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Rythme anormal de respiration caractérisé par des périodes alternatives d'apnée et de respiration rapide et profonde. Le cycle commence par des respirations lentes et superficielles qui se transforment en respirations profondes et rapides, suivies par une période d'apnée. L'apnée dure entre 5 et 30 secondes, le cycle se répète à un intervalle entre 45 secondes et 3 minutes

La respiration de Cheyne-Stokes dans l'insuffisance cardiaque est un signum mali ominis car cette respiration périodique aggrave l'insuffisance cardiaque et augmente la mortalité. La respiration de Cheyne-Stokes diurne et nocturne est fréquente chez les patients en grave insuffisance cardiaque. La respiration de Cheyne-Stokes peut et doit être traitée. La ventilation améliore l'insuffisance cardiaque, la fatigue diurne et la qualité de vie. Il semble actuellement que la servoventilation adaptative soit la forme de ventilation la plus efficace pour le traitement de la respiration de Cheyne-Stokes.

L'acné rosacée est une affection chronique de la peau du visage qui se manifeste d'abord par une rougeur intermittente sur le nez, le front, le menton et les joues et par la dilatation des petits vaisseaux sanguins à la surface de la peau.De petits boutons rouges et solides (papules) ou remplis de pus (pustules) peuvent apparaître sur le visage. Ce type d'acné se distingue visiblement de l'acné vulgaire car il n'y a pas de points noirs ou de boutons blancs.

La rosacée peut toucher n'importe qui mais les personnes au teint pâle qui rougissent facilement sont plus à risque. Les femmes y sont plus sujettes que les hommes mais ces derniers sont plus enclins à développer un rhinophyma, un trouble qui se caractérise par un nez rouge, enflé et bosselé et qui est secondaire à une couperose non traitée.

Certains facteurs ont été reconnus comme étant des éléments déclencheurs susceptibles de provoquer des poussées de rosacée ou d'augmenter les symptômes de la maladie : la température, l'exposition prolongée au soleil ou aux lampes de bronzage, les émotions, le stress, la nourriture épicée, l'alcool, boissons chaudes.

Dans la phase prérosacée, le patient décrit des bouffées de chaleur érythémateuses qui sont embarrassantes, souvent accompagnées de picotements désagréables. Les facteurs médiateurs fréquemment rapportés de ces poussées éruptives comprennent l'exposition au soleil, le stress émotionnel, le climat froid ou chaud, l'alcool, les aliments épicés, l'effort, le vent, les cosmétiques, les bains chauds et les boissons chaudes. Ces symptômes persistent au cours des autres phases de l'affection. Dans la phase vasculaire, le patient développe un érythème et un œdème facial avec de multiples télangiectasies, dues probablement à une instabilité vasomotrice persistante.

L'anémie pernicieuse (aussi appelée anémie de Biermer ou encore maladie de Biermer ) paraît être une maladie spécifique à l'espèce humaine1, due à une carence en vitamine B12 (cobalamine) par malabsorption. Cette malabsorption est la conséquence d'une gastrite chronique atrophique auto-immune. Elle provoque une anémie d'installation lente, insidieuse et progressive.

Le sang circule dans tout le corps et accomplit un certain nombre de fonctions essentielles. Il apporte l'oxygène, emporte le gaz carbonique et transporte les éléments nutritifs indispensables au maintien de la vie. De plus, en servant de véhicule aux messagers qui agissent à distance telles les hormones, le sang aide les diverses parties de l'organisme à communiquer entre elles. Ce sont les cellules sanguines, travaillant de concert avec la partie liquide du sang (le plasma), qui s'acquittent de ces tâches importantes. La plupart des cellules qui composent le sang sont des globules rouges (érythrocytes). Le sang contient également des globules blancs (leucocytes), bien que leur nombre soit moins important. Leur rôle consiste à défendre l'organisme contre les corps étrangers – y compris les bactéries, les virus et les champignons. Une anémie se produit lorsque le sang ne contient pas suffisamment d'hémoglobine (un composé de fer et de protéine dans les globules rouges qui transportent l'oxygène) ou que les globules rouges ne sont pas assez nombreux. Lorsque le manque de globules rouges est causé par une carence en vitamine B12, il s'agit d'une anémie pernicieuse. Le terme pernicieux a été adopté il y a de nombreuses années, alors qu'il n'existait aucun traitement efficace contre cette maladie qui était alors inévitablement fatale.

Dans la plupart des cas, il n'y a aucun signe précoce d'anémie pernicieuse. Au fur et à mesure que la maladie évolue, un essoufflement et une diminution de la tolérance à l'effort peuvent se manifester. Parfois, les battements cardiaques s'accélèrent et sont davantage perceptibles. Les personnes atteintes d'anémie pernicieuse ont souvent un taux d'hémoglobine très bas, mais peu des symptômes que cela entraîne, comme la fatigue. Leurs taux de globules blancs (cellules pour combattre les infections) et de plaquettes (cellules nécessaires à la coagulation sanguine et à l'arrêt des saignements) peuvent aussi baisser. Cependant, les infections et les troubles de saignements surviennent rarement dans l'anémie pernicieuse.

L'anémie pernicieuse, par son début progressif (dyspnée apparaissant à l'effort) autant que par son caractère normochrome, est longtemps bien tolérée. Le sujet peut quelquefois exercer une activité professionnelle modérée avec un nombre de globules rouges de l'ordre de 2,5 x 106 / mm3. Certains malades se présentent avec des chiffres encore beaucoup plus bas (un million). L'état général est remarquablement bien conservé. La température est subfébrile (37,5 °C) et peut devenir nettement fébrile pendant les crises de déglobulisation (chute du nombre de globules rouges). Le teint est pâle, mais avec subictère (ictère très léger, teint plutôt jaunâtre localisé aux conjonctives). La rate est le plus souvent palpable (splénomégalie modérée).

L’anémie par carence en vitamine B12 s’installe très lentement, de façon insidieuse. Cette anémie se traite toutefois facilement et rapidement. Dès les premiers jours du traitement, les symptômes s’atténuent. En quelques semaines, la carence peut généralement être corrigée. Il est cependant important de traiter ce type d’anémie, car avec les années, des symptômes neurologiques peuvent apparaître (engourdissements et fourmillements dans les extrémités, trouble de la démarche, humeur changeante, dépression, psychose, symptômes de démence, etc.).

Le syndrome du canal carpien est caractérisé par la présence de symptômes au niveau des 3 premiers doigts de la main (douleurs, troubles de la sensibilité et diminution de la force). Il résulte d'une compression du nerf médian au poignet et il est favorisé par la répétition de certains mouvements ou postures de la main ainsi que par certaines maladies. Le canal carpien ou » carpal tunnel » pour les anglo-saxons est une zone anatomique située entre les os du carpe en arrière et un épais ligament en avant, le ligament annulaire antérieur. Le nerf médian passe dans ce canal inextensible, accompagné par les 9 tendons fléchisseurs des doigts, fléchisseurs profond et superficiel de chaque doigt long et long fléchisseur propre du pouce.

Lorsque le canal se rétrécit, soit par une cause externe (arthrose-fracture), ou si la synoviale qui entourent des tendons s’épaissit apparaît un conflit contenu-contenant. Le premier élément qui souffre est le nerf. Le passage de l’influx électrique est ralenti , et les symptomes sensitifs apparaissent. Le syndrome du canal carpien est très fréquent dans l’ensemble de la population, particulièrement lors de la grossesse et chez les femmes d’une cinquantaine d’années. Les travailleurs de force surtout effectuant un geste répétitif, (conditionnement, emballage…) sont plus souvent atteints que la population générale. Dans certains cas, la prise en charge en maladie professionnelle est possible. Le syndrome du canal carpien entre dans le cadre des troubles musculo-squele tiques ou T.M.S.

Le syndrome du canal carpien se traduit au début par des signes subjectifs comme les fourmillements, une sensation d’engourdissement et parfois des douleurs du pouce, de l’index et du médius, voire des douleurs ascendantes vers l’avant-bras et le coude. L’atteinte des 2 mains est très fréquente. Le plus souvent, ces signes apparaissent en deuxième partie de la nuit et réveillent vers 3h du matin. Ils disparaissent en secouant la main pendant quelques minutes. Ultérieurement, l’atteinte des fibres motrices entraine une diminution de la force de préhension du pouce avec un lâchage des objets dans la vie quotidienne. L’examen retrouve aussi des signes objectifs avec un trouble de la reconnaissance des petits ojets les yeux fermés ( aiguille, bouton de chemise…), une diminution du volume musculaire à la base du pouce. La pression du nerf médian ou la mise en flexion forcée du poignet entraine l’apparition ou l’ accentuation des troubles.

Le cancer du poumon prend naissance dans les cellules du poumon. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. La tumeur peut également se propager (métastases) à d'autres parties du corps. Quand le cancer apparaît d'abord dans les cellules du poumon, il est appelé cancer primitif du poumon. Le poumon fait partie de l’appareil respiratoire. Vous utilisez vos poumons quand vous respirez. Les poumons sont situés dans le thorax, de chaque côté du cœur. Le poumon droit est constitué de 3 sections principales appelées lobes. Le poumon gauche, un peu plus petit, comporte 2 lobes. Les poumons sont enveloppés d’une fine membrane protectrice appelée plèvre, qui constitue un genre de coussin pour ces organes.

Une tumeur non cancéreuse (bénigne) du poumon est une masse qui ne se propage pas à d'autres parties du corps (pas de métastases). Une tumeur non cancéreuse ne met généralement pas la vie en danger.

Un nodule pulmonaire est une petite région de tissu anormal observée dans le poumon, souvent au cours d'un examen d'imagerie comme une radiographie ou une tomodensitométrie (TDM).

Les symptômes fréquents combinent des problèmes respiratoires et une altération inexpliquée de votre état général : apparition d’une toux ou majoration d’une toux de bronchite chronique ; expectorations (crachats) sanguinolentes (hémoptysie). Une hémoptysie importante nécessite d’alerter rapidement votre médecin traitant ; apparition ou aggravation d’une difficulté à respirer (dyspnée ou essoufflement), en l’absence de problèmes cardiaques avérés ; infection pulmonaire (bronchite ou pneumonie) à répétition ; des douleurs importantes aiguës ou chroniques (comme un point de côté évoquant un déchirement musculaire, des douleurs de l’épaule évoquant un rhumatisme) ; une fatigue inhabituelle et persistante ; une perte d’appétit ; une perte de poids.

Le cancer du cerveau est une lésion tumorale qui se développe dans le crâne à différents niveaux. Les symptômes sont donnés par la localisation, le type morphologique et l'évolution des tumeurs. Le cancer du cerveau est une lésion tumorale qui se développe dans le crâne à différents niveaux : parenchyme, hémisphères cérébrales, cervelet, tronc cérébral, méninges (méningiomes), structures vasculaires (angiomes) ou glandulaires (adénomes). Les symptômes sont donnés par la localisation, le type morphologique et l'évolution des tumeurs. Ce sont des symptômes qui sont en général communs aux autres pathologies neurologiques (maux de tête, épilepsie...).

Les tumeurs intracrâniennes peuvent être soit bénignes, soit malignes. Chez l'adulte, elles se localisent principalement au-dessus de la tente du cervelet, partie d'une méninge qui sépare le cerveau au-dessus, du cervelet en-dessous. Parmi les tumeurs bénignes qui sont le plus souvent situées en dehors du tissu cérébral à proprement parler, on retrouve essentiellement les schwannomes développés à partir d'un type cellulaire particulier, les cellules de Schwann, et les méningiomes développés au niveau des méninges, une des trois membranes recouvrant et protégeant le cerveau. Les tumeurs malignes sont elles aussi de plusieurs types, mais se localisent plus volontairement au niveau du parenchyme cérébral. Une tumeur découverte au niveau du cerveau entraîne souvent des signes similaires qui ne permettent initialement pas de définir le caractère bénin ou malin de la tumeur, et même si l'imagerie oriente vers une origine, le prélèvement, ou biopsie, est nécessaire pour faire le diagnostic.

Le cancer du col de l’utérus est une tumeur localisée au niveau de la muqueuse utérine. Cette pathologie survient après une exposition prolongée au papillomavirus humain (HPV). Le cancer du col de l’utérus compte parmi les cancers les plus fréquents. L’utérus est l’organe reproducteur principal chez une femme. Il est destiné à recevoir l’ovule fécondé afin d’assurer le développement du fœtus. Situé au niveau du petit bassin, en arrière de la vessie et en avant du rectum, l’utérus est un organe creux, de forme triangulaire d’une dizaine de centimètres de haut sur 5 centimètres de large. Le col utérin, la partie la plus inférieure de l’organe, débouche sur le vagin. Le corps utérin qui représente la partie la plus volumineuse de l’utérus destinée à recevoir l’ovule fécondé est relié par ses extrémités supérieures droites et gauches aux trompes utérines. La paroi utérine est constituée de 3 couches : La muqueuse utérine appelée « endomètre » représente la paroi interne de l’utérus ; La couche intermédiaire musculaire appelée « myomètre » ; La séreuse utérine est la paroi externe de l’utérus. Le col de l’utérus qui fait le lien entre le vagin et l’utérus est recouvert d’une muqueuse sécrétant la glaire cervicale. Cette muqueuse joue un rôle très important dans les fonctions biologiques de l’utérus. Elle est constituée d’une première couche extérieure appelée l’épithélium et d’une seconde, interne, le tissu conjonctif. La quasi-totalité des cancers du col de l’utérus débute au niveau de l’épithélium.

Au début, le cancer du col n’engendre aucun symptôme particulier. A ce moment là, seuls les frottis de dépistage peuvent le mettre en évidence. Lorsque le cancer évolue, il engendre des symptômes dont : Des saignements vaginaux après les rapports sexuels ; Des saignements vaginaux hors période de règles ; Des douleurs pendant les rapports sexuels ; Des pertes vaginales ; Des douleurs dans le bas du ventre ; Des douleurs lombaires.

L'utérus est un organe génital féminin primordial pour la reproduction étant donné que c'est à son niveau que va se dérouler toute la grossesse. Néanmoins, cet organe peut être atteint de tumeurs cancéreuses, dont deux types sont distincts : le cancer du col de l'utérus, et le cancer de l'endomètre (aussi appelé cancer du corps de l'utérus) qui est l'autre nom de la muqueuse utérine, couche de cellules tapissant l'intérieur de cette cavité.

La capsulite rétractile également appelée "épaule gelée" est souvent confondue avec la tendinopathie de l'épaule en raison de la perte de mobilité de l'épaule dans les deux cas. La capsulite rétractile, comme son nom l'indique, est une pathologie qui se manifeste par une rétraction de la capsule de l'épaule. Explications : autour de l'épaule, il existe une membrane plus ou moins lâche autour de l'épaule qui permet les bons mouvements de l'articulation gléno-humérale. En cas de rétraction de cette membrane, c'est-à-dire lorsqu'elle perd son élasticité, l'épaule et particulièrement la gléno humérale est moins libre et le mouvement devient très compliqué. Le simple fait de lever le bras devient un calvaire... L'épaule est donc figée, on parle donc d'épaule gelée.

La bonne nouvelle est que la capsule rétractile de l'épaule ne récidive presque jamais sur la même épaule. Mais dans 10% des cas, la deuxième épaule peut être atteinte, surtout chez les diabétiques, mais pratiquement jamais en même temps que la première.

Dans sa forme primitive, la capsulite survient sans aucune cause apparente, avec néanmoins une prévalence chez les femmes âgées de 40 à 60 ans. En effet, les bouleversements hormonaux importants à ce moment de la vie de la femme auraient un rôle dans la survenue de cette pathologie. Mais il existe également des capsulites secondaires, c'est-à-dire consécutives à un traumatisme, une intervention chirurgicale ou encore à certaines pathologies telles que la maladie de Parkinson, l'infarctus du myocarde, la tuberculose, le diabète ou encore l'hyperthyroïdie. Certains médicaments peuvent aussi favoriser la survenue de la capsulite.

La reprise du sport se fera progressivement, en suivant les conseils du kinésithérapeute. Mais une joueuse de tennis ou de badminton, deux sports qui mobilisent fortement l’épaule, devra faire preuve de patience avant de retrouver le même niveau. La capsulite guérit presque toujours, bien qu’elle puisse laisser des séquelles de raideurs et, parfois, toucher l’autre épaule. Jamais deux fois la même. Le traitement est long, mais il s’agit d’une pathologie bénigne .

Le vaginisme est vécu comme la difficulté ou l'impossibilité à vivre un épisode de pénétration : qu’il s’agisse d’un tampon, d’un doigt, d’un examen gynécologique ou d’un rapport sexuel.Souvent associé à une « phobie panique » de la pénétration, les muscles du plancher pelvien (les muscles entourant le vagin) se resserrent de manière réflexe dès lors que l’on s’approche ou tente d’y insérer un objet (tampon, doigt, spéculum, pénis etc.). Cette contraction peut rendre la pénétration très douloureuse, voire même impossible. Notre vie sexuelle est affectée (qu’elle soit solitaire ou partagée), tout autant que notre santé, puisque des examens gynécologiques sont souvent impossibles.

Le vaginisme primaire, quand la pénétration est impossible ou difficile depuis toujours. C’est la forme la plus fréquente du vaginisme. Le vaginisme intervient au début de la vie sexuelle : souvent lorsqu’on est vierge. Le vaginisme secondaire, s’il apparaît pendant la vie sexuelle et une première période « normale », sans problème particulier. Il peut apparaître après un traumatisme, un viol, une agression sexuelle, etc. on peut considérer les vaginismes selon leur fréquence : On parle d’un vaginisme « global », lorsqu’il est présent dans toutes les situations, avec tout objet, quelque soit le partenaire ou la tentative de pénétration : tampon, examen gynécologique, masturbation ou rapport sexuel… Ou un vaginisme dit « situationnel », lorsqu’il ne se produit pas tout le temps : avec certains partenaires et pas d’autres, lors des rapports sexuels, mais pas lors de la masturbation, lors d’examens gynécologiques, mais pas lors de l’insertion de tampon.

Un examen gynécologique est par la suite indispensable pour éliminer toute cause physique. Parfois, l’impossibilité de pénétration est la conséquence d’une vestibulite ou d’une vulvodynie. Dans d’autres cas, l’hymen est aussi trop résistant et rend la pénétration impossible. Toutefois, même si une opération chirurgicale peut résoudre ce problème, elle peut ne pas résoudre la peur de la pénétration. Le vaginisme reste donc parfois présent, ce qui peut être résolu à l’aide d’une thérapie. S’agissant de la douleur décrite, on retrouve une sensation souvent similaire à une impression de brûlure ou d’un déchirement. Et chez d’autres femmes, la pénétration n’est pas que douloureuse, mais impossible. Il peut aussi arriver que certaines femmes atteintes du vaginisme puissent avoir une pénétration, mais que les douleurs durant le rapport sexuel soient alternées avec des phases de douleurs plus ou moins aiguës.

La maladie coeliaque est une maladie chronique de l’intestin déclenchée par la consommation de gluten.aussi appelée entéropathie au gluten, cœliaquie ou intolérance au gluten, est une maladie auto-immune, caractérisée par une atrophie villositaire (destruction de la paroi de l'intestin grêle). Cette maladie est une intolérance permanente à différentes fractions protéiques du gluten contenues dans différents types de céréales telles que le blé (froment), l'orge ou le seigle. Il en résulte une malabsorption de certains nutriments (vitamines, fer, calcium…), donc des carences alimentaires. Les personnes atteintes doivent suivre un régime strict sans gluten à vie.

À terme, cette réaction auto-immune anormale cause des lésions de la paroi intérieure de l'intestin ( des villosités de la intestinale), avec deux conséquences : la digestion est altérée , l’organisme assimile moins bien la majorité des (protéines, graisses, etc.), minéraux et vitamines (fer, calcium, vitamine D, vitamine B9 ou acide folique, etc.) Maladie fréquente, l’intolérance au gluten peut donner lieu à des symptômes mineurs ou peu caractéristiques. Contrairement à l'allergie alimentaire (et en particulier à l'allergie au gluten) qui provoquent des symptômes survenant immédiatement après l’ingestion de gluten ( ), l'intolérance au gluten apparaît de manière progressive et s’installe dans la durée.

La cocaïnomanie est la dépendance à la cocaïne. Les feuilles de l’Erythroxyloncoca, une plante originaire du Pérou et de la Bolivie, étaient mâchées par les peuples amérindiens qui appréciaient son effet tonique. Cette plante aidait par ailleurs à diminuer la sensation de faim et de soif. Ce n’est que vers le milieu du XIXe siècle que l’on extrait la cocaïne pure de cette plante. À cette époque, les médecins l’utilisaient comme substance tonique dans de nombreux remèdes.

La dépendance se caractérise par la tolérance, c’est-à-dire que la quantité de produit nécessaire pour obtenir un même effet augmente; des symptômes de sevrage lors de l’arrêt de la consommation, une escalade dans les quantités et la fréquence de l’utilisation. L’usager consacre beaucoup de son temps aux activités reliées à la consommation, et il continue malgré des conséquences négatives importantes.

On sait que les neurones libèrent des neurotransmetteurs (diverses substances chimiques) pour communiquer entre eux; chaque neurone peut libérer des neurotransmetteurs et en recevoir (par le moyen de récepteurs). On croit que ces stimulants amènent une modification physiologique de certains récepteurs des neurones, affectant ainsi leur fonctionnement général. Ceux-ci peuvent ne jamais récupérer complètement, même lors de l’arrêt de la consommation. De plus, les stimulants du système nerveux central (dont la cocaïne) augmentent le taux de trois neurotransmetteurs dans le cerveau : la dopamine, la norépinéphrine et la sérotonine.

Consommée de façon régulière, la cocaïne peut provoquer : une contraction de la plupart des vaisseaux sanguins : les tissus, insuffisamment irrigués, se nécrosent. C'est souvent le cas de la cloison nasale avec des lésions perforantes pouvant aller jusqu'à la nécrose des parois nasales chez les usagers prisant régulièrement la cocaïne ; cet effet peut être gravement renforcé quand la cocaïne est coupée avec du lévamisole.

Le partage du matériel pour consommation « en rail » favorise les transmissions virales (hépatite B, hépatite C et sida) par le partage de pailles. Le risque est majoré dans le cas de partage de seringues ou d'aiguilles déjà utilisées dans le cas d'une absorption par injection. La consommation de cocaïne en même temps que d'autres substances stimulantes ou psychotropes favorise le risque de coma.

L'hallux valgus, plus connu sous le nom "oignon" est une déformation de l'avant-pied. Il s'agit de la désaxation vers l'extérieur du gros orteil. L'hallux valgus peut devenir très douloureux, notamment pendant la marche, le gros orteil est dévié vers l'extérieur, et s'accompagne d'une saillie appelée "oignon". Cet oignon est particulièrement douloureux et rentre en conflit avec la chaussure.

L'hallux valgus est parfois totalement indolore, mais il est souvent douloureux à la marche. En effet, la zone déformée et saillante (l'"oignon") frotte dans la chaussure et des callosités (épaississement dur de la peau) se développent. Ce frottement peut créer une inflammation de l'enveloppe de l'articulation métatarso-phalangienne (bursite) et l'"oignon" devient rouge, chaud et douloureux. Il est alors difficile de se chausser. La déformation s’aggrave progressivement, la bursite grossit et le pied se déforme ensuite dans son ensemble, en raison du transfert d’appui sur les autres orteils. Des durillons apparaissent sur la plante du pied et des cors sur les orteils latéraux. Ces derniers, chassés par le gros orteil, se recroquevillent en "griffes".

L'articulation entre le gros orteil et le premier métatarsien (articulation métatarso-phalangienne) s'enflamme fréquemment par poussées peu prévisibles (épisodes de bursite). Si la peau en regard de la bursite est le siège d'une plaie, la bursite s'infecte et cette infection peut se propager à l'articulation métatarso-phalangienne (arthrite), voire à l'os (ostéite), plus particulièrement chez les personnes fragiles comme les diabétiques.

Une hernie discale survient lorsque la couche dure d’un disque dans la colonne vertébrale se déchire ou se rompt. La partie interne, molle et gélatineuse, du disque peut sortir de la capsule (faire une hernie). Une hernie est la saillie d’un organe ou d’une partie d’organe (le plus souvent, l’intestin) hors de sa position habituelle. Une hernie discale est la saillie d’une portion d’un disque intervertébral.

Si un disque est pincé brusquement entre deux vertèbres successives (par exemple lorsque l’on soulève une charge trop lourde), la couche externe peut se fissurer (rupture) et provoquer une douleur. La partie interne du disque peut alors faire saillie au travers de cette fissure de la partie externe et former une hernie. Cette saillie peut comprimer, irriter, voire endommager, la racine du nerf rachidien ou parfois la moelle épinière

Il est fréquent qu’un disque hernié, même s’il apparaît protubérant lors d’un examen d’imagerie comme l’imagerie par résonance magnétique (IRM) ou la tomodensitométrie (TDM), n’induise aucun symptôme. Les hernies discales qui n’induisent pas de symptôme sont plus fréquentes avec l’âge. Une hernie discale peut toutefois causer une douleur légère à invalidante. Le mouvement intensifie souvent la douleur, et celle-ci est aggravée par la toux, les éternuements, l’effort ou le fait de se pencher en avant. Le siège de la douleur dépend du disque hernié et de la racine nerveuse affectée. La douleur peut être perçue le long du trajet du nerf comprimé par le disque hernié.

Une hernie discale peut également induire un engourdissement et une faiblesse musculaire. Si la pression exercée sur la racine nerveuse est forte, les membres inférieurs peuvent être paralysés. Dans de rares cas, le disque peut appuyer sur la moelle épinière elle-même, entraînant éventuellement une faiblesse ou une paralysie des deux jambes. En cas d’atteinte de la queue de cheval (faisceau de nerfs issu de l’extrémité inférieure de la moelle dans le bas du dos), une perte de contrôle de la vessie ainsi que des intestins peut se produire.

L’hyperactivité est le nom commun que l’on donne au trouble du déficit de l’attention (TDAH). En réalité, un enfant peut être atteint d’un TDAH sans pour autant être hyperactif.

Plusieurs termes sont employés pour désigner l'hyperactivité : -syndrome hyperkinétique -dysfonction cérébrale minime -troubles déficitaires de l'attention avec ou sans hyperactivité (TDAH) L'hyperactivité se rencontre partout dans le monde et dans toutes les classes sociales. C'est une maladie de plus en plus médiatisée mais encore mal reconnue en France. Pour preuve, il existe encore très peu de centres spécialisés dans le traitement et l'accueil des enfants hyperkinétiques.

Trouble oppositionnel avec provocation Attitude hostile, méfiante et négative devant les figures d'autorité qui tend à se manifester plus fréquemment chez les enfants impulsifs et hyperactifs/ Troubles de conduite Comportement antisocial profond qui peut se traduire par le vol de biens, la recherche du combat et un comportement généralement destructeur envers les humains et les animaux. Dépression Souvent présente, la dépression résulte du rejet que l’enfant vit parce qu’il n’arrive pas à se contrôler. Il souffre souvent d’une pauvre estime de lui-même. La dépression peut apparaître autant chez l'enfant que chez l'adulte atteint du TDAH - surtout si d'autres membres de la famille en ont souffert.

Anxiété et nervosité excessives qui s'accompagnent de divers symptômes physiques (tics, accélération du rythme cardiaque, transpiration, vertiges, etc.) ou de troubles obsessionnels compulsifs.

La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. La tumeur peut également se propager (métastases) à d'autres parties du corps.Le pancréas est une glande située profondément dans l’abdomen, entre l’estomac et la colonne vertébrale. Il est composé de cellules exocrines et de cellules endocrines, et il est souvent décrit comme ayant une tête, un corps et une queue. Le pancréas produit des enzymes qui facilitent la digestion (grâce aux cellules exocrines), ainsi que de l’insuline et d’autres hormones importantes (grâce aux cellules endocrines) qui aident le corps à absorber le sucre et à contrôler la glycémie.

Il n’y a pas de cause déterminée entraînant ce cancer, mais des facteurs de risque qui peuvent augmenter la probabilité du développement de la maladie. Le cancer du pancréas est généralement détecté tardivement

Les patients chez qui on diagnostique un cancer du pancréas ont généralement un pronostic défavorable. Les chances de survie sont faibles en partie parce que ce cancer ne cause habituellement aucun symptôme à ses débuts, ce qui entraîne une maladie métastatique au moment du diagnostic.

Au fur et à mesure que le cancer se développe, il peut causer des signes, des symptômes ou des indications en relation avec le pancréas ou avec d’autres organes de l’appareil digestif. Les symptômes de ce cancer varient en fonction de sa localisation dans le pancréas : tête, corps ou queue, et de la localisation des fonctions des cellules de la tumeur : cellules exocrines ou cellules endocrines. Les symptômes suivants peuvent indiquer le développement d’un cancer du pancréas : Douleur, habituellement dans l’abdomen ou le dos, Perte de poids inexpliquée, Jaunisse, > Diabète récent, Perte d’appétit, Indigestion, Nausées, Changements dans les selles, Pancréatite, Caillots de sang, Ballonnements abdominaux ou ballonnements d’estomac, fatigue, faiblesse, ou encore dépression.

L'insuffisance de sécrétion pancréatique provoque une diarrhée grasse (stéatorrhée). Une atteinte associée du pancréas endocrine provoque un diabète. Trois symptômes dominent : La jaunisse (ictère par rétention) surtout dans le cancer de la tête du pancréas. La vésicule biliaire est distendue et palpable ; Des douleurs violentes irradiant dans le dos et sous les côtes à gauche, parfois calmées lorsque le patient se penche en avant (antéflexion) ou lorsqu'il prend de l'aspirine. Les douleurs ne se calment pas en position couchée ; Un amaigrissement ; Dans le cancer du corps et de la queue du pancréas, le foie est souvent très volumineux. Il peut y avoir des varices oesophagiennes, une grosse rate.

La labyrinthite est une inflammation de l'oreille interne. Le labyrinthe est une structure qui se trouve tout juste à l'intérieur du crâne et qui est constituée de tubes et de sacs remplis de liquide. Il contient 2 organes importants : la cochlée, qui est nécessaire à l'ouïe, et les organes servant à l'équilibre, (formant le système vestibulaire), signalent à une personne dans quelle position se trouve sa tête et quels mouvements elle effectue, même lorsque ses yeux sont fermés. L'un ou l'autre de ces organes, ou les deux, peuvent être affectés.

Les principaux symptômes de la labyrinthite sont le vertige (l'impression que la tête tourne) et une perte auditive. Si une personne subit un vertige, elle a l'impression de tourner sur elle-même ou que les objets tournent autour d'elle. Les symptômes peut être légers, accompagnés d'un faible vertige et d'un léger acouphène (tintements ou bourdonnements dans les oreilles). Par contre, des cas plus graves peuvent mener à une perte d'audition soudaine dans l'oreille touchée, bien que ce soit rare. Le vertige intense accompagnant ces symptômes graves peut mener à de la nausée et possiblement à des vomissements, de même qu'à de la difficulté à se concentrer sur sa vision. Une perte d'équilibre peut également se produire.

L'inflammation disparaît souvent de façon spontanée en deux ou trois semaines, l'audition et l'équilibre revenant à la normale. Toutefois, la labyrinthite peut causer des lésions prolongées ou permanentes. Si elle touche le système vestibulaire, elle peut altérer le sens de l'équilibre d'une personne pendant plusieurs années après l'arrêt de l'inflammation. Quand elle atteint la cochlée, elle peut causer des troubles de l'audition.

La légionellose est une maladie de gravité variable allant d’une atteinte fébrile bénigne à des formes parfois mortelles de pneumonie. Elle est due à une exposition aux espèces Legionella que l’on trouve dans l’eau et dans la terre. Les cas de légionellose sont souvent classés en fonction du type d’exposition (légionellose communautaire, du voyageur ou nosocomiale).

La légionellose est un terme général décrivant les formes pulmonaires ou non d’infection par Legionella. La forme non pulmonaire (maladie de Pontiac) est un syndrome grippal aigu, guérissant spontanément et durant en général de 2 à 5 jours. La période d’incubation va de quelques heures à 48 heures. Les principaux symptômes sont de la fièvre, des frissons, des céphalées, un état de malaise et des douleurs musculaires (myalgies). Aucun cas mortel ne s’associe à ce type d’infection.

La maladie des légionnaires, sa forme pulmonaire, a une durée d’incubation allant de 2 à 10 jours (pouvant atteindre 16 ans, comme cela a été enregistré lors de flambées épidémiques). Les symptômes initiaux sont de la fièvre, une perte d’appétit, des céphalées, un état de malaise, une léthargie. Certains patients peuvent aussi présenter des douleurs musculaires, de la diarrhée et un état confusionnel.

es légionelles sont présentes à l’état naturel dans les eaux douces (lacs et rivières) et les sols humides. À partir du milieu naturel, la bactérie peut coloniser les installations qui leur offrent des conditions favorables à leur développement (stagnation de l’eau, température de l’eau comprise entre 25 et 45 °C, présence de nutriments). La contamination se fait par voie respiratoire, par inhalation d’eau contaminée diffusée en aérosol

La lombalgie, souvent appelée mal de dos ou lumbago, se caractérise par une douleur intense, au niveau des vertèbres lombaires.La lombalgie, appelée communément « mal de dos », « lumbago » ou « tour de rein », est une douleur, souvent intense, au niveau des vertèbres lombaires, situées en bas du dos. En cas de lombalgie, on peut aussi ressentir un sentiment de blocage ou des difficultés à faire certains mouvements.

on sait maintenant que la majorité des lumbagos communs est la conséquence de lésions des muscles, ligaments et tendons qui assurent le soutien et le fonctionnement de la colonne vertébrale. Il s’agit le plus souvent d’une cause « mécanique » : c’est d’ailleurs pour cela qu’il n’existe aucun lien entre l’intensité de la douleur et la gravité du mal de dos

Les lombalgies appartiennent à l'ensemble des troubles musculo-squelettiques (TMS) pouvant survenir dans le cadre professionnel ou de loisir et faisant suite à : de mauvaises postures (postures pénibles, station assise prolongée) ; des chutes ; des vibrations du corps entier : une activité physique. L'activité physique est bénéfique. Cependant, dans le cadre professionnel, elle est souvent excessive, déséquilibrée, statique, contrainte par le temps… ; l’inactivité physique.

La lombalgie se caractérise par une douleur au niveau des vertèbres lombaires, situées dans le bas du dos. Parfois, la douleur peut s’étendre et atteindre les fesses ou l’arrière des cuisses. La plupart des lombalgies sont totalement bénignes. Il est plus fréquent d’en avoir au moment de l’adolescence et après 50-60 ans. Lorsque la douleur atteint le nerf sciatique, la lombalgie est appelée sciatique ou lombosciatique. Elle peut aussi toucher le nerf crural, dans ce cas, on parle alors de lombocruralgie.

Le mal de gorge n’est pas une pathologie mais un symptôme qui peut être provoqué par diverses maladies. Il s’agit d’une inflammation qui peut concerner diverses régions autour de la gorge : les amygdales, le pharynx ou le larynx. Parfois, cela peut provoquer des rougeurs ou des difficultés à avaler. L’origine du mal de gorge est le plus souvent virale, même s’il existe également des infections bactériennes (notamment le streptocoque responsable de la scarlatine) pouvant en être à l’origine.

le stress peut vous donner une sensation de boule ou de blocage qui fait mal à la gorge, mais ce n’est pas persistant comme lorsqu’il y a une cause physique. Et cela n’a rien à voir avec une maladie. Bon à savoir : le mal de gorge peut aussi s’accompagner d’une douleur à l’oreille. La gorge et l’oreille sont reliées par la trompe d’Eustache. Lorsque vous avez une otite, par exemple, celle-ci peut se propager vers la gorge, et une infection comme la rhinopharyngite peut également toucher l’oreille. Il se peut également que vous ayez la sensation d’avoir plus mal à la gorge d’un côté seulement.

La difficulté à avaler (dysphagie) qui accompagne le mal de gorge peut être due à une angine, le plus souvent d’origine virale. Cela peut également être du à un reflux gastro-œsophagien (RGO). Cependant, si vous avez un mal de gorge d’un côté seulement, il peut s’agir d’une angine à streptocoque ou d’une angine de Vincent, une infection bactérienne qui nécessite un traitement antibiotique. Dans ce cas, vous aurez plutôt un mal de gorge sans toux, avec des ganglions et une fièvre modérée. La mycose buccale est une autre cause possible du mal de gorge avec des difficultés de déglutition. Cette infection est provoquée par un champignon, le Candida Albicans et touche plus souvent les bébés, les personnes âgées et les personnes souffrant de déficit immunitaire (comme les personnes sous chimiothérapie).

Le mal de gorge se traduit par des picotements, des douleurs ou des sensations de brûlures, et s'associe parfois à des difficultés à avaler ou à parler ainsi que d'autres symptômes suivant la localisation et la cause de la maladie. Dans 80 % à 90 % des cas, le mal de gorge est causé par un virus.Dans 10 à 15 % des cas, l'angine est due à une infection par une bactérie.

La maladie de Ménière est un trouble caractérisé par des épisodes répétés de vertiges invalidants (illusion de mouvements ou de tournis), une déficience auditive variable (aux basses fréquences) et un bruit dans l’oreille (acouphènes).

Les symptômes incluent des crises soudaines et non provoquées de vertiges invalidants sévères, des nausées et des vomissements, généralement avec des sensations de pression dans l’oreille et une perte auditive.

Les symptômes de la maladie de Ménière comprennent des crises soudaines (aiguës) non provoquées de vertiges invalidants sévères, de nausées et de vomissements. Le vertige est l’impression que nous-mêmes ou les choses autour de nous, ou les deux à la fois, se déplacent ou tournent. La plupart des personnes nomment cette sensation désagréable « étourdissement », bien qu’elles utilisent également souvent le terme « étourdi » pour d’autres sensations, comme le fait d’avoir une sensation de tête légère.

Ces symptômes durent généralement entre 1 à 6 heures, mais peuvent (rarement) durer jusqu’à 24 heures. Avant et pendant une crise, les personnes peuvent avoir une sensation de plénitude ou de pression dans l’oreille touchée. L’audition de l’oreille affectée tend à être fluctuante, mais s’aggrave progressivement au fil des années. Les acouphènes, que certaines personnes décrivent comme un « bourdonnement dans l’oreille », peuvent être constants ou intermittents, et peuvent s’aggraver avant, pendant ou après une crise de vertige. La perte auditive et les acouphènes n’affectent généralement qu’une seule oreille, et la perte auditive est généralement plus importante dans les basses fréquences.

La MPOC (maladie pulmonaire obstructive chronique) est une affection pulmonaire chronique qui cause de l'essoufflement, une toux et des expectorations (crachats). Les symptômes de la MPOC sont causés par deux grandes maladies respiratoires : la bronchite chronique et l'emphysème.

La MPOC évolue lentement au cours des années. L'aggravation de la maladie se conjugue avec des épisodes d'aggravation plus fréquents, un débit aérien de plus en plus limité et le décès prématuré. La progression de la maladie entraîne chez les personnes atteintes un essoufflement qui limite l'activité et réduit la qualité de vie.

La capacité fonctionnelle respiratoire (la quantité d’air et la vitesse à laquelle elle est expirée des poumons) permet de catégoriser la sévérité de la maladie en quatre stades: léger, modéré, sévère et très sévère. Au stade léger, la personne ressent un essoufflement seulement lors d’un exercice énergique, alors qu’au stade le plus sévère, le patient est essoufflé en effectuant de simples tâches de la vie quotidienne. Avec la progression de la maladie, les capacités respiratoires ne sont pas les seules à se détériorer. En effet, les symptômes associés à la MPOC (atteintes cognitives, troubles de l’humeur, maladies cardiovasculaires) vont progresser simultanément.

Le mélanome est un cancer de la peau ou des muqueuses, développé aux dépens des mélanocytes .Il survient le plus souvent sur une peau saine, dans 80 % des cas, et apparaît alors sous la forme d'une tache pigmentée. Il peut aussi se développer par dégénérescence d'un grain de beauté préexistant.

Si une tache pigmentaire est retrouvée sur la peau, certaines caractéristiques doivent faire suspecter un mélanome. Il s’agit de taches dont la forme est irrégulière, asymétrique, dont les bords ne sont pas correctement délimités, dont la couleur n’est pas uniforme et dont la forme, la couleur et l’épaisseur évoluent. Ce sont les critères de la règle « ABCDE » (A comme Asymétrie, B comme Bords irréguliers, C comme Couleur non homogène, D comme Diamètre en augmentation et E comme Évolution).

Le mélanome peut aussi apparaître dans d’autres parties du corps où se trouvent des mélanocytes, mais ces formes de mélanomes sont rares. Le mélanome des muqueuses prend naissance sur le revêtement mince et humide de certains organes ou d’autres parties du corps, comme les voies nasales, la bouche et le canal anal. Le mélanome intraoculaire prend naissance dans l’œil. Il existe un autre type de cancer de la peau qui porte le nom de cancer de la peau autre que le mélanome. Ce type de cancer est plus courant que le mélanome. Le cancer de la peau autre que le mélanome prend naissance dans les cellules basales ou dans les cellules squameuses de la peau.

La ménorragie, encore appelée l’hyperménorrhée, est la survenue d’une hémorragie utérine (saignements utérins) anormale au cours de la période normale des menstruations (règles). Le caractère anormal de l’hémorragie concerne l’abondance et/ou la durée des saignements. Souvent difficiles à diagnostiquer en raison de leur confusion possible avec les règles, les ménorragies peuvent être traitées par différents types de médicaments, voire par chirurgie.

Les ménorragies et l’hyperménorrhée sont facilement confondues avec les règles normales, puisqu’elles se produisent au même moment du cycle menstruel. Néanmoins, elles se caractérisent par quelques signes distinctifs : Des règles plus abondantes, ce qui nécessite généralement un plus grand nombre de protections périodiques qu’habituellement ; Des saignements plus longs, qui se prolongent parfois bien au-delà de la durée normale des règles ; Un changement de couleur des règles, avec un écoulement plus rouge ; La présence de caillots sanguins parfois nombreux dans les pertes menstruelles.

Si les ménorragies se répètent sur plusieurs cycles menstruels, une anémie, liée à une carence en fer, peut se développer et altérer la santé des femmes concernées. Plus généralement, les ménorragies peuvent avoir des conséquences importantes sur la qualité de vie à plusieurs niveaux : Une baisse de la libido ; Un absentéisme scolaire ; Des arrêts de travail répétés ; Un isolement social ; Des troubles psychologiques.

Les ménorragies peuvent avoir plusieurs origines, certaines femmes pouvant présenter simultanément plusieurs affections entraînant des ménorragies : Une anomalie de la sécrétion de progestérone par le corps jaune, entraînant un déséquilibre entre progestérone et œstrogènes, ou un excès de sécrétion d’œstrogènes: ce déséquilibre entre les hormones féminines peut provoquer un développement exagéré de la muqueuse utérine, à l’origine de saignements trop abondants et/ou trop longs ; Une congestion pelvienne liée à une insuffisance vasculaire dans la région pelvienne : cette stase circulatoire augmente la durée et l’abondance des règles. Elle se rencontre chez les femmes souffrant de douleurs pelviennes, de varices pelviennes, ou ayant de lourds antécédents gynécologiques ou obstétricaux ; L’existence de tumeurs utérines bénignes (polypes, fibromes) ; Une adénomyose (maladie caractérisée par un développement anormal des cellules de l’endomètre à l’intérieur du muscle utérin).

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