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La peau, qui est l'organe le plus volumineux du corps, assure la régulation de la température corporelle, prévient l'évaporation des liquides organiques et joue un rôle de barrière contre les infections. Les dommages cutanés provoqués par une brûlure peuvent être mineurs ou constituer une urgence qui menace la vie, selon l'intensité de la chaleur, la surface de la peau affectée et la durée de l'exposition.

Les brûlures sont généralement classées en fonction de la profondeur et de l'étendue de la blessure: brûlure au premier, deuxième ou troisième degré. La peau comporte trois couches. La profondeur de la brûlure dépend de la couche de la peau qui a été endommagée. Les symptômes varient en fonction de la profondeur des dommages. Les brûlures au premier degré touchent la couche cutanée externe, appelée épiderme. Ces brûlures se caractérisent généralement par l'apparition d'une rougeur, une sensibilité ou des douleurs et une enflure. Il n'y a généralement pas de cloques. La peau se rétablit généralement de façon complète en moins d'une semaine, et peut parfois se desquamer ou présenter temporairement une coloration légèrement différente. Les brûlures au premier degré surviennent souvent après une surexposition aux rayons ultraviolets du soleil ou un contact avec un objet chaud.

Les brûlures au deuxième degré atteignent la deuxième couche de la peau, appelée derme. Ces brûlures sont très douloureuses et la peau est rosâtre, humide et molle. Des cloques apparaissent généralement et du liquide peut suinter de la peau. Selon les dommages au derme, ces brûlures peuvent nécessiter de deux à six semaines pour guérir. Des cicatrices peuvent se produire. Ces brûlures découlent généralement d'une exposition grave aux rayons ultraviolets ou d'un contact avec un liquide chaud. Les brûlures au troisième degré s'attaquent à l'épiderme, au derme et à l'hypoderme, soit la troisième couche de la peau. Ces brûlures endommagent entièrement l'épaisseur de la peau. Les tissus adipeux, les nerfs, les muscles et les os peuvent être atteints. Lorsque la peau subit ce type de dommage, elle présente l'apparence d'une pellicule blanche. La région brûlée n'est généralement pas douloureuse parce que les terminaisons nerveuses ont été endommagées. Comme une surface cutanée importante peut avoir été détruite, le rétablissement est très lent et laisse des cicatrices considérables. Plus tard, des contractures (contractions permanentes des tissus qui empêchent des mouvements normaux) peuvent se produire du fait des cicatrices profondes et, parfois, il peut s'avérer nécessaire de couper ou de « relâcher » des tissus pour soulager la pression sous-jacente. Des brûlures profondes peuvent être provoquées par un contact avec des flammes, un courant électrique ou des produits chimiques corrosifs.

Les brûlures par inhalation peuvent entraîner une inflammation des voies respiratoires et l'incapacité à respirer. Les personnes souffrant de ces blessures doivent être conduites aussi vite que possible à l'hôpital, même si, à l'origine, elles n'ont pas de troubles respiratoires.

Le cancer de la plèvre est essentiellement lié à l’inhalation de fibres d’amiante. Le mésothéliome pleural touche principalement les hommes de plus de 50 ans.

Le mésothéliome est une forme de cancer rare et virulente qui affecte le revêtement des poumons, le plus souvent la plèvre, de façon moins fréquente le péritoine. La plèvre est constituée de deux feuillets qui entourent les poumons. Elle a pour but d’empêcher le poumon de se rétracter lors de l’expiration de l’air. Schématiquement, le feuillet extérieur (pariétal) adhère à la paroi thoracique, le feuillet intérieur (viscéral) adhère au poumon. L’espace entre les deux permet au feuillet intérieur de rester accolé au feuillet extérieur. Lorsque la plèvre est le siège d’une inflammation, on parle de pleurésie avec un épanchement qui se constitue entre les deux feuillets. En cas de gêne respiratoire, une ponction d’évacuation pourra être réalisée. L’origine peut être infectieuse ( tuberculose, maladie virale) ou inflammatoire ( polyarthrite rhumatoïde…) ou signaler un cancer de la plèvre, le plus souvent un mésothéliome. Notons cependant qu’il existe aussi des cancers secondaires de la plèvre (des métastases pleurales), issus d’un premier cancer broncho-pulmonaire, voire d'un cancer du sein.

Le cancer de l’estomac est une tumeur qui entraîne peu de symptômes. Des douleurs épigastriques (dans la région de l’estomac) et un amaigrissement progressif sont les signes les plus fréquents. Toutefois, ces symptômes ne sont pas spécifiques à cette maladie. Lorsqu’elle est plus évoluée, la tumeur peut engendrer d’autres signes : des vomissements, une hémorragie et donc une anémie … La perforation de l’estomac est une complication possible qui peut révéler la maladie. La localisation de la tumeur peut aussi être responsable de symptômes spécifiques : un cancer du cardia peut entraîner une gêne à la déglutition (dysphagie), tandis que le cancer du pylore peut engendrer un rétrécissement local responsable de douleurs et de vomissements.

Le cancer des os prend naissance dans les cellules des os ou du cartilage. On l’appelle aussi cancer primitif des os. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir et détruire le tissu voisin. Elle peut aussi se propager (métastases) à d’autres parties du corps.

Un os est constitué de 3 types de cellules. Les ostéoblastes fabriquent les nouveaux os. Les ostéoclastes désintègrent les vieux os et s'en débarrassent. Les ostéocytes transportent les éléments nutritifs du sang vers les os, et les déchets loin des os. Un os est un tissu très actif. Les os sont constamment remodelés, c’est-à-dire que le vieux tissu osseux est remplacé par un nouveau tissu osseux. Certaines hormones, des minéraux et des cellules osseuses jouent un rôle dans le processus de remodelage des os. Les os réagissent aux changements du taux de calcium sanguin ainsi qu’à la gravité et à la traction des muscles sur le squelette.

Le cancer primitif des os entraîne principalement des douleurs osseuses, mais peut aussi causer des fractures pathologiques sur un os abimé par la tumeur et, parfois, une tuméfaction douloureuse. Lors des métastases osseuses, les symptômes sont également des douleurs et parfois des fractures pathologiques, mais aussi une hypercalcémie (c'est-à-dire une augmentation du taux de calcium) ou encore une compressions médullaires métastasique sur une artère, qui risque de comprimer la moelle épinière et entraîner une paralysie des membres inférieurs.

La leucémie est un cancer des tissus responsables de la formation du sang, c’est-à-dire des cellules sanguines immatures se trouvant dans la moelle osseuse (= matière molle et spongieuse située au centre de la plupart des os). La maladie débute habituellement par une anomalie dans la formation des cellules sanguines de la moelle osseuse. Les cellules anormales (ou cellules leucémiques) se multiplient et deviennent plus nombreuses que les cellules normales, empêchant ainsi leur fonctionnement adéquat.

La leucémie aiguë : Les cellules sanguines anormales sont immatures (= des blastes). Elles n’accomplissent pas leur fonction normale et se multiplient rapidement de sorte que la maladie évolue rapidement aussi. Le traitement doit être agressif et appliqué le plus tôt possible. La leucémie chronique : Les cellules impliquées sont plus matures. Elles se multiplient plus lentement et demeurent fonctionnelles pour un certain temps. Certaines formes de leucémies peuvent passer inaperçues durant plusieurs années. La leucémie myéloïde Elle affecte les granulocytes et les cellules souches sanguines présentes dans la moelle osseuse. Elles fabriquent des globules blancs (myéloblastes) anormaux. On retrouve deux types de leucémie myéloïde : La leucémie myéloïde aiguë (LMA) Cette forme de leucémie débute de manière soudaine, souvent en quelques jours ou quelques semaines. La LMA est la forme la plus répandue de leucémie aiguë chez les adolescents et les jeunes adultes. La LMA peut se déclarer à tout âge, mais est plus susceptible de se développer chez les adultes de 60 ans et plus. La leucémie myéloïde chronique (LMC) La leucémie myélogène chronique est aussi appelée leucémie myélocytaire chronique ou leucémie granuleuse chronique. Ce type de leucémie se développe lentement, au fil des mois ou même des années. Les symptômes de la maladie se manifestent à mesure que la quantité de cellules leucémiques dans le sang ou de la moelle osseuse augmente. C’est la forme de leucémie chronique la plus commune chez l’adulte entre 25 et 60 ans. Elle ne nécessite parfois aucun traitement durant plusieurs années.

- fièvre qui peut être inflammatoire (fièvre spécifique) ou en rapport avec une infection favorisée par la neutropénie ; - baisse du nombre de globules blancs et en particulier des polynucléaires neutrophiles (neutropénie), à l'origine d'infections graves à répétition, comme une angine grave, une pneumonie, une septicémie… ; dans certaines formes de leucémie il peut y avoir une augmentation très importante du nombre de globules blancs (on parle de formes hyper-leucocytaires si les globules blancs dépassent 100 000/mm3) du fait du passage des cellules leucémiques dans le sang : la proportion de blastes au sein des globules blancs est alors supérieure à 90 % ; - baisse des plaquettes (thrombopénie) responsable de manifestations hémorragiques : hémorragies des gencives, des muqueuses, des tissus sous-cutanés… Ce risque hémorragique est surtout important si les plaquettes sont inférieures à 20 000/mm3. Le risque hémorragique peut être très augmenté en cas de complications de l'hémostase associées au processus leucémique : coagulation intra-vasculaire disséminée (CIVD) ou fibrinolyse ; - diminution du nombre de globules rouges, entraînant une anémie, accompagnée de pâleur et de palpitation ; - envahissement par les blastes (précurseurs des globules blancs) des os (douleurs osseuses de rythme inflammatoire) et de certains organes comme les ganglions (présence d'adénopathies), le foie (hépatomégalie), la rate (splénomégalie), les testicules, le système nerveux (atteinte des paires crâniennes, paralysie faciale en premier lieu, syndrome méningé, céphalées, troubles de conscience) ou la peau, entraînant l'apparition de leucémides (localisations spécifiques). - douleur articulaire, pouvant se transformer en luxation articulaires, souvent Luxation temporo-mandibulaire ou Luxation acromio-claviculaire

Des épisodes prolongés de diarrhée ou de constipation, des ballonnements, douleurs abdominales, une fatigue inexpliquée, une perte de poids et la présence de sang dans les selles, doivent amener à consulter son généraliste. Ils ne sont pas spécifiques au cancer du côlon, mais le médecin s’en assurera en prescrivant une coloscopie, qui consiste à introduire une sonde via l’anus pour examiner tout le côlon ainsi que le rectum, à la recherche de polypes. Souvent pratiquée sous anesthésie générale, elle nécessite une préparation assez contraignante: suivre un régime sans fibre et boire deux fois deux litres d’un liquide laxatif salé pour nettoyer complètement le côlon.

L’état de choc anaphylactique implique une insuffisance circulatoire aiguë, secondaire à une réaction allergique systémique, immunologique ou non, et mettant en jeu le pronostic vital. La prévalence de l’anaphylaxie dans la population générale est évaluée à 0,05-2%, mais elle reste sous-estimée en raison de manifestations cliniques parfois atypiques. Les étiologies retrouvées varient en fonction de la zone géographique et de l’âge des personnes exposées. La prise en charge pré et intrahospitalière d’une anaphylaxie est dominée par l’administration immédiate d’adrénaline IM. La prévention repose sur l’identification et l’éviction de l’allergène. L’éducation du patient est importante, en particulier à l’utilisation des auto-injecteurs d’adrénaline.

Les différents acteurs et médiateurs de l’allergie et de l’inflammation sont à l’origine d’une vasodilatation généralisée (hypovolémie relative) et d’une augmentation importante de la perméabilité capillaire, induisant une fuite du liquide plasmatique vers l’interstitium (hypovolémie vraie). Le tout aboutit à une hypovolémie mixte à l’origine d’une diminution du retour veineux et donc de la précharge.

Le syndrome de Kounis est une forme particulière d’anaphylaxie impliquant la vascularisation coronarienne et myocardique, à l’origine du syndrome de «l’angine de poitrine allergique», pouvant évoluer jusqu’à «l’infarctus du myocarde allergique».

Il ne s'agit pas d'une maladie à proprement parler mais d'un "syndrome" c'est à dire d'un ensemble de manifestations liées à une inflammation du côlon. Cette inflammation peut avoir des causes nombreuses et très différentes, que ce soit au niveau du mode de survenue, des lésions coliques responsables de l’inflammation, des traitements, de l'évolution et du devenir de la colite.

- La colite spasmodique, mieux connue sous les termes de "syndrome du côlon irritable" ou de colopathie fonctionnelle. deux grandes "Maladies Inflammatoires Chroniques Intestinales" (ou MICI) comme la RCH (RectoColite Hémorragique ou colite ulcéreuse) ou la maladie de Crohn ont une origine plus mal connue. Elles peuvent se manifester par une colite aiguë au cours d'une poussée de la maladie.

Toutes les colites se manifestent par des troubles du transit (diarrhée ou constipation), des douleurs abdominales, plus ou moins importantes, permanentes ou non, souvent un ballonnement (météorisme abdominal). Selon la cause, elles peuvent s'accompagner d'une atteinte de l'état général, fièvre, perte de poids, fatigue ou de manifestations extra-digestives.

Recherchez une maladie Grippe, cancer du sein ou Diabète Colite - Inflammation La colite désigne une inflammation de la muqueuse du gros intestin et se traduit par différents troubles intestinaux. SOMMAIRE Définition Causes Symptômes Conseils de prévention Définition La colite correspond à une inflammation de la muqueuse du gros intestin (côlon) et se traduit par différents troubles intestinaux. Elle se manifeste, entre autres, par une diarrhée et par des douleurs abdominales. Différents types de colite Il existe plusieurs types de colite. Parmi eux, on distingue : la colite aiguë ; la colite chronique ; certaines colites peuvent se manifester chez des personnes à tendance anxieuse ou stressée (colite spasmodique ou syndrome du côlon irritable). Selon leur cause, la colite est de gravité variable. Cause(s) La colite aiguë a des origines assez diverses : des médicaments (antibiotiques, laxatifs…) ; une bactérie, un virus, un parasite… l’utilisation de rayons comme traitement ; la diminution de l’arrivée de sang au niveau de la paroi intestinale. Les autres causes de la colite La colite chronique peut être liée à : une maladie inflammatoire (maladie de Crohn, rectocolite hémorragique…) ; une maladie auto-immune (l’organisme se retourne contre lui-même en produisant des anticorps contre ses propres organes) ; une maladie infectieuse ; le stress et l’anxiété. Symptôme(s) Les colites aiguës et chroniques se manifestent généralement par : des épisodes de diarrhée et de constipation ; des ballonnements (augmentation de volume de l’abdomen) ; des douleurs abdominales locales ou généralisées ; une difficulté à évacuer les selles ou, inversement, une envie constante d’aller à la selle ; quelquefois, la présence de sang dans les selles ; une fièvre ; parfois, une anémie (lors de la maladie de Crohn) ; une fatigue.

La colopathie fonctionnelle, également appelée syndrome du côlon irritable, est un trouble de fonctionnement du côlon. Le côlon, nommé aussi gros intestin, est une partie de l'intestin située entre l'intestin grêle et le rectum. Il termine la digestion des aliments, débutée dans l'intestin grêle, et participe à la formation et l'évacuation des selles. Due à une hypersensibilité du côlon, le syndrome du côlon irritable est à l'origine de douleurs dans le ventre, de constipation, de diarrhée ou de ballonnements. Bien que bénigne, elle peut se manifester de façon chronique entraînant une altération de la qualité de vie.

Les recommandations alimentaires pour les personnes atteintes du syndrome du côlon irritable visent à diminuer l’hyperstimulation et l’hyperdistension (gonflements importants) des intestins qui provoquent les inconforts. Les fibres Les fibres solubles, comme la pectine, sont contenues dans les fruits et participent aux phénomènes de digestion. Elles sont douces pour l’intestin car elles se transforment en gel lors de la digestion et ainsi n’augmentent pas l’irritation, à la différence des fibres insolubles. De plus, les fibres solubles sont transformées en acides gras à chaînes courtes, des composés qui stimulent la réabsorption de l’eau et du sodium dans le côlon, ce qui diminue les selles molles. On trouve les fibres solubles dans l’avoine, l'orge, les fruits, les légumes frais et les légumes secs (haricots, lentilles, pois chiches). Ainsi, il est recommandé de consommer des fibres solubles à tous les repas et à toutes les collations afin de garantir le mouvement normal de l’intestin. Par ailleurs, il faut diminuer les fibres insolubles, surtout celles provenant du blé entier, car elles peuvent être irritantes et accentuer la diarrhée ou les selles molles. Les matières grasses Les matières grasses stimulent fortement les mouvements appelés « réflexes gastro-coliques » de l'intestin. Il est donc préférable de réduire la consommation d'aliments riches en matières grasses comme la crème, les fromages à pâte molle, les pâtisseries et les biscuits, les frites, la mayonnaise etc. Les aliments qui fermentent Les glucides subissent un processus de fermentation acide qui s’accompagne d’un dégagement de gaz qui vont créer des mouvements de l’intestin. Il est donc important de limiter la consommation et notamment celle des choux (brocoli, chou, navet, chou de Bruxelles, chou-fleur). Les aliments irritants Les légumes crus sont plus irritants que les légumes cuits. En effet la cuisson permet d’attendrir les fibres qu’ils contiennent. D’autre part, les aliments acides sont aussi irritants. Il s’agit du café, du thé, de l’alcool, des agrumes, de la tomate et du chocolat. Enfin, les épices sont à limiter.

Les condylomes génitaux, aussi appelés verrues génitales, sont des infections transmissibles sexuellement (ITS) assez courantes. Ils sont dus aux papillomavirus humains (VPH). Les condylomes se manifestent sous la forme de petites verrues au niveau des organes génitaux.

Localisation : Les condylomes se manifestent généralement sous la forme de petites verrues sur les organes génitaux externes, soit la vulve, le pénis ou le scrotum. Les condylomes peuvent parfois être retrouvés dans le vagin, sur le col de l’utérus, dans l’urètre ou dans la région de l’anus. Plus rarement, ils peuvent se développer dans la bouche. Les condylomes n’atteignent généralement pas les cuisses. - Aspect : Les condylomes forment habituellement des excroissances rappelant la texture du chou-fleur. Parfois, les verrues génitales seront plates ou légèrement surélevées. Leur taille est généralement de quelques millimètres, mais des lésions plus grandes sont possibles, et parfois ces lésions peuvent être très nombreuses. Elles peuvent aussi avoir un aspect acuminé et ressembler à une crête de coq, très en relief. Les verrues génitales sont de coloration similaire à la peau, mais elles peuvent également être roses, blanches, grises ou brunes. - Des démangeaisons peuvent être déclenchées par les condylomes. - Une gêne, une honte, une souffrance morale peuvent accompagner ces condylomes, particulièrement lorsqu’ils sont très visibles, et cela peut retarder la consultation chez un médecin. Chez la femme: Des verrues sur la vulve, les parois vaginales, le col utérin, le périnée, le méat urétral (ouverture pour uriner) et autour de l’anus; Des saignements lors des rapports sexuels; Des démangeaisons ou de l’inconfort. Chez l’homme: Des verrues sur le gland, le frein, le prépuce, l’orifice urinaire et autour de l’anus.

Le coup du lapin est un traumatisme du rachis cervical, qui peut être dû au mouvement de la tête ou à un coup porté. Ce terme vient d’une pratique que consistait à tuer le lapin par un coup direct derrière la nuque qui produit un traumatisme en hyperextension avec une fracture ou une luxation haute du rachis cervical entraînant des troubles neurologiques et la mort par lésion du bulbe rachidien.

La maladie de Creutzfeldt-Jakob (MCJ) est une dégénérescence du système nerveux central caractérisée par l'accumulation d'un prion (forme anormale d'une protéine qui peut transmettre la maladie). La période d'incubation se compte en années, voire en décennies avant qu'apparaissent des troubles de l'équilibre et de la sensibilité, puis une démence.

Les symptômes sont d'installation relativement rapide (généralement quelques semaines), les signes suivants à des degrés variables de présence incluent : Syndrome pyramidal Déficit cognitif et/ou des troubles psychiatriques (dans de rares cas extrêmes, démence) Troubles visuels Syndrome cérébelleux Mouvements anormaux involontaires Dans un cas, l'hyperacousie a été la première manifestation de la maladie

La cruralgie est une douleur intense située dans la jambe. Près du nerf sciatique, dans les cas les plus graves, elle peut provoquer une paralysie, surtout autour du genou et du pied.

La cruralgie est une douleur intense dès le début de la cuisse et le long du nerf fémoral. Elle part des racines lombaires (L4, L3 ou L2), contourne la moelle épinière et se déplace le long de la cuisse. Il contrôle la contraction des muscles et la sensibilité de la face antérieure de la jambe et termine dans le pied. Dans certains cas, des parties du corps sont partiellement ou complètement paralysées, comme le genou, le talon ou la pointe des pieds. C'est ce qu'on appelle la cruralgie paralytique. La pression exercée sur le nerf peut également causer des dommages irréversibles.

La cruralgie est une douleur qui se situe dans le territoire crural, c'est-à dire le long du trajet du nerf crural. Elle a pour origine la compression d'une des racines de ce nerf, le plus souvent la racine L4, situé entre la 4ème et la 5ème vertèbres lombaires, mais il peut aussi s'agir de la racine L3 (située entre la 3ème et la 4ème vertèbres lombaires), voire de la racine L2.

Une céphalée, appelée familièrement mal de tête, est une douleur locale ressentie au niveau de la boîte crânienne ou parfois de la nuque. Cette douleur peut être latérale, souvent unilatérale, ou bien diffuse et généralisée. Elle se manifeste de façon très variée par des sensations d'oppression ou de compression, de martèlement, enfoncement, brûlure, picotement, fourmillement, écrasement ; ainsi qu'une super-sensibilité au bruit et à la lumière.

Elles concernent : Une affection ORL ( sinusite) ; Une affection stomatologique ; Une affection ophtalmologique ( glaucome) ; Un traumatisme crânien ou des plaies de la face ou du cuir chevelu doivent être recherchées. Il existe toujours des signes locaux (au niveau de la zone souffrante) qui orientent vers de telles affections, le plus souvent banales : un mal de tête isolé ou de type migraineux ne doit jamais faire penser d'emblée à une cause locale et mérite, avant toute consultation chez un spécialiste ou un examen complémentaire, un examen médical auprès du médecin généraliste. L'ARTÉRITE TEMPORALE (MALADIE DE HORTON) Elle touche les personnes âgées qui se plaignent de céphalées. L'artère temporale est visible, douloureuse, dure et augmentée de volume. L'état général est altéré, et des douleurs articulaires aux épaules et hanches sont souvent associés (douleurs des ceintures), voire des signes ophtalmologiques (réduction du champ visuel voire perte complète de la vision d'un oeil) en cas de complications.

Le delirium tremens est un trouble neurologique sévère, lié au syndrome de sevrage alcoolique. Il s'agit d'un état d'agitation avec fièvre, tremblements, onirisme et trouble de la conscience, propre à l'intoxication alcoolique. Le delirium tremens survient uniquement chez les alcooliques au cours d'un sevrage d'alcool non contrôlé par un traitement efficace du sevrage. Les benzodiazépines servent habituellement de traitement contre ce type de trouble neurologique.

Le delirium tremens est une conséquence neurologique grave du sevrage alcoolique, c’est-à-dire de l’arrêt brutal ou de la diminution drastique d'une consommation excessive et prolongée d’alcool. Cette complication se traduit essentiellement par un état confusionnel et délirant. Le delirium tremens nécessite une prise en charge médicale rapide et adaptée car il peut mettre en jeu le pronostic vital.

Le delirium tremens présente les symptômes typiques du sevrage comme : - des nausées et/ou vomissements ; - une modification des paramètres vitaux avec une hypertension, une tachycardie, une hyperthermie ; - des tremblements ; - de l’agitation et une hyperexcitation. Le delirium tremens se traduit également par des symptômes plus spécifiques : - un délire hallucinatoire avec une adhésion totale de la personne concernée, se traduisant par des hallucinations visuelles avec des scénarios terrifiants, des hallucinations auditives et cénesthésiques, etc. ; - une confusion mentale avec des désorientations spatio-temporelles, des amnésies post-confusionnelles, etc. ; - des signes neurologiques avec un tremblement intense et généralisée du corps, des troubles de l’équilibre et parfois des crises convulsives. Le delirium tremens apparaît généralement 48 à 72 heures après le début du sevrage alcoolique. Cet état peut durer entre 5 jours à 2 semaines selon les cas et la prise en charge.

La dent de sagesse est le nom donné chez l'être humain à la troisième molaire, la dernière située à l'arrière de l'arcade dentaire. Son éruption se fait généralement entre 16 et 25 ans, bien qu'elle puisse être inconstante. Un adulte en possède quatre, mais certaines personnes peuvent en posséder moins, ou même plus.

Souvent elle est formée, mais ne peut faire totalement son éruption en bouche. Cela est dû : soit à un manque de place. La dent de sagesse se situe souvent au niveau de la branche montante de la mandibule, elle est donc partiellement ou totalement bloquée ; soit car son axe d'éruption n'est pas correct. Les dents de sagesse ont souvent des axes d'éruption fantaisistes, et des formes très variables. Lorsque la dent bute sur le collet de la deuxième molaire, elle est bloquée dans son extériorisation. On dit qu'elle est « enclavée ». La dent est dite « incluse » lorsqu'elle est entièrement recouverte par l'os et la gencive, au niveau de la face postérieure de la racine de la deuxième molaire. Entre 15 et 25 % des dents de sagesse mandibulaires sont incluses ou enclavées.

Une dermatite (parfois appelée eczéma) est une inflammation des couches superficielles de la peau caractérisée par des démangeaisons, des cloques, une rougeur, un œdème et souvent un suintement, des croûtes et une desquamation.

La dermatite atopique, aussi appelée eczéma atopique, est une maladie chronique inflammatoire de la peau. Elle se développe préférentiellement chez le nourrisson et l’enfant, mais peut persister voir apparaître parfois chez l’adolescent et l’adulte. Elle est caractérisée par une sècheresse cutanée associée à des lésions de type eczéma (rougeurs et démangeaisons, vésicules, suintement et croûtes) qui évoluent par poussées.

Contrairement à l’eczéma de contact, cette dermatite ne survient pas lorsque l’enfant touche une substance précise. Une prédisposition génétique est vraisemblablement à l’origine d’une altération de la barrière cutanée des patients, causant sécheresse et sensibilité accrue aux agressions. Cette altération de la structure de la peau va en outre permettre aux allergènes de l'environnement (pollens, poussières, savons…) de pénétrer dans l'épiderme et de stimuler le système immunitaire. Ce dernier va réagir de façon excessive à ce qu'il considère comme une agression, déclenchant l'eczéma : rougeurs, démangeaisons, inflammations et suintements.

La diphtérie est une maladie infectieuse contagieuse due à Corynebacterium diphtheriae ou bacille de Löffler-Klebs, susceptible de produire une toxine touchant d'abord les voies respiratoires supérieures, puis le cœur et le système nerveux périphérique.

Le réservoir de C. diphteriae est purement humain. Le bacille reste habituellement localisé dans les voies aériennes supérieures (gorge). En milieu extérieur, où elle peut persister plusieurs mois, la bactérie est résistante au froid et à la sècheresse. Dans les pays tempérés, il s'agit d'une maladie saisonnière, le plus souvent en saison froide. La diffusion du germe se fait à partir des malades (en l'absence de traitement, durant 2 semaines environ). Dans la plupart des cas, la transmission à des sujets sensibles n'entraine qu'un portage pharyngé transitoire. Il existe ainsi des porteurs sains, porteurs possibles durant quelques semaines à plusieurs mois. La transmission est le plus souvent directe par le biais des sécrétions rhinopharyngées (postillons, toux, éternuement). Plus rarement la porte d'entrée oculaire ou auriculaire, ou encore par plaie ou lésion cutanée infectée (diphtéries cutanées). Très rarement par contact indirect avec des objets souillés par des sécrétions de malades, voire par aliments contaminés, Les diphtéries cutanées sont rares dans les pays tempérés (situation d'hygiène précaire, éthylisme, toxicomanie...), mais fréquentes et très contagieuses, durant toute l'année, dans des pays tropicaux. C. ulcerans se transmet classiquement par le lait cru, les contacts avec les bovins et les animaux de compagnie. Des contacts avec des chats ou des chiens ont été décrits. La transmission interhumaine n’a pas été documentée.

La diphtérie cutanée se distingue par la présence des fausses membranes sur une plaie ou une ulcération cutanée préexistante, souvent surinfectée par staphylocoques et streptocoques. Elle représente un mode de diffusion important dans l’entourage d’un cas, car souvent méconnue et de diagnostic tardif. La porte d’entrée est souvent une plaie, une piqûre d’insecte, un ulcère cutané. La lésion évolue typiquement vers une ulcération ronde douloureuse, à bordure indurée, violacée parfois recouverte d’une croûte grisâtre, voire de fausses membranes. La guérison spontanée est longue (plusieurs semaines). Les complications toxiniques sont identiques mais moins fréquentes que dans les atteintes respiratoires.

La diphtérie est une maladie qui peut être : Cutanée plus fréquente et d'une gravité moindre ; Respiratoire qui induit une paralysie du système nerveux central, ou du diaphragme et de la gorge qui précède la mort par asphyxie ;

Les signes de débuts sont banals : Un coryza qui se traduit par un rhume ; Une légère fièvre ; Une gorge vaguement rouge. Quelques heures plus tard apparaît l'angine à fausses membranes. C'est ce qui permet le diagnostic. Le médecin voit sur une amygdale un enduit blanc à limites nettes qui déborde vers le haut et s'effile le long du bord libre du voile du palais. Le patient est pâle, fatigué, la fièvre reste entre 38° et 39°C, on palpe des ganglions cervicaux bilatéraux. Spontanément, la fausse membrane s'étend progressivement à la luette et au fond du pharynx. L'extension au larynx provoque le "croup". La toxine entraîne des paralysies : De la déglutition (paralysie vélo-palatine) ; Oculaires ; Du diaphragme puis des membres. Sous l'influence du traitement, l'évolution est rapidement arrêtée, les fausses membranes se décollent et la gorge retrouve un aspect normal en 48 heures.

L'angine diphtérique maligne est une forme particulière qui débute brutalement par une fièvre élevée et une altération de l'état général avec pâleur et prostration. On la repère par : Une odeur fétide de l'angine ; Un cou déformé par des ganglions bilatéraux, volumineux, douloureux (" cou proconsulaire ") ; Un oedème de la gorge volumineux ; Des fausses membranes larges et hémorragiques ; Un coryza sanglant associé à l'angine. Les signes toxiques sont au premier plan : Asthénie majeure ; Pouls petit, rapide, filant ; Bruits du coeur assourdis ; Chute de la tension artérielle ; Hémorragies profuses ; Oligurie, soit la diminution de la quantité de la production d'urine ; Présence d' albuminurie (une protéine) dans les urines ; Elévation de l'urée sanguine. L'évolution est fatale le plus souvent malgré les traitements. Le croup correspond à la localisation laryngée qui succède à l'angine. Le patient présente une dysphonie et une toux aboyante. L'association toux rauque + voix éteinte doit faire évoquer la diphtérie.

La dystonie est une maladie neurologique . Elle reflète un mauvais contrôle des mouvements par le cerveau. Notre cerveau décide de chaque geste. Lorsqu’il envoie des signaux erronés à une partie du corps, elle adopte un mauvais geste. Les personnes atteintes de dystonie souffrent de contractions involontaires des muscles. Elles se traduisent par des postures anormales, des torsions et des mouvements anormaux.

Les dystonies les plus fréquentes sont : la dystonie cervicale (ou torticolis spasmodique), la crampe de l’écrivain, le blépharospasme, la dystonie oro-mandibulaire et la dystonie laryngée. Chaque dystonie est différente, mais un ensemble de critères permet de les classer en trois grandes catégories : les formes primaires, secondaires et génétiques. Selon les cas et les moments, la dystonie peut être très handicapante et douloureuse et perturber les mouvements du quotidien.

La dystonie cervicale ou torticolis spasmodique: La dystonie cervicale est caractérisée par une attitude anormale de la tête. Cette anomalie peut être intermittente ou permanente. Elle est localisée au niveau des muscles du cou et des épaules. Son intensité varie en fonction de l’état de tension musculaire, de la position adoptée (au repos, debout ou en mouvement). Le blépharospasme: Il présente la deuxième forme la plus fréquente des dystonies focales chez les adultes. Cette dystonie est une affection consistant en des contractions involontaires des muscles des paupières entraînant la fermeture répétitive et incontrôlable de celles-ci. La dysphonie spasmodique ou dysphonie laryngée: La dysphonie spasmodique est une contracture involontaire au niveau du muscle des cordes vocales. Ces contractions causent une perturbation de la voix qui va s’érailler et devenir rauque lorsque les muscles du larynx se rapprochent trop. Dans d’autres cas, les cordes vocales s’éloignent et la personne ne peut que murmurer, voire être complètement aphone.

La crampe de l’écrivain: La crampe de l’écrivain se manifeste par une contraction incontrôlable des muscles de la main, des doigts ou de l’avant-bras. Elle peut être une dystonie focale ou secondaire. En cas de crampe de l’écrivain simple, les manifestations apparaissent lors d’une tâche spécifique comme par exemple l’écriture. Celle-ci se traduit par une mauvaise position lors de l’écriture qui sera rendue très difficile, voire impossible. Lorsque l’action s’arrête, les muscles se relâchent. La crampe du musicien: La crampe du musicien est caractérisée par un trouble de la coordination manuelle qui peut survenir au cours d’un geste professionnel, répétitif et technique. Elle va occasionner un dérèglement de la coordination et une perte de rapidité, voire un blocage d’un ou plusieurs doigts d’une main au cours du geste technique. La dystonie oro-mandibulaire: La dystonie oro-mandibulaire se caractérise par des contractions du visage, de la mâchoire, et/ou de la langue provoquant des difficultés à ouvrir et fermer la bouche et qui touchent souvent la mastication et la parole. La dystonie oro-mandibulaire peut être primaire ou secondaire.

Le décollement de la rétine correspond au décollement d'une partie de la surface de la rétine de son support (l'épithélium pigmentaire). Un liquide s'interpose entre ces deux feuillets et forme une petite poche liquide située sous la rétine. Le décollement de rétine est une affection grave sur le plan fonctionnel. Non traité, il peut aboutir à la perte de la fonction visuelle et donc à la cécité. Il est un cas d'urgence chirurgicale.

La rétine est l’organe neurosensoriel de l’œil. C’est une membrane fine de 0.5 mm d’épaisseur qui tapisse le fond du globe oculaire. Elle est composée de deux feuillets, un externe et un interne. Le feuillet interne ou neuroépithélium est tapissé de cellules nommées photorécepteurs (cônes et bâtonnets) qui permettent de capter la lumière, les couleurs. Le feuillet externe ou épithélium pigmentaire sert à la nutrition et au support du feuillet interne. La rétine joue un rôle dans la transformation de l’information lumineuse en information électrique qui sera ensuite envoyée au cerveau via le nerf optique. Ces informations captées par les photorécepteurs sont dirigées vers le système visuel cérébral qui va ensuite reconstituer l’image à partir d’influx nerveux, nous permettant de voir.

L’apparition d’un décollement de rétine est le plus souvent soudain et indolore. L’œil est blanc et le patient ne ressent aucune douleur de l’œil. De plus, la maladie ne touche qu’un seul œil. Les signes alertant sur un décollement de rétine sont : L’apparition d’un voile noir sur l’ensemble ou une partie du champ visuel de l’œil concerné ; L’apparition dans le champ visuel d’un éclair lumineux, souvent bleuté. Il est fixe, toujours au même endroit, y compris lorsque les yeux sont fermés ; Des déformations de l’image : les lignes droites deviennent courbées ; Une vision floue ou embuée, sensation de brouillard ; L’atteinte ne concerne qu’un seul œil. En cas d’apparition soudaine de n’importe quel signe diminuant brusquement le champ visuel ou la vision, il est conseillé de consulter le plus rapidement possible un ophtalmologiste.

La démence n'est pas une maladie spécifique mais plutôt un terme général utilisé pour décrire un déclin graduel des capacités mentales. Elle influe sur les capacités intellectuelles et sociales au point de rendre difficile la vie quotidienne. La démence peut modifier la mémoire, les compétences linguistique, la capacité de jugement et à prendre des décisions, entraîner un état de désorientation et transformer la personnalité. La démence peut être causée par différentes maladies affectant le cerveau, la plus fréquente étant la maladie d'Alzheimer. Parmi les autres maladies ayant une influence sur le cerveau, on retrouve la démence vasculaire, la démence à corps de Lewy, la démence frontotemporale et la démence mixte. Les types de démence diffèrent en fonction de causes plus profondes et peuvent influencer les certains symptômes spécifiques ainsi que leur progression.

Un grand nombre d'entre nous commettent des étourderies. Nous oublions parfois où nous avons laissé nos clés de voiture, ou nous racontons de nouveau la même histoire à un ami ou à un membre de la famille. Ces comportements s'expliquent généralement par une surcharge d'information due à une vie active et stressante, et ne sont pas nécessairement des signes de démence. À mesure que les gens vieillissent, leur mémoire fonctionne parfois différemment. Il arrive, par exemple, qu'elle traite plus lentement l'information qui lui parvient. Ce type de changement est normal et n'interfère pas avec la vie quotidienne. La démence est au contraire invalidante, et n'est pas attribuable au processus normal de vieillissement. Même si la démence se manifeste différemment chez chaque personne, on compte parmi les symptômes les plus fréquents : une perte graduelle de la mémoire des événements récents, et l'incapacité d'apprendre de nouvelles choses; une tendance accrue à se répéter, à perdre des objets, à manifester de la confusion et à se perdre dans des endroits familiers; une désintégration du jugement et des capacités de raisonnement; une propension accrue à l'irritabilité, à l'anxiété, à la dépression, à la confusion et à l'agitation; des difficultés croissantes à communiquer et à manier la langue (par ex. en oubliant des mots ou en les utilisant de manière incorrecte); des changements de la personnalité, du comportement ou des sautés d'humeurs; une diminution de la capacité à se concentrer ou à rester attentif; une incapacité à planifier et à effectuer des tâches en plusieurs étapes (par ex. payer ses factures); Avant qu'une personne ne soit diagnostiquée comme atteinte de démence, ses symptômes doivent être sévères au point d'affecter son indépendance et sa capacité à effectuer des tâches de la vie quotidienne.

la déshydratation concerne les jeunes enfants et les personnes âgées. Par ailleurs, ce sont les pays en développement les plus impactés. Diarrhées, vomissements, bouche sèche sont autant de signes visibles de la déshydratation.

C'est un déséquilibre entre les apports et les pertes hydriques. L'eau de l'organisme n'est pas la seule perturbée. Bien souvent, les sels minéraux le sont également, notamment parce lorsqu'on transpire ( fièvre, activité intense, canicule, etc.), que l'on vomit ou que l'on est sujet aux diarrhées, on perd à la fois de l'eau et des minéraux comme le sodium et le potassium. La déshydratation est parfois désignée sous le terme " d'insolation" lorsqu'elle fait suite à une exposition solaire prolongée, ou de "coup de chaleur" lorsque l'atmosphère chaude ambiante est en cause (voiture non climatisée, chambre sous les combles, etc.). Mais le résultat est le même !

Les facteurs de risque d'une déshydratation sont, bien évidemment, l'insuffisance d'une hydratation quotidienne recommandée (soit environ 1,5 L d'eau par jour). Mais également un état de malnutrition, une consommation d'aliments et/ou d'eau contaminés par des bactéries ou des virus pouvant causer des diarrhées.

Au début, ce peut être une simple soif. Mais comme les bébés sont incapables de s'exprimer autrement que par des pleurs - pas toujours bien interprétés ! - et que les personnes âgées ne ressentent plus la soif, le risque est grand de passer à côté et de laisser évoluer la déshydratation. Dans ce cas, d'autres signes d'alertes viennent s'y ajouter... Si la déshydratation n'est pas rapidement corrigée, la sensation de soif devient intense, la production de sueurs et d'urines diminue (des urines très concentrées doivent attirer l'attention) et d'autres symptômes comme une fièvre (parfois élevée), un pouls accéléré, des maux de tête, des vertiges dus à une baisse de la tension artérielle, des nausées et des vomissements, surviennent. En l'absence de réhydratation, la déshydratation peut vite devenir inquiétante : les cellules cérébrales étant particulièrement sensibles à la déshydratation, une confusion, des convulsions et des troubles de la conscience peuvent apparaître ; S'y ajoutent les symptômes de l'affection qui a causé cette déshydratation : par exemple, s'il s'agit d'une turista , les diarrhées et les douleurs abdominales sont fréquentes. En cas de maladie infantile, il peut s'agir d'une poussée de fièvre suivie d'une éruption, etc.

La lésion est assez reconnaissable car le patient est attiré par un petit cordon situé juste sous la peau faisant des courbes et des boucles, entouré d'une zone traduisant l'inflammation et qui entraîne surtout des démangeaisons locales importantes. Ce trajet visible ne correspond pas en fait au ver lui-même (rendant illusoire toute tentative de le retirer chirurgicalement), mais en fait la réaction allergique inflammatoire que laisse derrière lui le parasite quand il progresse sous la peau.

La larva migrans cutanée provoque un prurit intense; les symptômes sont un érythème et des papules au point d'entrée, suivis d'une traînée sous-cutanée inflammatoire filiforme, sinueuse et érythémateuse. Les patients peuvent également développer des papules et des vésicules ressemblant à la folliculite, appelée folliculite ankylostomienne.

Le sous-type H1N1 du virus de la grippe A fait référence aux types de deux antigènes présents à la surface du virus : l'hémagglutinine de type 1 et la neuraminidase de type 1. Le virus de la grippe A est un virus à ARN monocaténaire de polarité négative à génome segmenté (8 segments) qui appartient au genre Alphainfluenzavirus de la famille des Orthomyxoviridae. Le sous-type H1N1 est caractérisé par un pouvoir pathogène élevé pour l’être humain, qui rend ces souches responsables de près de la moitié de toutes les infections de grippe humaine2, notamment d'une grande fraction des cas de grippe saisonnière. Certaines souches de H1N1 sont endémiques aux humains, tandis que d'autres sont endémiques aux oiseaux (grippe aviaire) et aux porcs (la grippe porcine).

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