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La toxoplasmose est une maladie due à un parasite (ou protozoaire intracellulaire) : le toxoplasme Gondi. Elle est commune à l'homme et à de nombreuses espèces animales. L'infection humaine est très fréquente. On estime que 50 % des femmes en âge de procréer ont eu une toxoplasmose. La contamination se fait essentiellement par voie digestive à partir de viande crue ou mal cuite et d'aliments souillés (crudités…). Mais on peut aussi l'attraper par contact direct avec les chats, ceux-ci constituant un réservoir naturel de cette maladie. La contamination sanguine est possible mais reste exceptionnelle. La toxoplasmose est une maladie en général bénigne qui passe le plus souvent inaperçue.

Après ingestion, les toxoplasmes passent dans le système réticulo-endothélial (aux abords des vaisseaux sanguins) où ils se multiplient. Ils gagnent ensuite la circulation sanguine puis s'enkystent dans différents tissus (muscles striés et cerveau) où ils persistent indéfiniment sous contrôle du système immunitaire de l'hôte. Le plus souvent, des symptômes non spécifiques apparaissent : ganglions au niveau du cou (adénopathies cervicales) et état de faiblesse générale (asthénie). Ils régressent spontanément. Dans quelques rares cas, ces signes cliniques sont plus prononcés.

Le plus souvent, la toxoplasmose passe inaperçue car elle ne provoque pas de manifestations cliniques, ou alors quelques symptômes mineurs : Fièvre modérée ; Céphalées ; Douleurs articulaires et musculaires ; Ganglions dans le cou ; Éruption cutanée ; Fatigue sur une longue durée. Si elle est bénigne pour une personne en bonne santé, la toxoplasmose peut être dangereuse pour la femme enceinte, le fœtus et les personnes immunodéprimées

Une tendinite est l’inflammation d’un tendon (bandelette reliant un muscle à un os) qui peut être liée à plusieurs causes. Et comme cette tendinite met souvent du temps à guérir spontanément, il est important d’aider le corps dans son processus de guérison.

Le saturnisme est l'intoxication due au plomb, qu'elle soit aiguë ou chronique. Considérée comme une maladie professionnelle . L'intoxication par le plomb (IPb) est causée par l'accumulation de plomb dans le sang. Ce métal lourd est très toxique pour la santé humaine et engendre des séquelles graves et parfois irréversibles. Il représente un risque principalement pour les enfants en bas âge, dont il affecte le développement psychomoteur.

Comme indicateur de contamination, on utilise la plombémie (2). Mais elle n'est qu'une indication ponctuelle de l'imprégnation et ne présume en rien de l'intoxication passée ni de la réaction de l'organisme. Les limites supérieures sont, elles, importantes : au-delà de 700 µg/l de sang, on peut considérer qu'il y a imprégnation pathologique ou exposition dangereuse. La plomburie - mesure de la présence du plomb dans l'urine - est, quant à elle, plus révélatrice de l'intoxication installée. Le taux limite admis par la plupart des auteurs est de 80 µg par 24 heures et à partir de 150 µg/24 heures il y a imminence de manifestations cliniques. La plomburie provoquée est encore plus manifeste lorsque l'intoxication est ancienne. Elle consiste à injecter un chélateur du plomb (produit ayant une affinité avec le plomb) afin de promouvoir son évacuation : des excrétions supérieures à 700 ou 800 µg /litre sont suspectes. Le saturnisme est plus facile à diagnostiquer au stade clinique. La colique de plomb constitue souvent la première manifestation spectaculaire d'entrée dans la phase clinique de l'intoxication chronique ; les lésions rétiniennes seraient caractéristiques. Mais ce sont les manifestations rénales, neurologiques et nerveuses qui sont considérées comme des signes cliniques importants dont le dépistage doit être aussi précoce que possible.

L’intoxication par le plomb est souvent silencieuse et ses manifestations cliniques sont très peu spécifiques, si bien que le saturnisme n’est pas toujours diagnostiqué : fatigue et faiblesse générale, maux de tête et perte de mémoire, troubles digestifs (constipation, diarrhées, vomissements, douleurs abdominales, anorexie), troubles du comportement (apathie, irritabilité, perte de l'attention et du sommeil).

Les manifestations cliniques sont directement liées à la quantité et à la durée de l'exposition. L'intoxication chronique par une exposition prolongée au plomb peut engendrer de l'anémie, de l'hypertension artérielle, des troubles cardiaques et rénaux et une fertilité réduite. Une ligne bleutée apparaît sur les gencives dans les cas les plus graves. Une exposition à de très fortes doses peut entraîner la mort. Les embryons, les fœtus et les enfants en bas âge sont particulièrement exposés au saturnisme. Des niveaux d'exposition mêmes faibles peuvent avoir des conséquences irréversibles sur leurs capacités cognitives. Les enfants intoxiqués ont en effet un quotient intellectuel diminué, une faible capacité à maintenir leur attention et souffrent d’altération du comportement et de dyslexie. Conséquence de quoi ils se trouvent souvent en échec scolaire. Le plomb est très nocif pour la santé de la femme enceinte et celle de son fœtus. Il augmente le risque d'accouchement prématuré et d’avortement, et cause des retards de croissance et cognitifs irréversibles au fœtus en développement.

Une psychose est un trouble mental caractérisé par la perte du contact avec la réalité, une désorganisation de la personnalité, et la transformation délirante du vécu. La psychose est une maladie mentale grave qui provoque des troubles sévères tels que des pertes de contact avec la réalité, des bouffées délirantes (délire soudain) ou des idées irrationnelles (pensées absurdes, déraisonnables). La personne malade ne sait plus, par moments, ce qui est réel et ce qui ne l'est pas. Elle peut souffrir d'hallucinations visuelles ou auditives.

Les psychoses se distinguent ainsi des névroses, dans lesquelles le patient garde la notion du réel, même si parfois il en maîtrise mal l'interprétation. Dans une névrose, le sujet garde un esprit critique vis à vis de sa maladie. Les psychoses chroniques regroupent les délires chroniques, la schizophrénie, la paranoïa, la psychose hallucinatoire chronique (les hallucinations psychiatriques), la psychose maniaco-dépressive (ou trouble bipolaire ). Les psychoses aiguës se manifestent essentiellement par les bouffées délirantes aiguës, la manie aiguë, et certains états schizophréniques.

La psychose correspond à un trouble au niveau du cerveau. La personne qui en souffre n'a plus les mêmes pensées et émotions. Elle change de comportement. La maladie peut arriver d'un coup ou, au contraire, se développer progressivement. Dans ce dernier cas, des premiers signes comme un isolement, une méfiance, des angoisses ou une dépression peuvent apparaître et être des signes avant-coureurs. D'autres changements peuvent concerner l'appétit, le sommeil, des problèmes de mémoire ou encore de concentration. La psychose débute en général à la fin de l'adolescence. Elle doit être rapidement prise en charge. Il est en effet admis que plus la maladie est traitée tardivement, plus la guérison est lente. La personne n'est pas consciente de sa maladie, ni de son délire, ce qui différencie la psychose de la névrose. Une personne souffrant de psychose sera persuadée de la réalité de ses ressenties et de ses visions. Elle n'est pas consciente de ses troubles de la personnalité. La schizophrénie peut être considérée comme une psychose. Les personnes atteintes de troubles bipolaires peuvent aussi souffrir d'épisodes psychotiques. Il existe plusieurs psychoses : les psychoses maniaco-dépressive (avec des troubles importants de l'humeur), les psychoses hallucinatoires et les psychoses délirantes. La consommation d'alcool, de médicaments ou de drogues peut entraîner une psychose. Tout comme certaines tumeurs au cerveau ou un AVC. Un épisode psychotique se soigne. Il est même possible d'en guérir. Le traitement doit pour cela être adapté aux symptômes et aux causes de la psychose. Il combine généralement médicaments et psychothérapie. Une hospitalisation peut se révéler nécessaire.

La schizophrénie est une psychose, qui se manifeste par la désintégration de la personnalité, et par la perte du contact avec la réalité. C'est la maladie mentale chronique la plus fréquente. Les symptômes sont variés. Il peut être nécessaire d'hospitaliser ces patients, en particulier au début de la maladie.

Le trouble bipolaire (anciennement nommé trouble maniaco-dépressif) est une maladie psychiatrique responsable de troubles récurrents de l'humeur qui évoluent selon deux phases (d'où le terme "bipolaire"), qui surviennent en alternance. Une personne bipolaire va donc présenter des épisodes de dépression alternant avec des épisodes d'euphorie exagérée, appelé épisodes maniaque.

LES ÉPISODES DÉPRESSIFS : Ils sont marqués par des symptômes qui peuvent se rapprocher d'une dépression : Tristesse extrême et permanente ; Perte d'intérêt pour toutes choses ; Troubles du sommeil ; Manque d'énergie ; Troubles de la mémoire ou de la concentration ; Troubles de l'appétit ; Pensées de mort et de suicide… Cette phase dépressive fait suite à une phase maniaque.

LES ÉPISODES MANIAQUES : Ils sont marqués par : Une humeur euphorique ; Une énergie permanente et démesurée ; Une activité débordante voire une grande agitation ; Une surestimation de ses capacités ; Un sommeil réduit à quelques heures sans entraîner de fatigue ; Un accroissement de l'appétit sexuel ; Un jugement erroné sur la réalité, consistant à méconnaître les difficultés et les problèmes, et notamment à ne pas s'apercevoir du caractère anormal de son propre état.

On distingue 2 types de bipolarité : Le trouble bipolaire de type I : caractérisé par la survenue d'un ou plusieurs épisodes maniaques ou d'épisodes mixtes. Ces épisodes mixtes sont constitués d’une succession rapide de phases maniaques et dépressives dans une même journée. Le trouble bipolaire de type II : caractérisé par la survenue d'un ou de plusieurs épisodes dépressifs majeurs accompagnés d’au moins un épisode hypomaniaque. On parle d’épisodes "hypomaniaques", plutôt que "maniaques" car les phases d’exaltation sont moins prononcées. A noter : tous les degrés de l'humeur peuvent se rencontrer dans le trouble bipolaire, depuis la dépression sévère (accès mélancolique) jusqu'à l'exaltation extrême (accès maniaque), en passant par la dépression modérée ou les périodes d'humeur normale. Les accès de mélancolie nécessitent de la part de l'entourage une attention toute particulière car l'intensité de la dépression y est telle que le risque de suicide est extrêmement important. Aussi, les accès maniaques se traduisent parfois par de tels épisodes d'agitation qu'ils peuvent conduire les malades au poste de police avant qu'on les réoriente vers un médecin.

Cette maladie neurodégénérative est liée à la destruction des neurones dopaminergiques. Cette population de neurones est présente dans une région particulière du cerveau: la substance noire. Ils produisent un neurotransmetteur, la dopamine. La maladie de Parkinson est avant tout une maladie du mouvement. Les malades sont envahis par des symptômes d’autant plus sous-évalués qu’ils sont, pour beaucoup d’entre eux, invisibles aux yeux de tous: Il existe deux grandes catégories de signes: les symptômes moteurs, dont le tremblement au repos bien connu du public, la lenteur du mouvement (bradykinésie) et la raideur, mais la maladie va aussi se manifester avec des symptômes non moteurs

Les signes non moteurs sont multiples et variés et suscitent depuis quelques années un nombre croissant de travaux de recherche. Ils sont sans doute la conséquence des répercussions de la maladie sur des structures cérébrales non dopaminergiques. Il peut s’agir de problèmes de sommeil, d’hypersalivation, d’une somnolence excessive dans la journée, de fatigue, de douleurs, de constipation (qui touche 60 % des malades), de mictions urgentes, de dépression, d’hallucinations, de troubles cognitifs… Ces signes peuvent apparaître plus tardivement dans l’évolution de la pathologie ou, à l’inverse, survenir bien avant la survenue des signes moteurs. Une perte d’odorat, la constipation, la fatigue, la lenteur du pas, les troubles de l’humeur sont les principaux signes très précoces qui peuvent annoncer la maladie de Parkinson. Mais pris isolément ils ne sont pas très fiables. C’est leur addition qui en fait la valeur prédictive.

La maladie de Parkinson est un maladie du système nerveux qui affecte le mouvement. Elle se développe progressivement, en commençant parfois par un tremblement à peine perceptible d'une seule main. Elle provoque également une raideur ou un ralentissement du mouvement.

Au coeur de la maladie : un déséquilibre de dopamine Les cellules nerveuses atteintes par la maladie de Parkinson se situent dans une zone appelée « substance noire » et située dans le mésencéphale, au centre du cerveau. Les cellules de cette zone produisent de la dopamine, un messager chimique (appelé neurotransmetteur) qui permet le contrôle du mouvement mais qui agit aussi dans la sensation de plaisir et de désir. La mort des cellules de la substance noire crée un manque de dopamine, entraînant une augmentation d'acétylcholine et de glutamate (deux autres messagers chimiques). Ce déséquilibre provoque l'apparition des symptômes de la maladie, à savoir des tremblements, de la rigidité musculaire et une incapacité d'effectuer certains mouvements. À l'inverse, un excès de dopamine pourrait être à l'origine de symptômes associés à la schizophrénie.

a progression de la maladie de Parkinson varie selon les individus. La maladie de Parkinson est chronique et progresse lentement, ce qui signifie que les symptômes s'aggravent sur plusieurs années. Les symptômes moteurs varient d'une personne à l'autre, de même que leur progression. Certains de ces symptômes sont plus gênants que d'autres selon qu'une personne fait normalement lors de la journée. Certaines personnes atteintes de la maladie de Parkinson vivent avec des symptômes moins handicapant pendant de nombreuses années, tandis que d'autres développent des difficultés moteurs plus rapidement. Les symptômes non moteurs varient également d'un individu à l'autre et affectent la plupart des personnes atteintes de la maladie de Parkinson, quelque soit le stade de la maladie. Certaines personnes atteintes de la maladie constatent que les symptômes tels que la dépression ou la fatigue interfèrent d'avantage avec leurs activités quotidiennes que les problèmes moteurs.

La maladie de Parkinson est souvent accompagnée des problèmes suivants qui peuvent être traitables: Difficultés de pensée. L'apparition de troubles cognitifs se produisent généralement dans les derniers stades de la maladie. De tels problèmes cognitifs ne répondent pas très bien aux médicaments. Troubles de l'humeur. Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson peuvent souffrir de dépression. En bénéficiant d'un traitement contre la dépression, il est plus facile de gérer les autres problèmes de la maladie de Parkinson. D'autres troubles tels que l'anxiété ou la perte de motivation peuvent accompagner la dépression. Problèmes de déglutition. La personne a des difficultés à avaler à mesure que son état s'aggrave. La salive peut s'accumuler dans la bouche en raison d'une déglutition lente. Troubles du sommeil. Les personnes atteintes de la maladie de Parkinson ont souvent des problèmes de sommeil. Elles se réveillent fréquemment la nuit, se réveillent tôt ou s'endorment pendant la journée. Incontinence. La maladie de Parkinson peut causer des problèmes de vessie, entraînant une incapacité de contrôler l'urine ou une difficulté à uriner. Constipation. Beaucoup de personnes atteintes de la maladie deviennent constipées, principalement du à un tractus digestif plus lent. Changement de la pression artérielle, avec des vertiges ou des étourdissements (hypotension orthostatique). Troubles de l'odorat. Difficulté à identifier ou différencier certaines odeurs. Fatigue. Beaucoup de patients éprouvent de la fatigue, et la cause n'est pas toujours connue. Douleur. Beaucoup de personnes atteintes de la maladie souffrent de douleurs, soit dans des zones spécifiques du corps, soit dans tout le corps. Dysfonction sexuelle. Certaines personnes atteintes de la maladie rapportent une diminution du désir ou de la performance sexuelle.

Plus fréquente chez les femmes, le lupus est une maladie auto-immune qui se caractérise par des problèmes cutanés et des douleurs articulaires. Le lupus est une maladie chronique auto-immune, qui survient lorsque le système immunitaire s’attaque aux cellules de l’organisme et les détruit. Il peut toucher de nombreuses parties du corps, dont les articulations, la peau, les reins, le coeur, etc. C’est la raison pour laquelle on parle de lupus disséminé ou « systémique ». Le lupus peut causer des symptômes aussi différents que des poussées de fièvre inexpliquées, des douleurs et un gonflement des articulations, des troubles de la vision et bien d’autres.

Parmi les lupus érythémateux, le lupus érythémateux discoïde. Il se manifeste par des plaques bien limitées souvent multiples et symétriques qui prédominent au visage, prenant parfois une disposition en aile de papillon. L'atteinte des oreilles, des sourcils et du cuir chevelu est possible. Les lésions du lupus discoïde ont une évolution différente de celles du lupus systémique, et laissent des cicatrices définitives très inesthétiques d'où l'urgence de la prise en charge. Il existe des formes de lupus discoïde disséminé avec des lésions pouvant apparaître sur le tronc et les membres ; les lésions prédominent alors sur les coudes et les extrémités.

Les symptômes du lupus diffèrent d'une personne à l'autre, En revanche, les signes qui apparaissent au début de la maladie sont : des problèmes cutanés (rougeurs, aphtes, photosensibilité, alopécie, squames, peau qui pèle...) sur les parties généralement exposées à l'air (comme le visage, le cou...). On parle communément de "lupus cutané" ; des douleurs articulaires (qui s'apparentent à des arthrites). On parle communément de "lupus articulaire". Le lupus étant une maladie surprenante, d'autres symptômes peuvent apparaître très rapidement : atteinte rénale (souvent silencieuse), fièvre, fatigue intense ou asthénie (pas forcément qu'à l'effort), perte de poids, céphalées, pertes de mémoire (lupus cérébral)... D'autres organes peuvent être atteints, comme le cœur, le rein, le poumon, le foie, mais de façon inconstante. A noter que l'apparition d'un ou deux symptômes énoncés ci-dessus ne suffisent pas pour établir le diagnostic d'un lupus, il faut donc que le patient présente un faisceau de symptômes, autrement dit au moins 4 ou 5 symptômes bien marqués et caractéristiques du lupus.

L'exposition au soleil pourrait être l'un des facteurs aggravants de l'apparition du lupus, d'où la nécessité de protéger sa peau. Par ailleurs, le stress serait probablement l'une des causes associées au lupus : les gens stressés voient leurs défenses immunitaires baisser et seraient ainsi plus vulnérables à l'apparition d'un lupus. A savoir que le lupus peut se révéler pendant la grossesse, suite à une série de fausses couches par exemple.

Les symptômes du lupus peuvent ressurgir de temps à autre, puis disparaître pendant un certain temps. La période sans symptômes est qualifiée de rémission. Le lupus peut être léger ou grave, et peut causer toute une variété de symptômes, y compris : une douleur articulaire, une enflure et une rougeur qui peuvent apparaître et disparaître; elles affectent couramment les doigts et les poignets; des éruptions cutanées, particulièrement le long du nez et des joues, appelées « érythème en papillon »; de la fièvre; une perte de poids; une douleur à la poitrine attribuable à l'inflammation du cœur et des poumons (sérosite); une toux et des problèmes respiratoires; une sensibilité aux rayons du soleil qui peut parfois se manifester en dépit de l'emploi d'un écran solaire; une fatigue inexpliquée; le phénomène de Raynaud (les doigts et les orteils deviennent bleus, puis blancs, quand ils sont exposés au froid; ils redeviennent rouges et chauds au fur et à mesure que la circulation sanguine redevient normale); une perte de cheveux; des maux de tête; des pensées désordonnées ou une confusion; une labilité émotionnelle (des émotions changeantes ou incontrôlables, ou des sautes d'humeur). Les complications du lupus provoquent une inflammation qui peut toucher d'autres parties du corps (tels que les reins, le système nerveux central et le cœur). Si des complications se manifestent, elles le font habituellement au cours des quelques premières années qui suivent le diagnostic initial. L'inflammation rénale causée par le lupus n'entraîne généralement pas de symptômes au début; par conséquent, bon nombre de personnes ne remarqueront rien tant que le problème n'aura pas atteint un stade avancé. Une fois le processus en cours, d'autres signes peuvent se manifester tels qu'un ballonnement, une enflure des chevilles et des analyses de sang et d'urine anormales. Une insuffisance rénale peut finir par se développer.

La pré-éclampsie (appelée aussi toxémie gravidique) est une hypertension artérielle gravidique (HTA) qui apparaît dans la deuxième moitié de la grossesse (après 20 semaines d'aménorrhée), associée à une protéinurie.

Ils font partie de la définition de la maladie : Hypertension artérielle : une TA supérieure à 14/9 au repos affirme une hypertension artérielle gravidique. La précocité et l'importance de cette HTA sont des facteurs de mauvais pronostic, pouvant entraîner une mort fœtale in utero ou une hypotrophie fœtale ; Protéinurie (présence de protéine, souvent albumine, dans les urines) ; Prise de poids ; Œdèmes ; Céphalées ; Bourdonnements d'oreille ; Somnolence ; Troubles oculaires : diminution de l'acuité visuelle, parfois amaurose (cécité) subite qui régressera sans séquelle, mouches volantes, diplopie (vision double) ; Bouffissure des paupières.

La sclérose latérale amyotrophique (ou maladie de Charcot) touche les adultes habituellement entre 50 et 70 ans, mais des cas plus jeunes ou plus âgés ne sont pas rares.Elle est la maladie neurologique chronique la plus fréquente après la maladie d'Alzheimer. La dénomination Sclérose Latérale Amyotrophique a été donnée par Charcot. Elle atteint progressivement les neurones et entraîne une faiblesse musculaire puis une paralysie. L'espérance de vie des patients restent très courte. En anglais, elle est également appelée maladie de Lou Gehrig.

La motricité qui est touchée dans la maladie concerne donc aussi bien la mobilité de notre visage, c'est-à-dire des fonctions telles que le sourire, la parole, le mouvement de la langue, la faculté d'avaler ou de parler, que la motricité de nos bras, de nos jambes, mais également de notre ventre (gonfler ou creuser le ventre) et de notre poitrine (gonfler ou vider les poumons). La SLA est une maladie grave dont la cause reste inconnue mais dont certains facteurs favorisants sont connus. Sa vitesse d'évolution est totalement imprévisible, empêchant les neurologues de faire un pronostic exact. Il y a de multiples possibilités thérapeutiques qui vont pour la plupart agir sur les symptômes pour essayer de soulager les conséquences de la paralysie progressive.

Au début de la maladie, il est habituel que les patients ressentent des crampes et/ou des fasciculations. Les fasciculations sont des contractions de faible amplitude de fibres musculaires isolées qui donnent l'impression de "vers courant sous la peau". Elles sont bien différentes d'autres contractions des fibres musculaires dont les plus fréquentes sont les myokymies qui sont des contractions rythmiques d'une même fibre musculaires, le plus souvent dues à des déficits en magnésium. On observe, associés à l'atrophie musculaire dont l'intensité et la répartition sont très variables, d'autres symptômes et d'autres signes qui traduisent notamment de l'atteinte de la voie pyramidale. Le plus fréquent est la sensation d'enraidissement articulaire qui définit la spasticité. Cet enraidissement s'accentue dès que le patient veut débuter un mouvement, mais aussi au froid, à l'effort intense, ou lors de contrariétés. Il vient aggraver les difficultés de contraction musculaire et entraîne souvent une instabilité provoquant des chutes.

Lorsque l'on veut réaliser un mouvement, le message électrique passe par un premier neurone moteur qui part du cerveau jusqu'à la moelle épinière et emprunte ensuite un deuxième neurone jusqu'au muscle concerné. Les premiers sont les motoneurones centraux ou supérieurs et se trouvent précisément dans le cortex cérébral. Les seconds sont les motoneurones périphériques ou inférieurs, et se trouvent dans la moelle épinière. L’atteinte du neurone moteur supérieur se manifeste surtout par un ralentissement des mouvements (bradykinésie), une diminution de la coordination et de la dextérité et une raideur musculaire avec spasticité. L’atteinte du neurone moteur inférieur se manifeste surtout par une faiblesse musculaire, des crampes et de l’atrophie des muscles menant jusqu’à la paralysie.

Chez 80% des patients, la maladie se manifeste d’abord par une faiblesse musculaire au niveau des pieds (= pied tombant) et des mains, suivie d’une atrophie et d’une paralysie. La faiblesse s’accompagne de crampes et de spasmes musculaires, souvent au niveau des bras et des épaules. Il peut y avoir aussi des tremblements.

Symptômes : crampes, paralysie, troubles de la parole... La SLA peut se présenter sous deux formes principales : la forme "spinale" (qui débute par l'atteinte d'un membre), et la forme "bulbaire" (qui débute par l'atteinte des muscles de la bouche). La personne atteinte peut présenter des symptômes divers d'évolution progressive qui s'étendent au fur et à mesure : des crampes musculaires, des difficultés à la mobilisation, évoluant vers la paralysie, une diminution de la masse musculaire, appelée amyotrophie, un ralentissement des mouvements, des contractions involontaires de certains faisceaux musculaires sous la forme de fasciculations, des troubles de la déglutition, des difficultés alimentaires, des troubles de la parole.

L'emphysème pulmonaire se caractérise par une augmentation du volume des poumons qui complique la respiration. Le terme "emphysème" correspond à la présence de gaz au niveau d'un tissu à un endroit où celui-ci en est normalement dépourvu. L'emphysème le plus fréquemment rencontré se situe au niveau des poumons. Ainsi, l'emphysème pulmonaire est une pathologie pulmonaire qui se définit par la destruction progressive des alvéoles et des vaisseaux sanguins des poumons. La distension des alvéoles ainsi provoquée empêche l'expiration de l'air qu'elles contiennent. En effet, les alvéoles sont de très petites cavités qui ressemblent à des sacs situés à l'extrémité d'une bronchiole, correspondant aux ramifications les plus fines des bronches. Un emphysème peut être localisé à une partie du poumon ou diffus à l'ensemble de l'appareil pulmonaire, ponctuel ou plus souvent chronique faisant suite à de nombreuses pathologies pulmonaires comme une BPCO (broncho pneumopathie chronique obstructive), la tuberculose ou les expositions professionnelles.

L'emphysème est une pathologie qui débute le plus souvent à partir de 50 ans. Le principal symptôme d'un emphysème pulmonaire est une gêne respiratoire ressentie le plus souvent à l'effort et qui s'intensifie progressivement. Classiquement, la respiration est plus rapide et l'expiration est plus longue. Les manifestations de l'emphysème pulmonaire ne sont pas spécifiques à cette pathologie qui provoque peu de manifestations lors des premiers mois de la maladie. Une légère gêne respiratoire, comme un essoufflement ou une dyspnée, apparaît peu à peu, essentiellement lors d'efforts pour devenir de plus en plus invalidante et survenir au repos. Une pâleur accompagnée d'une fatigue et d'une perte de poids peuvent apparaître. Cette maladie peut s'avérer invalidante et entraîner une insuffisance respiratoire chronique.

La dartre prend la forme de plaques (lésions) rondes ou ovales entre 0,5 et 2 cm, sans démangeaison. Ces plaques peuvent être de taille plus importante lorsqu’elles sont positionnées sur le buste ou le ventre. La plupart du temps ces plaques évoluent en deux temps. Au début, elles apparaissent comme sèches et plutôt rugueuses, et leur couleur rosée est peu visible. Petit à petit la peau va se dépigmenter laissant place à une tâche.Les dartres, également appelées pityriasis alba ou eczématides, sont des lésions cutanées fréquentes, notamment en hiver et chez l'enfant. Elles sont considérées comme un signe mineur d'atopie. Les dartres, également appelées pityriasis alba ou eczématides, sont des lésions cutanées

Les peaux sèches ou sensibles sont particulièrement sujettes aux dartres. Quels que soient l'âge, le sexe ou la couleur de peau (phototype), l'apparition des dartres est favorisée par un dessèchement excessif de la peau. Elles peuvent se former sur tous les endroits du corps, mais on les retrouve souvent sur les joues, les bras et l'intérieur des cuisses.

Les dartres se manifestent sous la forme de plaques de quelques centimètres, généralement rondes ou ovales, qui évoluent en deux phases : La phase érythémateuse : apparition de plaques rosées ou discrètement rouges et squameuses (= présence de petites peaux sèches), pouvant démanger ; La phase claire : la desquamation provoque une perte du bronzage ou de la pigmentation naturelle de la peau. Les dartres apparaissent alors sous la forme de plaques sèches plus claires que la peau environnante.

Le corps humain est composé de cellules dites adipeuses ou graisseuses. Ces cellules stockent de l'eau et de la graisse. Quand elles arrivent au maximum de leur capacité de stockage, la cellulite apparaît et donne un aspect de peau d'orange à la peau. Il s'agit d'une inflammation localisée qui se caractérise par des gonflements. La cellulite n'est pas réservée aux personnes un peu rondes, et même les personnes minces peuvent être concernées. La cellulite est généralement visible sur des zones telles que le ventre, les fesses, le haut des cuisses, même si on peut en avoir sur les bras ou les mollets.

La cellulite, ou capitons, peau d’orange, etc... est le résultat d’un changement de structure des tissus adipeux (= réserves de gras) logés sous l’épiderme. Elle donne à la peau une apparence « bosselée », jugée disgracieuse. On l’observe surtout à l’arrière des cuisses et sur les fesses.

Les acouphènes sont des bruits « parasites » qu’une personne entend sans que ceux-ci existent réellement. Il peut s’agir de sifflements, de bourdonnements ou de cliquetis, par exemple. Ils peuvent être perçus dans une oreille ou dans les deux, mais aussi sembler présents à l’intérieur même de la tête, à l’avant ou à l’arrière. Les acouphènes peuvent être occasionnels, intermittents ou continus. Ils résultent d’un dysfonctionnement du système nerveux auditif. Il s’agit d’un symptôme pouvant avoir de nombreuses causes.On pourrait penser que l'acouphène est un problème d'oreilles, mais en réalité l'acouphène trouve son origine dans le cerveau.

L’acouphène n’est pas une maladie en soi, mais plutôt le symptôme d’un autre problème de santé sous-jacent. Dans la plupart des cas, l’acouphène est une réaction neurosensorielle à une lésion dans l’oreille ou le système auditif, se manifestant dans le cerveau. Bien que les acouphènes soient souvent associés à une perte auditive, il existe quelque 200 problèmes de santé pouvant en générer.

La perte auditive sous-jacente aux acouphènes peut être causée par : la presbyacousie: perte d’audition liée au vieillissement, commençant en général vers l’âge de 60 ans. Ce phénomène, le plus souvent bilatéral, se traduit par une perte de l’audition essentiellement dans les fréquences élevées. La presbyacousie explique la fréquence des acouphènes chez les personnes âgées. la perte auditive due au bruit: une exposition à des sons trop forts, au cours d’un traumatisme sonore ou sur une longue période, risque d’endommager le système auditif. Ce phénomène entraîne une perte auditive et souvent des acouphènes. L’atteinte est souvent unilatérale et se traduit par une perte de l’audition dans les fréquences similaires à celles qui ont déclenché le traumatisme.

Obstruction du conduit auditif: Les obstructions du conduit auditif (cérumen, congestion…) entraînent souvent une pression sur l’oreille interne, affectant le fonctionnement du tympan. Les corps étrangers en contact avec le tympan peuvent entraîner des acouphènes. Éliminer la cause du blocage suffit souvent à remédier aux acouphènes, sauf en cas de lésion. Traumatisme crânien ou cervical : Les blessures graves à la tête ou au cou peuvent entraîner des troubles nerveux, circulatoires ou musculaires, accompagnés d’acouphènes (somatiques). Troubles articulaires temporo-mandibulaires : Les lésions et autres troubles de l’articulation temporo-mandibulaire sont susceptibles d’entraîner des acouphènes somatiques. L’ATM est en effet très proche du système auditif et partage certains ligaments et plusieurs connexions nerveuses avec l’oreille moyenne. Pression sinusale: La congestion nasale, liée à une grippe, un rhume ou une infection des sinus, cause souvent une pression dans l’oreille moyenne. Ce phénomène risque d’affecter l’audition et d’être accompagné d’acouphènes. Traumatisme crânien: Le traumatisme cranio-cérébral, causé par un impact, peut endommager les régions du cerveau responsables du traitement des sons et entraîner des acouphènes. Médicaments ototoxiques: Les acouphènes comptent parmi les effets indésirables de nombreux médicaments. En général, ils sont de courte durée et cessent lorsque le traitement médicamenteux est interrompu. Certains médicaments peuvent néanmoins entraîner des symptômes permanents.

Le paludisme, connu pour les fortes fièvres qu’il provoque, peut aussi évoluer en une forme cérébrale, une complication souvent mortelle ou qui eut laisser des séquelles neurologiques. Est ainsi considéré comme un neuro-paludisme le syndrome regroupant : - coma : absence de réaction aux stimuli nociceptifs pendant plus d’une heure après la fin d’une crise comitiale généralisée ou après traitement adéquat d’une hypoglycémie ;présence au frottis sanguin de formes asexuées de P. falciparum ; absence d’autre étiologie évidente d’encéphalopathie.

Chez un enfant présentant anorexie, vomissements, fièvre et parfois toux. Depuis 1 à 3 jours, se constitue ensuite la triade caractéristique : coma, convulsions, signes de souffrance du tronc cérébral. Le coma n’a rien de caractéristique. Sa profondeur est un élément pronostique majeur. Les convulsions (plus de 60 % des cas) s’accompagnent souvent d’hypoxie et d’hypercapnie (hypoventilation) et peuvent se compliquer de pneumopathies de déglutition. Elles sont souvent prolongées, répétées voire subintrantes aboutissant dans près de 30 % des cas à un état de mal épileptique. Elles constituent en soi une cause de décès.

Chez l’adulte, le neuro-paludisme s’intègre volontiers dans un tableau de défaillance multi-viscérale appelé accès pernicieux. Le patient présente une fièvre (39 à 42°C) pendant quelques jours, une altération de l’état général, des céphalées, des douleurs diffuses et enfin un délire annonciateur du coma. Coma calme, sans particularité. Les convulsions sont moins fréquentes que chez l’enfant. Les patients ont fréquemment des troubles de l’oculo-motricité, une rigidité extra-pyramidale, un trismus, et souvent des signes de décortication et de décérébration.

Paludisme : maladie parasitaire tropicale (anciennement dénommée malaria) due à un Plasmodium (4 espèces : P. falciparum, P. malariae, P. ovale, P. vivax) qui infeste les globules rouges. - Le réservoir du parasite est l'homme et le vecteur le transmettant est un moustique femelle du genre Anopheles. - Les symptômes de la maladie, leur mode de survenue et leur gravité sont variables selon l'espèce de Plasmodium en cause ; les formes les plus graves sont dues à P. falciparum

Manger dans de plus petites assiettes réduisait automatiquement le nombre de calories ingurgitées. Il en est ressorti que les individus avaient tendance à sous-estimer les quantités lorsqu'ils consommaient leur nourriture dans de grands plats.

La caféine accroit de 3 à 11% le métabolisme et augmente le brûlage de graisse de 10 à 29 %. Assurez-vous cependant de ne pas ajouter des quantités industrielles de sucre et autres ingrédients hautement caloriques.

Tout comme le café, le thé vert possède de nombreux bénéfices. Il contient une moindre dose de caféine, mais est également bourré d'antioxydants appelés catéchine, qui "collaborent" avec la caféine pour brûler encore plus de graisses.

Ne pas sauter de repas, surtout le petit déjeuner qui doit rester copieux. Faites un repas léger le soir ; Ne rien manger en dehors des repas. Si vous avez faim entre les repas, boire un grand verre d' eau, un café ou un thé sans sucre. Boire aussi avant le repas et au milieu du repas ; Continuer à manger des féculents à chaque repas : pâtes, riz, pommes de terre ou pain. Ils procurent un sentiment de satiété et apportent l'énergie dont vous avez besoin, ainsi que des fibres. En revanche tout ce qui les accompagne est à limiter : sauces grasses, beurre, fromage, crème fraîche, etc. Il faut donc consommer ces féculents seuls ou avec un assaisonnement sans sucre ni sans matières grasses ; Supprimer les boissons gazeuses sucrées ; Supprimer les alcools et la bière. Vous pouvez continuer à boire du vin, de préférence rouge, en vous limitant à un verre par jour ; Eviter de manger hors de chez vous car il est plus difficile de contrôler votre alimentation. Au restaurant c'est parfois possible, chez des amis c'est plus difficile… Si vous faites un bon repas à plusieurs, il faut alors essayer de diminuer les quantités et surtout ne jamais vous resservir d'un plat ; Choisir des viandes maigres et privilégier les volailles, sans la peau, les poissons et les crustacés ; Attention aux graisses cachées : évitez toutes les viandes en sauce, la charcuterie grasse, les gratins riches en lait, beurre ou crème, gruyère et oeufs, les fritures, les viennoiseries et les pâtisseries, les sucreries et le chocolat, les glaces, les gâteaux apéritifs ; Manger des légumes à volonté et sous toutes leurs formes : crus, cuits, en potage ;

Ne faites pas de régime, mangez sain (ne mangez pas moins, mangez mieux) Le plus gros problème des "régimes" est qu'ils ne fonctionnent jamais sur le long terme. Ce qui arrive le plus souvent c'est que les individus au régime ont tendance à reprendre du poids par la suite. Il ne faut d'ailleurs pas se focaliser d'emblée sur un régime ou la perte de poids. Le but est d'être en meilleure santé et d'arriver à un poids de forme. Prenez donc soin de nourrir votre corps au lieu de le priver. La perte de poids doit suivre cette lignée comme une conséquence secondaire.

Les hormones guident notre comportement. L'œstradiol et le cortisol en particulier sont deux hormones stéroïdes influençant l'activité sexuelle et le stress chez les primates, y compris l'Homme. Mais certaines plantes produisent naturellement des phytoestrogènes, des composés non stéroïdaux, qui ont une structure similaire à l'œstradiol. Ces végétaux sont largement présents dans l'alimentation humaine, le soja en est un exemple.

Buvez du café. Les femmes qui boivent plus de deux tasses de café (200 mg de caféine) par jour sont susceptibles d'avoir un taux d'estrogène plus élevé que les autres. Cependant, si la caféine peut augmenter le taux d'estrogène, elle ne semble pas pouvoir augmenter la fertilité. Si vous essayez d'augmenter votre taux d'estrogène pour pouvoir ovuler.

La dopamine Cette hormone du bonheur est un neurotransmetteur qui dirige le système de récompense de votre cerveau. Si vous êtes félicité pour avoir fait du bon travail, ce circuit est activé, et vous ressentez un sentiment de bien-être. La dopamine stimule également les comportements de recherche de plaisir.

La sérotonine Ce neurotransmetteur stimulant l'humeur est particulièrement sensible à l’exercice physique. C’est la raison pour laquelle une marche rapide fait des merveilles pour le moral. Pratiquer de l’exercice 10 minutes par jour suffit pour avoir un effet stimulant. L’ocytocine A la fois neurotransmetteur et hormone du bonheur, l'ocytocine est souvent appelée "l'hormone de l'amour". Son impact est particulièrement connu chez les femmes, pour qui l’ocytocine serait directement liée au niveau de satisfaction de vie. Les œstrogènes Cette hormone heureuse aide à former la sérotonine et vous protège de l'irritabilité et de l'anxiété, maintenant votre humeur stable. Les œstrogènes diminuent avec la ménopause, ainsi qu’avec des habitudes de vie telles que le tabagisme et l’exercice physique extrême. Le déséquilibre œstrogène/progestérone en périménopause peut également affecter négativement l'humeur.

La progestérone Cette hormone aide à bien dormir, et à prévenir l’anxiété, l’irritabilité et les sauts d’humeur. Ses niveaux chutent chez les femmes après l'âge de 35 ou 40 ans, et cette baisse peut être accélérée par un stress excessif et de mauvaises habitudes alimentaires. Un traitement hormonal substitutif est parfois conseillé pour mieux vivre le passage à la ménopause. Booster les hormones Il existe des techniques naturelles très simples pour stimuler la production des hormones du bonheur. Voici les principales : écouter de la musique pour obtenir plus de dopamine ; manger des glucides (céréales complètes, quinoa, etc) pour augmenter le taux de sérotonine ; passer du temps avec les personnes aimées pour booster l’ocytocine ; pratiquer des activités de relaxation comme le yoga et la méditation pour stimuler l’œstrogène.

Le pancréas est un organe complexe de notre appareil digestif. Il peut être le siège d’une inflammation brutale et soudaine : c’est la pancréatite aiguë, ou d’une inflammation récidivante : la pancréatite chronique. Le pancréas est situé sous le foie dans le cadrant supérieur droit de l’abdomen. Le pancréas a deux fonctions essentielles : La partie endocrine du pancréas (10% des cellules) fabriquent des hormones : l’insuline et le glucagon, qui sont libérées dans le sang et servent à la régulation du taux de glucose sanguin. Une atteinte de cette portion peut mener au diabète La partie exocrine participe à la digestion des aliments en déchargeant des enzymes (le suc pancréatique) dans le tube digestif, via des canaux pancréatiques. Le canal pancréatique principal débouche dans le duodénum au niveau de l’ampoule de Vater où le rejoint le canal cholédoque transportant la bile en provenance de la vésicule biliaire.

Le symptôme essentiel d’une pancréatite aiguë est une douleur intense d’apparition brutale. Elle est souvent accompagnée de vomissements et de fièvre. Le patient adopte une position antalgique en « chien de fusil ». Une paralysie réflexe des intestins (iléus) peut survenir, entraînant un syndrome occlusif . Dans les cas les plus sérieux, un état de choc peut s’installer. L’état de choc est une insuffisance circulatoire aiguë (hypotension) déclenchant un défaut d’apport en oxygène et en nutriments dans les tissus. Il entraîne une défaillance multiorganique.

La pancréatite chronique se manifeste par des crises douloureuses durant quelques heures à quelques jours séparées par des périodes de rémissions plus ou moins longues (quelques jours à quelques années). Elles surviennent souvent après le repas. Le pancréas dysfonctionnant de plus en plus, apparaissent également des problèmes de digestion, avec des selles fréquentes et grasses (c’est l’insuffisance pancréatique exocrine).

La paralysie faciale périphérique désigne la perte partielle ou totale du fonctionnement de certains muscles faciaux. Elle résulte d’une atteinte du nerf facial, dont l’origine est bien souvent méconnue. Le nerf facial est complexe et possède plusieurs fonctions. Il part du bas et de l’arrière du crâne pour finir au niveau du visage en passant par l’oreille. Il permet de commander les muscles de la face et d’une partie de l’oreille, la perception du goût au niveau de la langue, les sécrétions nasales, lacrymales et salivaires et assure la sensibilité d’une partie de l’oreille. Lorsque le nerf facial est atteint, l’ensemble de ses fonctions sont altérées. On distingue un nerf facial innervant la partie gauche du visage et un autre pour le côté droit du visage. Ainsi, les troubles affectent généralement qu’une seule partie du visage. On parle de paralysie faciale périphérique, lorsque le nerf est atteint sur son trajet à l’extérieur du cerveau et de paralysie faciale centrale lorsqu’il est touché à l’intérieur du cerveau. La paralysie faciale centrale, aussi appelée déficit facial central, prédomine sur la partie basse du visage et se traduit par un affaissement de la commissure des lèvres, une impossibilité de siffler ou gonfler les joues, une attraction de la bouche vers le côté non atteint lors d’un sourire. Ce déficit est très souvent associé à une paralysie d’une moitié du corps (hémiplégie). De plus, les mouvements réflexes sont conservés contrairement aux mouvements volontaires qui sont eux affectés.

L'atteinte du nerf dans son trajet après les noyaux du tronc cérébral (structure intermédiaire entre le cerveau et la moelle épinière) provoque une paralysie faciale touchant l'ensemble de la motricité d'une moitié de la face (gauche ou droite) au niveau des territoires supérieurs et inférieurs du nerf facial : Les muscles de la face sont paralysés, aussi bien dans la mimique volontaire que lors des mouvements automatiques que le patient réalise sans y penser (absence de dissociation automatico-volontaire). La face est asymétrique aussi bien au repos que lors des mimiques ; L'atteinte du nerf facial supérieur se traduit par plusieurs symptômes : les rides du front sont effacées, la fente des paupières est élargie, la fermeture des yeux est impossible du côté atteint et le globe oculaire se dirige en haut et en dehors du visage lorsque le patient essaie de fermer ses paupières (signe de Charles Bell). Dans les formes incomplètes, si le médecin demande au patient de fermer les yeux fortement, les cils sont beaucoup plus apparents du côté paralysé ( signe des cils de Souques). L'occlusion des paupières à la menace et au frôlement de la cornée est abolie ou diminuée ; L'atteinte du nerf facial inférieur se traduit par l'effacement du pli nasogénien (sillon du nez), la chute de la commissure labiale, la bouche et la langue sont déviées du côté opposé à la paralysie ; Le malade ne peut ni sourire, ni gonfler la joue du côté paralysé, ni siffler, ni souffler, ni parler facilement ; Au déficit musculaire peuvent s'associer (selon la localisation des lésions) une impression douloureuse d'entendre plus fort (hyperacousie), une bouche sèche, une sécheresse des yeux (tarissement des sécrétions lacrymales et salivaires) ou au contraire un larmoiement et une perte du goût (agueusie).

La paranoïa est un trouble du fonctionnement mental qui se manifeste par une méfiance exagérée des autres, une sensation de menace permanente et un sentiment de persécution.C'est une psychose caractérisée par un délire systématisé, sans affaiblissement des capacités intellectuelles. Cette psychose débute à l'âge moyen de la vie sur un fond de caractère paranoïaque (méfiance, orgueil, hypertrophie du Moi, susceptibilité, jugement faux, rigidité du psychisme ) à la suite bien souvent d'un conflit psychoaffectif d'importance variable. Le délire est bien systématisé, interprétatif (dont la principale thématique est la persécution) et les réactions agressives contre autrui sont violentes et fréquentes. Le sujet, comme dans toutes les psychoses, adhère totalement à son délire.

Les symptômes de la paranoïa: Méfiance exagérée ; Le doute incessant ; La tendance au secret ; Les interprétations négatives des gestes et des paroles ; La rancœur ; L' agressivité ; Le soupçon ; La psychorigidité ; Une surestimation de soi ; Une sous-estimation des autres ; Un orgueil démesuré ; Un autoritarisme tyrannique ; L'absence d'autocritique ; Des troubles dans les relations sociales ; Parfois la personne est hypocondriaque ; Dépression.

Certaines manifestaions sont: Le délire d'interprétation : C'est un patient chez qui un beau jour tout devient subitement clair, tout s'explique, tout s'illumine. A partir d'une perception ou d'une sensation réelle, le malade construit un délire systématisé, souvent de persécution, dans lequel tout prend une signification personnelle pour lui : il juge intentionnel et souvent malveillant le hasard. Ces déductions sont parfois vraisemblables et le patient peut même présenter des preuves qui provoquent parfois le doute et même l'adhésion de l'entourage. Le délire de jalousie et d'érotomanie est un délire passionnel portant sur l'infidélité supposée du partenaire. Le délire de revendication : l'éclosion du délire est brusque et rapide à l'occasion d'un fait réel et précis : surtout un préjudice, un procès perdu, une injure faible, un avancement retardé, une réforme repoussée... Dans tous les cas, il s'agit d'une injustice vraie ou fausse dont le malade se considère la victime et entreprend d'obtenir réparation. L'idée de préjudice devient une idée, fixe, obsédante et dominante.

La psychose paranoïaque est une maladie mentale chronique du groupe des psychoses. La paranoïa, du grec "para", à côté et "nous", l'esprit, est définie comme un délire chronique, organisé, structuré, logique dans son développement, comportant un sentiment de persécution auquel le malade adhère totalement, mais n'altérant pas ses capacités intellectuelles. Le paranoïaque n'est pas accessible au raisonnement et est convaincu de la véracité de ses interprétations.

Les hypocondriaques sont des personnes angoissées par leur santé. Douleur musculaire, migraine et coupure les inquiètent, ils doutent des diagnostics des médecins et la proximité avec une personne malade leur est souvent insoutenable.Victimes d'une angoisse excessive de la maladie, les personnes hypocondriaques pratiquent une auscultation de soi permanente. L'hypocondrie est une anxiété excessive par rapport à la santé. La personne hypocondriaque peut passer sa vie à s'inquiéter pour des maladies imaginaires.

L'hypocondrie s'accompagne souvent d'une imagination débordante voire irrationnelle sur les conséquences possibles d'un symptôme. Ainsi, une personne hypocondriaque victime d'une migraine aura tendance à rechercher les causes, les caractéristiques et les conséquences possibles de ce mal. Si elles ne lui apparaissent pas un minimum « normales », l'hypocondriaque interprétera immédiatement cette migraine comme le facteur précurseur d'un cancer ou d'une autre maladie grave.

L'ennui avec l'hypocondrie, c'est que le moindre dérèglement du corps rend les personnes hypocondriaques nerveuses. Aussi, manque de sommeil, maux de tête après une soirée arrosée ou encore effets psychotiques d'une drogue sont des situations anxiogènes qu'il évitera à tout prix. En général, les personnes hypocondriaques ont donc une hygiène de vie stricte et rigoureuse.

Quand une personne hypocondriaque s'angoisse à propos de ses maladies futures, elle imagine toujours les scénarios les pires. Ainsi, les hypocondriaques ruminent leurs pensées anxieuses jusqu'à ce qu'ils trouvent un moyen de les extérioriser.

'hypocondrie se manifeste sous forme de "crises" ou de façon constante. Douleurs, palpitations, crampes, fourmillements, boutons suspects, retards de règles... Les moindres signes physiques sont interprétés par l'hypocondriaque comme les symptômes d'une maladie grave, potentiellement mortelle. Souvent, la peur d'être malade génère elle-même certaines réactions physiques (sensations d'étouffement, vertiges, cœur qui cogne dans la poitrine...). Cet emballement peut aller jusqu'à la crise d'angoisse aiguë ou attaque de panique.

Elles sont la conséquence d'un emballement du renouvellement des cellules du cuir chevelu. C'est ce qui provoque leur desquamation. Les pellicules sèches tombent seules. Des démangeaisons y sont la plupart du temps associées. Les pellicules sèches sont les plus fréquentes. Elles touchent les cuirs chevelus normaux ou secs, sont blanches, plates et se détachent facilement des cheveux et des vêtements. Elles ne sont gênantes que d'un point de vue esthétique. Les pellicules peuvent également apparaître au niveau des sourcils. Les pellicules grasses ont un aspect jaunâtre. Elles se présentent sous forme de plaques plus ou moins grandes qui restent collées au cuir chevelu, provoquant des démangeaisons voire des chutes de cheveux.

La phlébite ou thrombose veineuse correspond à la présence d'un caillot sanguin dans une veine. On distingue deux grands types de phlébites : superficielle et profonde.

LES SIGNES DE LA PHLÉBITE SUPERFICIELLE Il arrive que la phlébite superficielle soit asymptomatique. Certain signes peuvent tout de même apparaître : La zone est douloureuse, rouge, endurée ; La varice apparaît sous forme d'un cordon rouge et chaud. LES SIGNES D'UNE PHLÉBITE PROFONDE Douleur au mollet spontanée et/ou à la palpation ; Sensation de lourdeur au niveau des jambes ; Œdème ; Gonflement du mollet ; La zone devient bleuâtre/violette ; La zone est chaude au toucher ; Dilatation des veines superficielles.

La formation d’un thrombus est un mécanisme participant à la coagulation. Lorsque l’on se blesse, les plaquettes s’agrègent et forment le thrombus pour « boucher » la fuite. La thrombose veineuse profonde répond aux mêmes mécanismes, mais dans ce cas il n’y a pas de brèche réelle dans la veine. En condition normale, les caillots de sang se désagrègent dès lors que la brèche vasculaire est comblée. Cependant, dans la thrombose, ce mécanisme devient anormal et les thrombus se solidifient au lieu de se dégrader.

Lors d’une phlébite, les symptômes vont dépendre du degré d’occlusion de la veine touchée par le caillot. Cependant, la thrombose veineuse ne possède pas de symptômes spécifiques et présents dans l’ensemble des cas. Les symptômes reflètent l’inflammation de la paroi vasculaire causée par l’obstruction du caillot. On retrouve souvent (mais non systématiquement) : Une douleur au niveau du mollet associée à une sensation de lourdeur de la jambe ; Un œdème de la jambe accompagné d’un durcissement et d’un gonflement du mollet ; Une rougeur avec augmentation de la température locale de la zone concernée. La peau est chaude au toucher ; Une dilatation des veines superficielles est également possible, car le réseau veineux superficiel tente de prendre le relais de la veine bouchée. Par ailleurs, une phlébite peut passer inaperçue si la veine n’est pas totalement bouchée.

Le terme « phobie » renvoie à un vaste ensemble de troubles psychologiques, comme l’agoraphobie, la claustrophobie, la phobie sociale, etc. Une phobie est caractérisée par la peur irrationnelle d'une situation particulière, comme la peur de prendre l'ascenseur, ou d'un objet spécifique, comme la peur des araignées. Mais la phobie se situe au-delà d’une simple peur : c’est une véritable angoisse qui s'empare des personnes qui y sont confrontées. La personne phobique est tout à fait consciente de sa peur.

Phobie des araignées (arachnophobie) Phobie des situations sociales (phobie sociale) Phobie des voyages en avion (aérodromophobie) Phobie des espaces ouverts (agoraphobie) Phobie des espaces clos (claustrophobie) Phobie des hauteurs (acrophobie) Phobie de l'eau (aquaphobie) Phobie du cancer (cancérophobie) Phobie de l'orage, des tempêtes (cheimophobie) Phobie de la mort (nécrophobie) Phobie de faire un malaise cardiaque (cardiophobie) Phobie des fruits (carpophobie) Phobie des chats (ailourophobie) Phobie des chiens (cynophobie) Phobie de la contamination par les microbes (mysophobie) Phobie de l'accouchement (tokophobie)

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