux qui font du body building et la face interne des genoux.

En cas de transpiration excessive, on parle d'hyperhidrose. L'hyperhidrose désigne la production excessive de sueur par les glandes sudoripares, et concerne entre 1 et 3 % de la population (hommes et femmes). On parle alors de transpiration excessive. La transpiration est un mécanisme actif permettant d'évaporer l'eau pour ajuster la température du corps par les glandes sudoripares. Elle est activée en cas d'augmentation de la température corporelle, lors d'un effort physique (sport) ou la nuit par exemple, mais aussi en réponse a un changement hormonal

L'hyperhidrose peut concerner tout le corps ou certaines zones en particulier comme : les pieds, les aisselles, les paumes des mains, ou le cou, le visage, le dos et les jambes. Cette transpiration excessive peut être gênante pour la personne, mais aussi incommodante pour son entourage et devenir un véritable handicap

Un naevus ou "grain de beauté" est un regroupement de cellules pigmentaires dans la peau. Il se caractérise le plus souvent par une petite tache brune ou rosée, qui apparaît dans les premières décennies de la vie.

Il en existe plusieurs sortes. On distingue les nævus pigmentaires, simples communs ou banaux appelés communément grains de beauté. Ce sont les plus fréquents et leur origine est discutée. Le grain de beauté est dans sa forme classique une tache plus pigmentée que la peau alentour, parfois plane ou légèrement surélevée qui n'évolue classiquement pas ou très peu au cours de la vie. Les autres types de nævus peuvent prendre différentes couleurs, allant de toutes les nuances de la couleur du brun jusqu'au bleu. Les nævus communs existent chez tous les êtres humains dès le jeune âge et augmentent en nombre jusqu'à l'âge moyen de 40 ans avant de régresser. Les différentes classifications du naevus sont : Nævus pigmentés, grains de beauté " classiques " ;nævus bleus de couleur bleutée, car les cellules mélanocytaires sont dans les couches profondes de la peau ;nævus achromiques, de la couleur de la peau, de la couleur de la peau, qui apparaissent souvent à l'âge adulte ;nævus congénitaux, présents dès la naissance ;nævus sébacés qui apparaissent dès les premiers mois de vie et de façon préférentielle sur le visage ou le cuir chevelu. Il se développent non pas au niveau des mélanocytes mais à partir des glandes sébacées. • Nævus atypique.Un naevus atypique est un grain de beauté, relativement courant, qui apparaît au moment de la puberté. "Le naevus atypique n'est pas forcément un précurseur de mélanome, un cancer de la peau, même s'il peut présager d'une prédisposition à en développer un surtout lorsque le sujet présente de nombreux naevus atypiques (plus de 30)", poursuit la spécialiste. Les bords du naevus atypique sont irréguliers, souvent asymétriques et la pigmentation est inhomogène, parfois rougeâtre. Le naevus atypique a souvent un diamètre supérieur à 5 millimètres. Ainsi, il peut répondre à un ou plusieurs critères de la règle "ABCDE" (voir ci-dessous). "La présence de nombreux naevus atypiques justifie un examen dermatologique pour s'assurer de l'absence de signe de mélanome (transformation d'un naevus ou surtout nouvelle lésion pigmentée suspecte sur ce terrain à risque)", ajoute-t-elle. Il justifie surtout de respecter des règles de photoprotection. • Nævus congénital On parle de naevus congénital quand le naevus est présent dès la naissance. La taille est variable de quelques millimètres à plusieurs centimètres comme les naevus géants congénitaux. C'est surtout ceux-ci qui ont un risque potentiel de mélanome. Mais le principal problème des naevus congénitaux reste surtout esthétique : selon leur taille et leur localisation, ils peuvent nécessiter des chirurgies itératives. • Nævus géant Le naevus géant est l'autre nom du naevus géant congénital. Présent dès la naissance, il s'agit d'un grain de beauté de taille surdimensionnée. En effet, un naevus géant congénital mesure au minimum 20 cm de diamètre, mais il peut recouvrir une bien plus grande surface de peau. Le problème majeur de ce type de naevus en dehors de son aspect inesthétique, est la fréquence élevée de transformation en mélanome, un cancer de la peau. • Nævus mélanocytaire Le naevus mélanocytaire est le terme scientifique pour désigner ce qu'on appelle couramment le grain de beauté. Cette tache cutanée peut être de différentes tailles en variant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. Le naevus mélanocytaire s'explique par le déplacement des mélanocytes, cellules responsables de la production de mélanine, au cours de la vie de l'embryon. Ces cellules migrent alors du système nerveux central pour se fixer au niveau du derme et de l'épiderme. Ces grains de beauté peuvent présenter un aspect en relief ou être plats

L'hétérochromie correspond à une différence de couleur entre les iris des yeux, ou au sein d'un même iris. Elle est due à un défaut de production de mélanine, le pigment responsable de la couleur de nos yeux, de notre peau, ainsi que de nos cheveux. Plus il y a de mélanine, plus la couleur de nos yeux sera foncée. Cette caractéristique, plus commune chez les animaux comme les chiens, les chats et les chevaux, n'est pas propre à l'homme. L'hétérochromie peut également concerner la peau et les cheveux. L'iris n'est pas seulement là pour l'aspect esthétique de nos yeux, c'est une membrane capable de se contracter. Tel un diaphragme, il contrôle l'entrée de lumière dans l'œil, à travers la pupille.

La gangrène désigne la destruction d'un tissu due à un ralentissement prolongé ou à un arrêt de la circulation sanguine artérielle. La gangrène est une affection qui correspond à une mort cellulaire (nécrose) pouvant atteindre une partie du corps, le plus souvent un membre ou un organe (cœur, foie, poumons...). Il suffit que la circulation sanguine soit stoppée dans une zone (artère bouchée, infection) pour que la gangrène se développe : privés d'oxygène, les tissus organiques se putréfient. Gangrène de Fournier La gangrène de Fournier est une affection grave caractérisée par une nécrose rapide et progressive du périnée et des organes génitaux externes. Il existe souvent un facteur déclenchant local infectieux, traumatique ou chirurgical. Des facteurs favorisants, comme l'âge, le diabète et l'immunodépression, sont souvent présents chez les patients atteints. La prise en charge est urgente et nécessite une antibiothérapie parentérale prolongée, une rééquilibration hydroélectrolytique et un parage des tissus nécrosés. La gangrène gazeuse, également appelée "emphysème putride" ou "myonécrose", est une infection microbienne à Clostridium perfringens de type A (bactérie anaérobie). Cette bactérie produit du gaz au sein du tissu infecté. Il en résulte une sensation de crépitement, parfois perceptible lorsqu'on palpe les zones concernées. Gangrène sèche et gangrène humide On distingue en particulier la "gangrène sèche" où les tissus apparaissent souvent noirs et principalement dus à l'interruption du flux sanguin par une artère bouchée, et la "gangrène humide" dominée par la présence de tissus suintants en putréfaction. L'idéal est d'intervenir avant le stade de la gangrène : néanmoins dans les cas avancés, le rétablissement d'une circulation correcte peut ne pas être suffisant et une amputation peut être nécessaire. Gangrène diabétique Les personnes diabétiques sont davantage exposées au risque de développer une gangrène. On estime que le risque de gangrène chez le diabétique est multiplié par 17 comparé à celui de la population non diabétique. Ce risque est 10 fois plus élevé après l'âge de 65 ans. En France, le diabète est responsable de 10 000 amputations par an. En cause : la perte de sensibilité provoquée par la raréfaction des fibres nerveuses au niveau des extrémités

Les symptômes les plus souvent associés à la gangrène sont : une raideur et un gonflement visible au niveau de la partie concernée une perte de la sensibilité et une douleur importante au niveau de la zone gangreneuse l'apparition de cloques, voire d'ulcères une peau froide et pâle sur la zone affectée Dans certains cas, le membre affecté peut sembler lourd et un craquèlement de la peau peut s'y apparenter. Dans le cadre d'une origine infectieuse, d'autres signes peuvent également apparaître :Un état fébrile,Une perte d'appétit,Une augmentation du rythme cardiaque (tachycardie) et de la respiration,Des étourdissements et des vertiges. En l'absence de prise en charge et de traitement adapté, le tissu affecté commencera à mourir, insiste notre interlocuteur. La zone affectée se verra alors changer de couleur passant du blanc, au rouge de plus en plus foncé pour se noircir progressivement." Les risques en cas d'absence de traitement sont : une infection généralisée, une extension de la gangrène au reste du membre concerné, et même le décès. Cette évolution dramatique est devenue rare de nos jours en raison de la prise en charge adaptée et rapide des patients.

Les maladies auto-immunes sont des pathologies liées à un dysfonctionnement du système immunitaire.Une maladie auto-immune est une pathologie au cours de laquelle le système immunitaire agresse ses propres constituants. Normalement, le système immunitaire est éduqué pour respecter les cellules de notre organisme. Lors d'une maladie auto-immune, il se retourne contre elles en les considérant comme étrangères. Cela va créer une réaction inflammatoire

Les symptômes dépendent de la maladie induite par le dysfonctionnement immunitaire. Lors de la première phase de la maladie, le système immunitaire agresse les cellules, il y a une inflammation de l'organe qui est parfois perceptible par le patient. Dans ce cas, les symptômes sont liés à l'inflammation de l'organe touché :Douleur localisée,Rougeur,Gonflement. Le plus souvent, l'inflammation est n'est pas ressentie par le patient (destruction à bas bruit des cellules pancréatiques produisant l'insuline au cours du diabète de type 1, par exemple). Au bout d'un moment, il y a une cicatrisation de ce processus inflammatoire. C'est à partir de là que l'organe se met à dysfonctionner et que d'autres symptômes apparaissent : l'insuffisance rénale pour le lupus, l'incapacité à secréter de l'insuline pour le diabète.

Tous les organes peuvent être touchés : la peau, la thyroïde, le foie, le cerveau, les poumons, les yeux, les reins, les articulations… "On différencie les maladies auto-immunes cantonnées à un seul organe (la thyroïde, par exemple, qui est un cas fréquent), et les maladies auto-immunes systémiques (ou généralisées), lesquelles vont toucher plusieurs organes (typiquement, le lupus systémique, qui atteint les articulations, la peau et les reins).

Le scorbut est une maladie qui peut être mortelle mais heureusement qui se soigne aujourd'hui très vite. Lié à une carence en vitamine C, le scorbut réapparaît chez les personnes ayant un gros déséquilibre alimentaire.Le scorbut est une maladie très ancienne, que l'on trouvait sur les navires et dans les prisons, provoquée par une carence en vitamine C (acide ascorbique). Si elle est totalement éradiquée aujourd'hui puisqu'on en a identifié la cause, il arrive qu'on la retrouve chez les personnes en importantes carences alimentaires. La dose journalière recommandée en vitamine C est de 110 mg Notre taux de vitamine C varie en fonction que ce qu'on ingère. Mais on peut dire que les symptômes du scorbut apparaissent après 1 à 3 mois de carence totale

Initialement, une carence en vitamine C provoque une altération de la synthèse du collagène (protéine servant de structure à l'organisme, comme les capillaires sanguins par exemple). Cela entraîne donc des retards et des troubles de la cicatrisation, jusqu'à des hémorragies. Il y a trois phases de la maladie : Cela commence par de la fatigue, une anorexie (perte de la faim), un syndrome dépressif, des douleurs des articulations (genoux, hanches, épaules), des myalgies (douleurs musculaires) et des œdèmes des membres inférieurs. Mais ces symptômes sont très communs et peuvent s'apparenter à beaucoup de maladies : le diagnostic est donc difficile . La phase d'état est celle lors de laquelle on peut reconnaître les caractéristiques de la maladie. Il y a des manifestations cutanées hémorragique et stomatologique. L'éruption cutanée la plus commune est le purpura pétéchial (une éruption points rouges qui se n'effacent pas quand on appuie dessus). Il se concentre sur les follicules pileux (base du poil), surtout au niveau des jambes et du tronc. Ensuite, il y a des ecchymoses (bleus) sur tous les corps, puis des hématomes profonds (intramusculaires par exemple). Le patient peut saigner de partout : muscles, intestins, yeux etc. Du côté de la bouche : les gencives saignent, gonflent, et les dents peuvent se déchausser. Lors de la phase terminale, il y a une aggravation de tous les symptômes, et une chute des défenses immunitaires. Une plaie peut se rouvrir, même après plusieurs années. Les patients peuvent mourir d'hémorragie multiples, d'atteintes cardiaques, ou d'une petite infection qui s'aggrave (à cause de la baisse des défenses immunitaires).

L'allergie au sperme est une allergie très rare dont les symptômes sont parfois confondus avec ceux des infections sexuelles. Il s'agit pourtant d'un pathologie à part entière qui peut avoir des conséquences sérieuses.L'allergie au sperme peut être définie comme une allergie aux protéines du liquide séminal qui va déclencher chez les personnes sensibilisées une réaction allergique immédiate et potentiellement dangereuse.

Les symptômes apparaissent assez rapidement après le contact avec le sperme. On peut notamment observer :Des démangeaisons,Un œdème localisé à la zone de contact, l'apparition potentielle d'urticaire et d'un œdème qui peut s'étendre et se généraliser, dans certains cas, "cela peut aller jusqu'au malaise, une gêne respiratoire, une chute de tension et dans des cas rares et extrêmes une anaphylaxie sévère.

Fatigue oculaire, difficultés à lire, incapacité à faire la mise au point, vision floue de près… Ce sont les premiers signes de la presbytie, un déclin naturel de l'accommodation visuelle qui nécessite une correction spécifique.La presbytie est un trouble de la vision qui se définit par une diminution naturelle de l'accommodation en vision rapprochée. Elle se manifeste généralement autour de 40-45 ans. Concrètement, la "mise au point" de l’œil sur un objet proche se fait de moins en moins bien. Le pouvoir accommodatif baisse avec l'âge. Le passage entre la vision de loin et la vision de près se fait dès lors beaucoup moins bien.

L'hypermétropie et la presbytie sont deux troubles de la vision très proches. Toutefois, l'hypermétropie est souvent d'origine congénitale tandis que la presbytie apparaît en général après 40 ans et ne concerne que la vision de près. Le presbyte ne "voit mal" que de loin tandis que l'hypermétrope a du mal à faire la mise au point de loin comme de près et cela peut s'aggraver avec la presbytie. "Parfois, les hypermétropes s'ignorent car leur déformation n'est pas suffisamment importante pour les empêcher de bien voir. Elle va alors se révéler avec l'apparition de la presbytie : les premier symptômes apparaîtront plus tôt que la moyenne, sous l'effet conjugué des deux déformations.

Avoir du mal à voir de près peut être un signe d'hypermétropie. En effet, ce défaut visuel, assez fréquent, s'explique généralement par un œil trop court ou par une cornée trop plate. Si l'hypermétropie est présente dès l'enfance, elle ne devient gênante que vers la quarantaine, lorsque les capacités d'adaptation visuelle des individus s'amenuisent avec l'âge.

La cataracte est une affection de l'œil, et plus précisément du cristallin, une petite lentille ovale située derrière la pupille, transparente et souple, dont le rôle est de focaliser la lumière sur la rétine et de permettre une mise au point pour une vision nette, de loin comme de près. Le cristallin subit le plus souvent une opacification progressive qui entraîne une baisse de la vision et une gêne face aux sources lumineuses. La cataracte peut toucher un seul œil ou bien les deux, on parle alors de cataracte uni- ou bilatérale, et pas toujours en même temps. Cette maladie oculaire touche majoritairement les personnes de plus de 60 ans, et même 2 sur 3 après 85 ans, en raison du vieillissement naturel du cristallin. Il peut également toucher des personnes plus jeunes suite à différents facteurs comme un traumatisme oculaire, certaines maladies de l'œil ou l'utilisation de certains médicaments.

La cataracte survient lorsque le cristallin, cette petite lentille ovale située derrière la pupille, perd de sa transparence.

On distingue plusieurs formes de cataractes, dont voici les principales. La cataracte sénile. La majorité des cataractes surviennent chez les personnes âgées. Le processus normal de vieillissement peut entraîner le durcissement et l’opacification du cristallin. La cataracte liée à l’âge touche souvent un oeil plus que l’autre. La cataracte secondaire. Certaines maladies (surtout le diabète, s’il est mal contrôlé), la prise de certains médicaments (par exemple, la cortisone prise par voie orale) ou l’exposition à de fortes doses de radiation peuvent être la cause de cataracte. En outre, le fait d’avoir subi une chirurgie à l’oeil ou d’avoir certains problèmes oculaires (comme une forte myopie, un glaucome ou un décollement de la rétine) rend plus à risque de cataracte. La cataracte traumatique. Elle se produit à la suite d’une blessure à l'oeil qui endommage le cristallin : un coup, une coupure, l’exposition à une chaleur intense, une brûlure chimique, etc. La cataracte chez l’enfant. La cataracte peut se manifester dès la naissance, mais cela est rare. Elle peut accompagner une maladie congénitale (par exemple, la trisomie 21) ou résulter d'une maladie infectieuse de la mère transmise au foetus durant la grossesse, comme la rubéole, la toxoplasmose, l’herpès génital ou la syphilis.

Le ganglion correspond à l’apparition d’une boule ou d’une grosseur au niveau du cou ou de la gorge, et est souvent source d’inquiétude.La localisation peut varier : sur les côtés sous la mâchoire, sur la face antérieure du cou, ou dans le cou d’un côté ou de l’autre, etc. La boule peut être indolore ou sensible, molle ou dure, rouler sous les doigts ou non.

L'influence de la glande thyroïde sur l'organisme est majeure. Le rôle de cet organe en forme de papillon situé à la base du cou (sous la pomme d'Adam) est de réguler le métabolisme des cellules de notre corps. Elle détermine donc la vitesse du « moteur » de nos cellules et de nos organes. Lorsque la thyroïde s'emballe dans sa production d'hormones, le corps en fait tout autant dans sa combustion d'énergie, faisant tourner plusieurs fonctions vitales à plein régime. C'est ce qu'on appelle l'hyperthyroïdie. Lorsque la glande fonctionne au ralenti, qu'elle ne produit pas assez d'hormones, il s'agit d'hypothyroïdie.

Provoquée par le virus Epstein-Barr, la mononucléose infectieuse concerne particulièrement les adolescents et les jeunes adultes.Il s'agit d'une maladie infectieuse bénigne causée par le virus Epstein-Barr (EBV). La mononucléose n'apparaît qu'une seule fois au cours de la vie de l'individu. C'est une infection sans gravité dans la très grande majorité des cas. On estime que 90 à 95 % des adultes ont déjà eu la mononucléose, très souvent sans qu'ils le sachent.

Dans sa forme habituelle, cette maladie se traduit par une fièvre, un mal de gorge, une augmentation de la taille des ganglions cervicaux et surtout, de la fatigue. Toutefois, aucun de ces symptômes n'est systématique en cas de mononucléose. Attention cependant à la pratique de certains sports, car la mononucléose est classiquement responsable d'une splénomégalie (soit une augmentation de taille de la rate), ce qui impose d'éviter les activités à risque de traumatisme et de rupture de rate. Chez le bébé, la mononucléose est le plus souvent non symptomatique, mais elle peut aussi être responsable des mêmes symptômes que chez l'adulte, ou d'autres symptômes tels que : otite, diarrhée, douleur abdominale, symptômes d'infection respiratoire.

Les complications sont rares, mais peuvent concerner plusieurs organes : le cœur (myocardite), le cerveau (encéphalite, méningite), les poumons (pneumonie), le rein (néphrite) et le foie (hépatite virale). La rupture de la rate en phase aiguë d'infection est une autre complication connue, mais heureusement rarissime. Enfin, en cas de prise à tort d'amoxicilline, il est classique de voir apparaître une éruption cutanée.

Avoir du mal à voir de près peut être un signe d'hypermétropie. Ce défaut visuel, assez fréquent, s'explique généralement par un œil trop court ou une cornée trop plate. L'hypermétropie est une anomalie ophtalmologique faisant partie des troubles de la réfraction dans laquelle les rayons lumineux passant à travers les structures de l'œil ne convergent pas assez et se projettent en arrière de la zone optimale de la vision située sur la rétine, appelée macula. Néanmoins grâce au phénomène d'accommodation, due à la capacité du cristallin de modifier son rayon de courbure, l'œil augmente la convergence et la vision nette est permise. Si l'hypermétropie est présente dès l'enfance, elle ne devient gênante que vers la quarantaine, lorsque les capacités d'adaptation visuelle des individus s'amenuisent avec l'âge

Si l'hypermétropie peut survenir dès le plus jeune âge, les enfants possèdent une capacité d'accommodation à ce défaut visuel qu'ils compensent naturellement. Dans ce cas, ils ne se plaignent pas de troubles de la vision. En règle générale, seuls les enfants qui présentent un strabisme sont détectés précocement dans le cadre d'une prise en charge ophtalmique. À l'inverse, l'hypermétropie latente ne se révèle véritablement que vers l'âge de 35 ou 40 ans lorsque le sujet ne parvient plus à compenser son défaut visuel. Des symptômes apparaissent alors comme des maux de tête ou une vision floue, surtout de près

La rougeur du blanc de l'œil peut être accompagnée de picotements, de démangeaisons, de douleurs, de larmoiements ou d'une baisse de l'acuité visuelle. Ces symptômes peuvent avoir des causes très variées.

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