360.jpg

Publicité Medicaments

Medi 0

1600.jpg

Publicité Medicaments

Medi 1

image_preview.png

Publicité Medicaments

Medi 2

Banner_Visual_Name_I_27_radiancedentalstudio.jpg

Publicité Medicaments

Ipocrate Medical Center.

IMC

Une équipe de santé disponible pour vou 24h/24

Ipocrate Laboratory Center.

ILC

Besoin d'un examen? Le Laboratoire viens à vous .

Bienvenue sur Ipocrate

Ma Santé, ma seule richesse

Maladies

L'information sur la santé est le debut de la guérison

Cliquer sur le nom d'une Maladie pour avoir plus d'informations

Le chancre mou est une infection sexuellement transmissible (IST) d’origine bactérienne.

Le chancre mou est une MST qui peut toucher les deux sexes. Néanmoins, les conséquences de cette infection sont différentes entre les hommes et les femmes. Le chancre mou chez l’homme est beaucoup plus douloureux que chez la femme. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’elle est plus facilement et plus souvent diagnostiquée chez l’homme que chez la femme.

Le chancre mou se manifeste par une ulcération de la peau avec l’apparition de lésions multiples. Celles-ci peuvent survenir au niveau : -des organes génitaux externes masculins comme le gland, le prépuce ou encore le fourreau ; -des organes génitaux internes féminins tels que le vagin ; -de l’orifice de l’anus.

La cécité est la perte des capacités visuelles, partielle ou totale. L'identification précoce d'une cécité et sa prise en charge rapide, permet de limiter les complications éventuelles.

Toute personne, quelque soit son âge peut se trouver concernée par le développement d'une cécité. Les individus des pays à faible revenu, sont cependant plus touchés par ce phénomène. Les personnes âgées sont plus enclines à développer une telle pathologie. En effet, près de 65 % des personnes témoignant d'une cécité, plus ou moins importante, ont plus de 50 ans. Une cécité identifiée et diagnostiquée avant 15 ans requiert une prise en charge rapide et précoce, afin de limiter toute aggravation de la maladie.

Une cécité partielle peut entraîner le développement de signes cliniques et de symptômes suivants : -une visions floue -des difficultés à identifier les formes -des capacités visuelles réduite dans un environnement sombre -une vision amoindrie la nuit -une sensitivité accrue à la lumière

Le virus du chikungunya (CHIKV) est un virus de type flavivirus, famille de virus comprenant aussi le virus de la dengue, le virus zika, de la fièvre jaune, etc. Les maladies transmises par ces virus sont des arboviroses, ainsi nommées, car ces virus sont des arbovirus , c’est-à-dire qu’ils sont transmis par des arthropodes, insectes suceurs de sang comme les moustiques.

Le CHIKV a été identifié pour la première fois lors d’une épidémie en 1952/1953 sur le plateau de Makondé en Tanzanie. Son nom vient d’ailleurs d’un mot de la langue makondé qui signifie « courbé », en raison de l’attitude penchée en avant qu’adoptent certaines personnes atteintes. Le CHIKV pourrait avoir été responsable d’épidémies de fièvre avec douleurs articulaires bien avant cette date où on l’a identifié.

Cette forme d’anémie survient en conséquence d’un manque de vitamine B12 (cobalamine). La vitamine B12 est essentielle à la formation des globules rouges, notamment. Cette anémie se forme très lentement, après des mois ou des années de carence vitaminique. Les personnes âgées en sont les plus touchées : environ 12 % d’entre elles seraient atteintes d’une carence en cette vitamine, sans qu’il y ait nécessairement d’anémie1. La vitamine B12 s’obtient en consommant des aliments d’origine animale, comme la viande, les oeufs, le poisson et les crustacés. Pour la plupart des gens, la nourriture apporte au corps beaucoup plus de B12 qu’il n’en a besoin. L’excédent est stocké dans le foie. Il est possible de souffrir d’anémie à cause d’un manque de B12 dans l’alimentation, mais c’est peu fréquent. Le plus souvent, l’anémie résulte d’un problème d’absorption de la vitamine.

L’anémie par carence en vitamine B12 s’installe très lentement, de façon insidieuse. Cette anémie se traite toutefois facilement et rapidement. Dès les premiers jours du traitement, les symptômes s’atténuent. En quelques semaines, la carence peut généralement être corrigée. Il est cependant important de traiter ce type d’anémie, car avec les années, des symptômes neurologiques peuvent apparaître (engourdissements et fourmillements dans les extrémités, trouble de la démarche, humeur changeante, dépression, psychose, symptômes de démence, etc.). Ces symptômes sont plus longs à disparaître (parfois 6 mois ou plus). Il arrive qu’il en reste des séquelles. Les personnes atteintes d’anémie pernicieuse sont par ailleurs légèrement plus à risque de tumeur à l’estomac que le reste de la population.

La cardiomyopathie est un terme qui peut désigner différentes maladies affectant le fonctionnement du muscle cardiaque. La cardiomyopathie dilatée et la cardiomyopathie hypertrophiques sont les deux formes les plus fréquentes. Une prise en charge adaptée est nécessaire car elles peuvent engager le pronostic vital.La cardiomyopathie est un terme médical qui regroupe un ensemble de maladies du myocarde. Le fonctionnement du muscle cardiaque est affecté

Les deux cardiomyopathies les plus fréquentes sont : -la cardiomyopathie dilatée qui est caractérisée par une dilatation des cavités du coeur, et en particulier du ventricule gauche : le muscle cardiaque s’affaiblit et n’a plus assez de force pour pomper le sang ; -la cardiomyopathie hypertrophique qui est une maladie génétique caractérisée par un épaississement du muscle cardiaque : le cœur doit travailler plus fort afin de réussir à propulser le même volume de sang. Plus rarement, d’autres types de cardiomyopathies peuvent se manifester : -une cardiomyopathie restrictive avec un muscle cardiaque qui se rigidifie et perd de sa souplesse : les ventricules du coeur ont des difficultés à se relâcher et se remplir correctement de sang ; -une cardiomyopathie arythmogène du ventricule droit qui est caractérisée par -une émission de signaux électriques désordonnés.

Lorsque la cardiomyopathie s’accentue, le fonctionnement du myocarde se retrouve de plus en plus affecté. Le muscle cardiaque s’affaiblit.Plusieurs signes de faiblesses peuvent être constatés : -la fatigue ; -un essoufflement à l’effort, y compris lors d’activités habituelles ; -une pâleur ; -des étourdissements ; -des vertiges ; -des évanouissements. -Palpitations cardiaques Certaines cardiomyopathies peuvent entraîner une arythmie cardiaque. Celle-ci est caractérisée par des battements de cœur anormaux, désordonnés et irréguliers. -Douleur thoracique -Une douleur dans la poitrine, ou douleur thoracique, peut être ressentie. Elle ne doit pas être négligée car elle peut témoigner d’une complication cardiovasculaire. Toute douleur au niveau du thorax nécessite un avis médical. Plusieurs signes doivent alerter : -la douleur est brutale, intense et serre la poitrine ; -la douleur dure plus de cinq minutes et ne disparaît pas au repos ; -la douleur ne cède ni spontanément, ni après la prise de trinitrine chez les personnes traitées pour angine de poitrine ; -la douleur irradie vers la mâchoire, le bras gauche, le dos, le cou ou l’abdomen. -la douleur est plus vive lors de la respiration ; -la douleur s’accompagne d’une fatigue, de faiblesses, d’essoufflements, d’une pâleur, de sueurs, de nausées, d’angoisses, de vertiges, voire d’évanouissements ; -la douleur s’accompagne d’un rythme irrégulier ou rapide.

La carie dentaire est une maladie infectieuse. L'émail de la dent est le premier touché. Une cavité se forme dans la dent puis la carie se propage en profondeur. Si la carie n'est pas soignée, le trou s'agrandit et la carie peut atteindre la dentine (couche sous l'émail). Des douleurs commencent à se faire sentir, notamment avec le chaud, le froid ou le sucré. La carie peut gagner la pulpe de la dent. On parle alors de rage de dents. Enfin, un abcès dentaire peut apparaître lorsque les bactéries attaquent le ligament, l'os ou la gencive.

Les symptômes de la carie dentaire sont très variables et dépendent notamment du stade d'évolution de la carie et de sa localisation. Au tout début, lorsque l'émail est le seul atteint, la carie peut être indolore. Les symptômes les plus fréquents sont : -douleurs dentaires, qui s'accentuent avec le temps ; -dents sensibles ; -douleurs aiguës en mangeant ou en buvant quelque chose de froid, chaud, sucré ; -douleurs en mordant ; -point brun sur la dent ; -pus autour de la dent ;

L’épuisement professionnel est surtout connu sous l’appellation anglaise burnout. il se caractérise par un sentiment de fatigue intense, de perte de contrôle et d’incapacité à aboutir à des résultats concrets au travail.

Burnout ou dépression? Le burnout (ou épuisement professionnel) est nécessairement lié au travail. Dans la dépression, le travail n’est pas la cause première, mais peut être un facteur aggravant. De plus, en cas de burnout, la personne atteinte est toujours en situation de stress chronique, tandis que c’est le cas 1 fois sur 2 pour la dépression. Des différences physiologiques ont aussi été constatées. Par exemple, les gens déprimés produiraient trop de cortisol et ceux qui sont en épuisement professionnel, pas assez.

Du point de vue biologique, les experts ne parviennent pas encore à expliquer complètement ce qui mène à l’épuisement professionnel. Tous les travailleurs qui traversent une période d’épuisement sont en situation de stress chronique. Il s’agit donc d’un important facteur de vulnérabilité. La grande majorité a une charge de travail élevée, à laquelle s’ajoutent l’une ou l’autre des sources de tension suivantes. Manque d’autonomie : ne participer à aucune ou à peu de décisions liées à sa tâche. Déséquilibre entre les efforts fournis et la reconnaissance obtenue de la part de l’employeur ou du supérieur immédiat (salaire, estime, respect, etc.). Faible soutien social : avec le supérieur ou entre les collègues. Communication insuffisante : de la direction aux employés, concernant la vision et l’organisation de l’entreprise. En plus de ces facteurs, des particularités individuelles entrent en jeu. Par exemple, on ne sait pas très bien pourquoi des personnes vivent plus de stress que d’autres. De plus, certaines attitudes (trop grande importance accordée au travail, perfectionnisme) sont plus fréquentes chez les individus qui vivent de l’épuisement professionnel. Selon les recherches, il semble que la faible estime de soi soit un facteur déterminant. En outre, certains contextes de vie, comme de lourdes responsabilités familiales ou encore la solitude, peuvent mettre en péril la conciliation travail-vie personnelle. Peu importe les sources de stress au travail, il se produit un déséquilibre entre la pression subie et les ressources (intérieures et extérieures, perçues ou réelles) dont on dispose pour l’affronter.

On nomme lithiase biliaire, ou cholélithiase, la formation de calculs à l’intérieur de la vésicule biliaire, l’organe qui emmagasine la bile sécrétée par le foie. Les calculs, qu’on appelle parfois des « pierres » ressemblent effectivement à de petits cailloux. Dans la majorité des cas, ils sont composés de cholestérol cristallisé. Des calculs faits de pigments biliaires peuvent aussi se former, surtout en cas de maladie grave au foie ou d’anémie à hématies falciformes.La forme, la taille et le nombre des calculs (il peut y en avoir plusieurs centaines) diffèrent d’un individu à l’autre. Ils peuvent être aussi petits qu’un grain de sable ou gros comme une balle de golf.

La plupart du temps, les calculs n’entraînent aucun symptôme. Cependant, ils peuvent obstruer les conduits qui mènent la bile vers le foie et les intestins. Cela s’appelle une colique biliaire si la crise est passagère. N’arrivant plus à se vider, la vésicule biliaire se met alors à gonfler, ce qui peut provoquer de violentes douleurs. Lorsque les calculs ne causent pas de colique, ils sont parfois découverts au hasard d’une échographie ou d’un examen de tomodensitométrie (scan) de l’abdomen.Mentionnons que l’intensité des symptômes ne dépend pas de la taille des calculs. En effet, de petits calculs peuvent se traduire par d’intenses douleurs, alors que de gros calculs passeront inaperçus. Ils sont parfois trop gros pour sortir de la vésicule et bloquer les canaux.

À quoi sert la vésicule biliaire? La vésicule biliaire est un petit sac en forme de poire mesurant de 7 à 12 cm de long. Elle emmagasine la bile, un liquide jaune verdâtre produit par le foie, qui sert faciliter la digestion des aliments. Durant les repas, la vésicule se contracte et libère la bile, qui circule alors dans le canal cholédoque jusqu’à l’intestin, où elle contribue à la digestion, notamment des corps gras. La vésicule se détend et se remplit de nouveau de bile.

Des calculs peuvent apparaître dans divers organes creux (reins, vessie) ou dans des glandes (vésicule biliaire, glandes salivaires), puis circuler ou se coincer dans les voies excrétrices de ceux-ci. Selon l’endroit où ils se situent, ces calculs seront composés de diverses substances : calcium, phosphate, cholestérol, sucs digestifs ou autres. Les calculs biliaires se forment généralement dans la vésicule biliaire et non dans le foie, car la bile y est plus concentrée.

La colique biliaire Une crise de colique hépatique ou colique biliaire, est due à un calcul de la vésicule qui passe dans les voies biliaires et s’y bloque de manière transitoire, empêchant momentanément la bile de s’écouler. Elle dure en moyenne de 30 minutes à 4 heures. Une durée de plus de 6 heures doit faire craindre une complication. Les douleurs s’estompent lorsque le calcul se déloge spontanément, permettant alors à la bile de s’écouler à nouveau normalement. Une personne qui a souffert d’une crise de colique biliaire risque, dans 70 % des cas, d’en subir d’autres. Si les premières crises sont supportables, elles tendent à s’aggraver lorsque les calculs ne sont pas traités. La plupart des crises surviennent en dehors des repas. Elles peuvent se déclarer à n’importe quelle heure du jour, et le plus souvent il n’existe aucun événement déclencheur. La crise se manifeste après que la vésicule se soit contractée et ait éjecté un calcul pouvant bloquer un conduit biliaire. L’ingestion d’un repas provoque naturellement la contraction de la vésicule, stimulée par la présence des aliments dans le tube digestif. La vésicule se contracte aussi de façon aléatoire et spontanée à tout moment du jour et de la nuit.

L'alopécie est un terme médical pour désigner une perte de cheveux laissant la peau partiellement ou totalement nue. La calvitie, ou alopécie androgénétique, est la forme d’alopécie la plus courante. Elle touche surtout les hommes. La perte de cheveux est un phénomène naturel fortement déterminé par l’hérédité.

Les calculs rénaux, communément appelés « pierres aux reins », sont des cristaux durs qui se forment dans les reins et peuvent entraîner de vives douleurs. Les médecins utilisent le terme lithiase urinaire pour désigner ces cristaux, qui peuvent aussi se retrouver dans le reste de l’appareil urinaire : dans la vessie, l’urètre ou les uretères . Dans près de 90 % des cas, les calculs urinaires se forment à l’intérieur d’un rein. Leur taille est très variable, allant de quelques millimètres à plusieurs centimètres de diamètre. La plupart d’entre eux (80%) s’éliminent spontanément en passant à travers les divers conduits du système urinaire et n’entraînent que peu de symptômes. Cependant, les uretères, situés entre les reins et la vessie, sont des conduits de très petit calibre. Un calcul formé dans le rein, qui est en transit vers la vessie, peut facilement obstruer un uretère et ainsi causer de vives douleurs. C’est ce qu’on appelle la colique néphrétique.

Types de calculs La composition chimique du calcul dépend de la cause, mais la majorité des calculs rénaux contiennent du calcium. Des tests d’urine et une analyse des calculs récupérés permettent de connaître leur composition. Calculs à base de calcium. Ils comptent pour environ 80 % de tous les calculs rénaux. Ils englobent les calculs à base d’oxalate de calcium (les plus fréquents), de phosphate de calcium ou d’un mélange des deux. Ils sont causés par la déshydratation, un apport excessif de vitamine D, certaines maladies et certains médicaments, des facteurs héréditaires ou une alimentation trop riche en oxalate (voir Alimentation dans la section Prévention). Calculs de struvite (ou de phosphate ammoniaco-magnésien). Ils sont liés aux infections urinaires chroniques ou à répétition d’origine bactérienne et représentent environ 10 % des cas1. Contrairement aux autres types de calculs, ils sont plus communs chez les femmes que chez les hommes. Souvent, ils se forment chez les personnes qui ont une sonde vésicale. Calculs d’acide urique. Ils représentent de 5 à 10 % des calculs rénaux. Ils se forment en raison d’une concentration anormalement élevée d’acide urique dans l’urine. Les gens atteints de la goutte ou qui reçoivent une chimiothérapie sont plus enclins à en souffrir. Ils peuvent aussi être causés par une infection. Calculs de cystine. Cette forme est la plus rare. Dans tous les cas, leur formation est attribuable à la cystinurie, une anomalie génétique qui entraîne l’excrétion d’une quantité excessive de cystine (un acide aminé) par les reins. Ce type de calcul peut survenir dès l’enfance.

La libido ou le désir sexuel est l’envie de s’adonner à une activité sexuelle. Le désir sexuel peut survenir spontanément ou en réponse à un partenaire, des images ou des pensées.L’intensité du désir dépend de différents facteurs tels que la qualité de la relation de couple, la santé physique, l’état psychologique ou des événements qui jalonnent la vie (grossesse, deuil, stress au travail, etc.). La baisse du désir sexuel fait partie des différentes dysfonctions sexuelles que peuvent rencontrer l’homme et la femme à tout moment de leur vie. Une baisse de libido devient problématique lorsqu’elle inquiète la personne ou son partenaire et affecte la relation amoureuse. Toutefois, cet état n’affecte pas toujours la capacité d'avoir des relations sexuelles.

La gonorrhée, communément appelée chaude-pisse , urétrite ou blennorragie, est une infection transmissible sexuellement , attribuable à la bactérie Neisseria gonorrhoeae. La gonorrhée est plus souvent détectée chez les hommes que chez les femmes, peut-être parce que chez les hommes, elle entraine des signes évident alors que chez plus de la moitié des femmes, cette infection n’entraine aucun signe visible. Elle peut infecter le pénis et le vagin, l’urètre, le rectum, la gorge et parfois les yeux. Chez les femmes, le col de l’utérus peut également être endommagé.

Les signes de gonorrhée ou blennorragie s manifestent habituellement de 2 à 5 jours après le moment de l'infection chez l’homme mais ils peuvent prendre sans doute aux alentours d’une dizaine de jours chez la femme, sans doute parfois davantage. L’infection peut apparaître au rectum, au pénis, sur le col de l’utérus ou dans la gorge. Chez les femmes, l’infection passe inaperçue dans plus de la moitié des cas, n’entraînant aucun signe particulier. L’évolution la plus fréquente d’une urétrite gonococcique, non traitée chez l’homme, est la disparition des symptômes : les symptômes peuvent disparaître chez plus de 95 % des hommes dans un délai de 6 mois. L’infection persiste pourtant, aussi longtemps qu’elle n’est pas traitée. En l’absence de traitement ou en cas d’échec, le risque de transmission subsiste, et fait le lit de complications ainsi que de séquelles.

Chez l’homme Ecoulement purulent et jaune verdâtre par l’urètre, Difficultés à uriner, Sensation de brûlure intense en urinant, Picotement au niveau de l’urètre, Douleur ou gonflement au niveau des testicules, Douleurs ou écoulements du rectum. Un homme présentant ces signes, doit en parler à sa partenaire, car elle peut ne présenter aucun signe, même si elle est porteuse de la bactérie. Et dans 1 % des cas, les hommes présentent peu ou aucun de ces signes. Chez la femme La plupart des femmes ne présentent aucun signe de gonorrhée, et cela représente entre 70 et 90 % des cas ! Lorsqu’ils existent, ces symptômes se confondent souvent avec ceux d'une infection urinaire ou vaginale : Écoulement vaginal purulent, jaunâtre ou parfois sanguinolent; Irritation vulvaire; Saignement vaginal anormal; Douleurs ou pesanteurs pelviennes; Douleurs lors des relations sexuelles; Sensations de brûlure en urinant et difficulté à uriner. En cas de rapports sexuels non protégés, il faut faire un dépistage, associé au dépistage de chlamidiae.

Les symptômes de la gonorrhée anorectale Elle est particulièrement fréquente chez les homosexuels et peut se présenter avec les signes suivants : Démangeaisons au niveau de l’anus, Inflammation de l’anus, Ecoulement purulent au niveau de l’anus, Diarrhée, Saignement par l’anus, Gêne à déféquer… La gonorrhée de la bouche et la gorge n’est souvent associée à aucun signe notable. Parfois il peut exister une pharyngite ou une angine qui régresse d’elle-même. L’atteinte des yeux est rare chez l’adulte. Elle se produit par auto-infection ; la personne atteinte souffrant d’une gonorrhée de la zone sexuelle et portant les germes à ses yeux avec ses mains. Les signes en sont : Gonflement des paupières, Sécrétions épaisses et abondantes, Sensation de grain de sable dans l’œil, Ulcérations ou perforation de la cornée.

Chez la femme, une gonorrhée peut entraîner une maladie inflammatoire pelvienne, c’est-à-dire une infection des organes reproducteurs que sont les trompes de Fallope, les ovaires et l’utérus. Elle peut être la cause d’une infertilité, accroître le risque de grossesses extra-utérines et être à l’origine de douleurs pelviennes chroniques. Chez l’homme, la gonorrhée peut provoquer une inflammation de la prostate (prostatite) ou des testicules (épididymite), pouvant entraîner l’infertilité. La gonorrhée augmente également les risques de transmission du VIH. Par ailleurs, un nouveau-né infecté par sa mère peut souffrir de graves problèmes oculaires ou d'infections sanguines (septicémie).

L'angine de poitrine survient quand il y a un manque de sang oxygéné dans le muscle cardiaque. Elle provoque une crise de vives douleurs au coeur, ressenties dans la région de la poitrine. Ce trouble survient à l’effort et disparaît en quelques minutes avec le repos ou la prise de nitroglycérine, sans laisser de séquelle. Le terme « angine » provient du latin angere, qui signifie « étrangler »; L'infarctus du myocarde ou crise cardiaque désigne une crise plus violente que l’angine. Le manque d’oxygène provoque la nécrose, c’est-à-dire la destruction d’une partie du muscle cardiaque, qui sera remplacée par une cicatrice. La capacité du coeur à se contracter normalement et à pomper une quantité normale de sang à chaque battement peut être affectée; tout dépend de l’étendue de la cicatrice. Le terme « infarctus » provient du latin infarcire, qui signifie farcir ou remplir, car les tissus cardiaques semblent alors gorgés de liquide. Le coeur est une pompe qui permet au sang d’être distribué à tous les organes, et assure donc leur fonctionnement. Mais ce muscle a lui aussi besoin d’être nourri en oxygène et en nutriments. Les artères qui approvisionnent et nourrissent le coeur s’appellent les artères coronaires (voir schéma). La crise d’angine ou l’infarctus surviennent lorsque les artères coronaires sont obstruées, en partie ou complètement. Les régions du coeur qui ne sont plus bien irriguées se contractent mal ou cessent de le faire. Ce type de situation survient lorsque les parois des artères du coeur ont subi des dommages (voir Athérosclérose et artériosclérose ci-dessous). L’âge auquel une première crise d’angine ou un infarctus se déclare dépend en partie de l’hérédité, mais essentiellement des habitudes de vie : alimentation, activité physique, tabagisme, consommation d’alcool et stress.

L'Angor pectoris, « constriction de la poitrine »), est un symptôme cardiaque caractérisant la maladie coronarienne et se manifestant par une douleur thoracique résultant d'un manque d'apport d'oxygène au myocarde, le plus souvent consécutive à une diminution du débit sanguin dans une artère coronaire (on parle de sténose coronarienne). Ce manque d'oxygène au niveau du cœur est appelé ischémie du myocarde. L'angine de poitrine est un symptôme commun mais inconstant de l'ischémie du myocarde : cette douleur survient typiquement lors d'un effort et cesse à l'arrêt de ce dernier. C'est ce qui peut aider à distinguer l'angine des autres types de douleurs thoraciques.

L'angine de poitrine survient quand il y a un manque de sang oxygéné dans le muscle cardiaque. Elle provoque une crise de vives douleurs au coeur, ressenties dans la région de la poitrine. Ce trouble survient à l’effort et disparaît en quelques minutes avec le repos ou la prise de nitroglycérine, sans laisser de séquelle. Le terme « angine » provient du latin angere, qui signifie « étrangler »; L'infarctus du myocarde ou crise cardiaque désigne une crise plus violente que l’angine. Le manque d’oxygène provoque la nécrose, c’est-à-dire la destruction d’une partie du muscle cardiaque, qui sera remplacée par une cicatrice. La capacité du coeur à se contracter normalement et à pomper une quantité normale de sang à chaque battement peut être affectée; tout dépend de l’étendue de la cicatrice. Le terme « infarctus » provient du latin infarcire, qui signifie farcir ou remplir, car les tissus cardiaques semblent alors gorgés de liquide. Le coeur est une pompe qui permet au sang d’être distribué à tous les organes, et assure donc leur fonctionnement. Mais ce muscle a lui aussi besoin d’être nourri en oxygène et en nutriments. Les artères qui approvisionnent et nourrissent le coeur s’appellent les artères coronaires (voir schéma). La crise d’angine ou l’infarctus surviennent lorsque les artères coronaires sont obstruées, en partie ou complètement. Les régions du coeur qui ne sont plus bien irriguées se contractent mal ou cessent de le faire. Ce type de situation survient lorsque les parois des artères du coeur ont subi des dommages (voir Athérosclérose et artériosclérose ci-dessous). L’âge auquel une première crise d’angine ou un infarctus se déclare dépend en partie de l’hérédité, mais essentiellement des habitudes de vie : alimentation, activité physique, tabagisme, consommation d’alcool et stress.

L'athérosclérose désigne la présence d’une plaque sur la paroi interne des artères qui gêne ou bloque la circulation du sang. Elle se forme très lentement, souvent de nombreuses années avant qu’une crise d’angine ou d’autres symptômes se produisent. L’athérosclérose touche surtout les grosses et les moyennes artères (par exemple, les artères coronaires, les artères du cerveau et les artères des membres). Elle est souvent associée à l’artériosclérose : c’est-à-dire au durcissement, à l’épaississement et à la perte d’élasticité des artères.

L'arthrose ou ostéoarthrite, est une affection chronique qui se manifeste par des douleurs persistantes aux articulations causées par l’usure anormale du cartilage et de l’ensemble de l’articulation. Elle est la forme d’arthrite la plus fréquente : Les articulations les plus fréquemment touchées sont le genou, la hanche et celles de la colonne vertébrale. Cependant, les autres articulations, comme l’épaule, la cheville et le poignet, peuvent aussi être atteintes. L’arthrose des doigts (arthrose digitale) est également très fréquente, surtout chez les femmes.L’arthrose du genou est aussi appelée gonarthrose et l’arthrose de la hanche, coxarthrose.

Arthrose primaire. Lorsque la personne atteinte d’arthrose n’a pas de prédisposition évidente, on qualifie l’arthrose de « primaire ». Arthrose secondaire. Les maladies qui touchent les articulations, comme les maladies inflammatoires (arthrite rhumatoïde, goutte, lupus, etc.) et les maladies métaboliques (diabète, hémochromatose), prédisposent à l’arthrose. Il en va de même des blessures et des chirurgies à une articulation. Quand il y a prédisposition par l’une ou l’autre de ces situations, il s’agit d’arthrose secondaire.

L’apnée du sommeil se manifeste par des arrêts involontaires de la respiration, les « apnées », se produisant durant le sommeil. L’apnée du sommeil survient en général chez les personnes en surpoids, âgées ou qui ronflent de façon importante. Ces pauses respiratoires durent par définition plus de 10 secondes (et peuvent atteindre plus de 30 secondes). Elles se produisent plusieurs fois par nuit, à une fréquence variable. Les médecins considèrent qu’elles sont problématiques lorsqu’il y en a plus de 5 par heure. Dans les cas graves, elles surviennent jusqu’à plus de 30 fois par heure. Ces apnées perturbent le sommeil et se traduisent principalement par une fatigue au réveil, des maux de tête ou une somnolence pendant la journée.

À court terme, l’apnée du sommeil entraîne de la fatigue, des maux de tête, de l’irritabilité... Elle peut aussi incommoder le conjoint, car elle s’accompagne souvent de ronflements sonores. À long terme, si elle n’est pas traitée, l’apnée du sommeil a de nombreuses conséquences sur la santé : Maladies cardiovasculaires. L’apnée du sommeil augmente de façon importante le risque de maladie cardiovasculaire, par des mécanismes qui ne sont pas entièrement décodés. On sait toutefois que chaque pause respiratoire entraîne un déficit d’oxygénation du cerveau (hypoxie), et que chaque micro-réveil brutal provoque une augmentation de la pression artérielle et du rythme cardiaque. À long terme, les apnées sont associées à un risque accru de problèmes cardiovasculaires, tels que : hypertension, accident vasculaire cérébral, infarctus du myocarde (crise cardiaque), troubles du rythme cardiaque (arythmie cardiaque) et insuffisance cardiaque. Enfin, en cas d’apnée importante, le risque de mourir subitement pendant son sommeil est accru. Dépression. Le manque de sommeil, la fatigue, le besoin de faire des siestes et la somnolence sont associés aux apnées du sommeil. Ils diminuent la qualité de vie des personnes atteintes, qui souffrent souvent de dépression et d’isolement. Une étude a même montré un lien entre apnée du sommeil et troubles cognitifs chez les femmes âgées. Accidents. Le manque de sommeil induit par les apnées augmente le risque d’accident, en particulier d’accident du travail et de la route. Les personnes atteintes de syndrome d’apnées obstructives du sommeil ont de 2 à 7 fois plus de risque d’être victimes d’un accident de la circulation. Complications en cas de chirurgie. L’apnée du sommeil, surtout si elle n’est pas encore diagnostiquée, peut être un facteur de risque en cas d’anesthésie générale. En effet, les anesthésiques peuvent accentuer le relâchement des muscles de la gorge et donc aggraver les apnées. Les médicaments antidouleur administrés après les interventions chirurgicales peuvent également augmenter le risque d’apnées graves. Il est donc important d’informer votre chirurgien si vous souffrez d’apnée du sommeil.

L’anémie se caractérise par une diminution du nombre de globules rouges dans le sang ou de leur teneur en hémoglobine. Les principaux symptômes, lorsqu’il y en a, sont la fatigue, un teint pâle et un essoufflement plus prononcé à l’effort. L’anémie ferriprive survient en raison d’une carence en fer. Le fer se lie au pigment « hème » de l’hémoglobine qui apporte l’oxygène aux cellules du corps. L’oxygène est un élément essentiel aux cellules pour qu’elles puissent produire de l’énergie et accomplir leurs fonctions.L’anémie ferriprive est le plus souvent causée par des pertes de sang aiguës ou chroniques ou par un manque de fer dans l’alimentation. En effet, l’organisme ne peut synthétiser le fer et doit donc le puiser dans les aliments. Plus rarement, elle peut être attribuable à des problèmes d’utilisation du fer dans la fabrication de l’hémoglobine.

La plupart des personnes ayant une anémie ferriprive légère ne le remarquent pas. Les symptômes dépendent en grande partie de la vitesse à laquelle l’anémie s’est installée. Lorsque l’anémie apparaît progressivement, les symptômes sont moins évidents. Une fatigue anormale Le teint pâle Un pouls rapide Un essoufflement plus prononcé à l’effort Les mains et les pieds froids Des maux de tête Des étourdissements Une diminution des performances intellectuelles

Les femmes en âge de procréer, qui ont des menstruations très abondantes, car il y a perte de fer dans le sang menstruel. Les femmes enceintes et celles qui ont des grossesses multiples et rapprochées. Les adolescentes. Les enfants, surtout de 6 mois à 4 ans. Les personnes atteintes d’une maladie qui entraîne une malabsorption du fer : la maladie de Crohn ou la maladie coeliaque, par exemple. Les personnes ayant un problème de santé qui cause des pertes de sang de façon chronique dans les selles (non visibles à l’oeil) : un ulcère gastroduodénal, des polypes bénins au côlon ou un cancer colorectal, par exemple. Les personnes végétariennes, surtout si elles ne consomment aucun produit de source animale (régime végétalien). Les bébés qui ne sont pas allaités. Les personnes qui consomment régulièrement certains médicaments, comme des antiacides de type inhibiteurs de la pompe à protons pour soulager des brûlures d’estomac. L’acidité de l’estomac transforme le fer alimentaire en une forme assimilable par l’intestin. L’aspirine et les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent aussi, à long terme, causer des saignements dans l’estomac. Les personnes souffrant d’insuffisance rénale, surtout celles sous dialyse.

L’asthénospermie désigne une anomalie du sperme affectant la mobilité des spermatozoïdes. Moins mobiles, les spermatozoïdes voient leur pouvoir fécondant altéré, avec un impact sur la fécondité de l’homme. Le couple peut alors rencontrer des difficultés à concevoir.L’asthénospermie, ou ashténozoospermie, est une anomalie du sperme caractérisée par une mobilité des spermatozoïdes insuffisante. Elle peut altérer la fécondité de l'homme et diminuer les chances de grossesse du couple car s’ils ne sont pas suffisamment mobiles, les spermatozoïdes ne peuvent migrer du vagin vers la trompe pour y féconder l’ovocyte. L’asthénospermie peut être isolée ou associée à d’autres anomalies du sperme. En cas d’OATS, ou oligo-asthéno-tératozoospermie, elle est associée à une oligospermie (concentration en spermatozoïdes inférieure aux valeurs normales) et une tératozoospermie (une trop grande proportion de spermatozoïdes de formes anormales). L'impact sur la fécondité de l'homme sera encore plus important.

L’asthénospermie ne se manifeste pas aucun symptôme, si ce n’est des difficultés à concevoir

L’albinisme oculo-cutané regroupe un ensemble de maladies héréditaires caractérisées par une dépigmentation de la peau, des cheveux et des yeux. En effet, la présence de pigment mélanique dans l’iris et la rétine font que l’albinisme s’accompagne toujours d’une atteinte ophtalmologique.L'albinisme oculo cutané est dû à un défaut de production du pigment mélanique par les mélanocytes, à cause d'une mutation génétique.

Nous sommes tous porteurs de deux gènes dont l'un est dominant (qui s'exprime) et l'autre récessif (il ne s'exprime pas). Si le gène récessif présente une mutation il ne s'exprime donc pas chez la personne ayant un gène dominant non muté. Par contre, lors de la formation des gamètes (spermatozoides chez l'homme et ovules chez la femme), la moitié des gamètes hérite du gène muté. Si deux personnes conçoivent un enfant et sont porteurs du gène muté récessif, il y a alors un risque que l'enfant soit issu d'un spermatozoide portant le gène muté récessif et d'un ovule portant ce même gène récessif. Comme l'enfant n'a pas de gène dominant mais deux gènes récessifs muté, il exprime alors la maladie. Cette probabilité étant assez faible, il n'y a donc habituellement pas d’autres cas d’albinisme dans le reste de la famille.

L'amnésie se définit par une difficulté à former des souvenirs ou à récupérer des informations en mémoire. Souvent pathologique, elle peut aussi être non pathologique, comme dans le cas de l'amnésie infantile. Elle est, de fait, plus un symptôme qu'une maladie, majoritairement liée dans nos sociétés vieillissantes à des pathologies neurodégénératives de type maladie d'Alzheimer, et peut avoir plusieurs autres étiologies. L'amnésie peut par exemple être aussi d'origine psychogène, ou traumatique. L'un des traitements possibles est la rééducation de la mémoire, pouvant être proposée même à des sujets âgés, notamment dans les centres de rééducation.

L'amnésie est un terme générique, qui évoque une difficulté à former des souvenirs, ou à récupérer des informations en mémoire. Elle peut être pathologique, ou non pathologique : c'est le cas de l'amnésie infantile. En effet, les gens récupèrent très difficilement des souvenirs remontant à l'enfance, mais ce n'est alors pas dû à un processus pathologique. L'amnésie est davantage un symptôme qu'une maladie en elle-même : ce symptôme de trouble de la mémoire peut être le signe d'une maladie neuro-dégénérative, dont la plus emblématique est la maladie d'Alzheimer. Par ailleurs, le syndrome amnésique est un type de pathologie de la mémoire dans lequel les troubles mnésiques sont très importants.

Il existe plusieurs formes d'amnésie : une forme d'amnésie dans laquelle les patients oublient une partie de leur passé, appelée amnésie d'identité, et dont l'intensité est variable : le patient peut aller jusqu'à oublier son identité personnelle. l'amnésie antérograde, qui signifie que les patients présentent des difficultés à acquérir des informations nouvelles. l'amnésie rétrograde, elle, est caractérisée par l'oubli du passé. Dans beaucoup de formes d'amnésie, les deux versants, antérograde et rétrograde, sont présents, mais ce n'est pas toujours le cas. En outre, il existe aussi des gradients. Les patients sont tous différents les uns des autres, et cela requiert une excursion très précise afin de bien comprendre les troubles en présence.

Amnésie antérograde Ce type d'amnésie se caractérise par une difficulté à acquérir des informations nouvelles : le symptôme se manifeste donc ici par un problème pour retenir des informations récentes. Amnésie rétrograde Un gradient temporel est souvent constaté dans cette forme d'amnésie : c'est-à-dire que, de façon générale, les patients victimes d'amnésie vont plutôt censurer leurs souvenirs les plus lointains, et au contraire bien mémoriser les souvenirs plus récents.

L’aérophagie désigne un phénomène physiologique qui se caractérise par une ingestion d’air anormalement élevée pendant la déglutition. L’air s’accumule dans l’œsophage et parfois, une faible quantité dans l’estomac lorsque le sujet boit ou mange. Cette accumulation d’air engendre une sensation de ballonnement et des éructations (rots), les deux symptômes de l’aérophagie.Le terme « aérophagie » signifie en grec « manger de l’air ». En réalité nous « mangeons » tous de l’air lorsque nous avalons entre 2 et 4 litres d'air par jour. Cela dit, certaines personnes ingèrent une plus grande quantité d’air lorsqu’ils mangent, boivent ou avalent leur salive.

Aérophagie d’ordre alimentaire Si c’est le mode d’alimentation qui est à l’origine de l’aérophagie, outre les conseils susmentionnés, il peut être utile de se rendre chez un naturopathe pour recevoir des conseils alimentaires spécifiques, adaptés à chaque personne. Aérophagie due au stress Si c’est le stress qui est à l’origine de l’aérophagie, de nombreuses approches relaxantes sont indiquées : la sophrologie en premier lieu puisqu’elle permet souvent de faire diminuer le stress ; le yoga pour détendre son corps et pour méditer ; le tai-chi chuan et le qi gong qui sont des arts martiaux calmes qui disent faciliter la circulation de l’énergie et faire travailler la maîtrise de soi en mouvement ; l’acupuncture ; l’ostéopathie qui peut travailler aussi bien sur le stress en général que plus spécifiquement sur la sphère digestive et les problèmes qui sont à l’origine de l’aérophagie.

L’avortement est la perte d’un embryon ou d’un fœtus lors d’une grossesse. Il peut être spontané, c’est-à-dire se produire sans avoir été recherché (problème de santé, génétique, etc), ou provoqué et donc volontaire.

Avortement spontané. On parle aussi de fausse-couche. Par définition, il s’agit du décès ou de l’expulsion hors de l’organisme maternel d’un embryon ou d’un fœtus de moins de 500 grammes ou âgé de moins de 22 semaines d’aménorrhée ou sans règles (= 20 semaines de grossesse). Si la fausse-couche survient plus tard dans la grossesse, on parle de « mort fœtale in utero ». L’avortement provoqué, également appelé « interruption volontaire de grossesse » (ou IVG) peut être déclenché de plusieurs façons, notamment par la prise de médicaments « abortifs » ou par l’aspiration du fœtus. Les lois régissant l’accès à l’avortement (ou son interdiction) diffèrent d’un pays à l’autre. L’interruption médicale de grossesse (IMG) est un avortement provoqué, pratiqué pour des raisons médicales, souvent à cause d’une anomalie ou d’une maladie du fœtus mettant sa vie en danger après la naissance ou entraînant de graves problèmes de santé, ou encore lorsque la vie de la mère est en danger.

L’azoospermie est une anomalie du sperme caractérisée par l’absence totale de spermatozoïdes dans l’éjaculat. Elle entraine évidemment l’infertilité de l’homme, car en l’absence de spermatozoïdes il ne peut y avoir fécondation.

L'anurie se traduit par l'absence complète d'excrétion de l'urine. Ceci peut être dû à l’obstruction des canaux rénaux, d'une déficience fonctionnelle du système rénal, ou encore à la suite d'une déshydratation de l'organisme. La prise en charge d'une anurie doit être rapide.L'anurie correspond à une absence d'élimination de l'urine de l'organisme.

Cette atteinte résulte, dans la plupart des cas, d'une insuffisance rénale. En effet, le système urinaire (constitué des reins, des uretères, de la vésicule biliaire et de l'urètre), permet l'élimination des déchets organiques, de l'organisme. Les reins ont notamment un rôle important de filtre, permettant d'éliminer les déchets organiques du sang, par la formation de l'urine. Cette dernière passe ensuite par les uretères, dans la vésicule biliaire puis dans l'urètre. Une déficience au niveau de ce processus d'élimination des déchets de l'organisme peut conduire en l'absence de formation d'urine, et donc à une anurie. L'anurie est une urgence médicale, car elle peut être à l'origine de conséquences importantes pour le patient, voire lui être vitale.

Les symptômes de l'anurie Les premiers signes cliniques d'une anurie correspondent à une diminution de l'abondance des besoins d'uriner, voire en l'absence complète de ces besoins. Un gonflement de la vessie ainsi que des douleurs pelviennes peuvent en être des symptômes caractéristiques. La palpation vésicale ainsi que le touché rectal permettent de confirmer, ou d'infirme, ce premier diagnostic clinique. Les facteurs de risque de l'anurie Les facteurs de risque principaux d'une anurie sont : la présence d'une pathologies rénale sous-jacente la présence d'une pathologie, dont les effets secondaires peuvent être associés à une atteinte du système rénal une déshydratation, plus ou moins importante.

Informations utiles

Des petites informations qui peuvent sauver des vies !

Accès Rapide





Fermer