Cancer du poumon

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Cancer du poumon

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Une tumeur non cancéreuse (bénigne) du poumon est une masse qui ne se propage pas à d'autres parties du corps (pas de métastases). Une tumeur non cancéreuse ne met généralement pas la vie en danger.

Un nodule pulmonaire est une petite région de tissu anormal observée dans le poumon, souvent au cours d'un examen d'imagerie comme une radiographie ou une tomodensitométrie (TDM).

Les symptômes fréquents combinent des problèmes respiratoires et une altération inexpliquée de votre état général : apparition d’une toux ou majoration d’une toux de bronchite chronique ; expectorations (crachats) sanguinolentes (hémoptysie). Une hémoptysie importante nécessite d’alerter rapidement votre médecin traitant ; apparition ou aggravation d’une difficulté à respirer (dyspnée ou essoufflement), en l’absence de problèmes cardiaques avérés ; infection pulmonaire (bronchite ou pneumonie) à répétition ; des douleurs importantes aiguës ou chroniques (comme un point de côté évoquant un déchirement musculaire, des douleurs de l’épaule évoquant un rhumatisme) ; une fatigue inhabituelle et persistante ; une perte d’appétit ; une perte de poids.

Le cancer du poumon non à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules glandulaires situées dans la partie externe du poumon. Ce type de cancer porte le nom d’adénocarcinome. Le cancer du poumon non à petites cellules peut aussi prendre naissance dans les cellules minces et plates appelées cellules squameuses. Celles-ci tapissent les bronches qui sont les grosses voies respiratoires se ramifiant de la trachée jusqu’aux poumons. On parle alors d’un carcinome épidermoïde du poumon. Le carcinome à grandes cellules est un autre type de cancer du poumon non à petites cellules, mais il est moins fréquent. Il existe également plusieurs types rares de cancer du poumon non à petites cellules, dont le sarcome et le carcinome sarcomatoïde.

Le cancer du poumon à petites cellules prend habituellement naissance dans les cellules qui tapissent les bronches situées au centre des poumons. Les principaux types de cancer du poumon à petites cellules sont le carcinome à petites cellules et le carcinome mixte à petites cellules (tumeur mixte formée entre autres de cellules squameuses ou glandulaires).

Le tabagisme est le principal facteur de risque de cancer du poumon. La consommation quotidienne de tabac sous toutes ses formes (cigarette, tabac à rouler, cigare, pipe…) est responsable d’environ 8 cancers du poumon sur 10. La durée pendant laquelle on a fumé, c’est-à-dire le nombre d’années d’exposition est plus important que la quantité de tabac fumé par jour. Il faut donc mieux s’arrêter de fumer le plus tôt possible pour diminuer le risque de cancer, plutôt que de réduire la quantité de tabac consommée par jour, car fumer même très peu mais quotidiennement et pendant longtemps est beaucoup plus nocif que fumer beaucoup sur une période plus courte. Enfin le tabagisme passif, c’est-à-dire le fait d’être exposé à la fumée de cigarette sans fumer, augmenterait de 30 % le risque de développer un cancer pulmonaire

Plus rarement, c’est une exposition professionnelle à des produits toxiques comme l’amiante, l’arsenic, le cobalt, le nickel, ou le chrome par exemple, qui est en cause. Ces cancers du poumon non liés au tabac représentent environ 15 % des cas. Le risque de cancer pulmonaire est démultiplié en cas d’exposition professionnelle à ces substances et de tabagisme associé.

Des métastases peuvent aussi révéler l’existence d’un cancer du poumon. Elles peuvent entraîner des symptômes en fonction de l’organe concerné, comme : des douleurs osseuses, en cas de métastase(s) osseuse(s) ; des maux de tête, en cas de métastase(s) au cerveau, mais aussi des nausées et des vomissements, des crises d’épilepsie, une confusion mentale (difficultés à coordonner ses idées, troubles de la perception et de la mémoire, désorientation dans l’espace et le temps…), des troubles de la parole, de l’équilibre et de la coordination des mouvements, une modification du comportement, un engourdissement du visage, des bras ou des jambes, etc. ; une jaunisse (ictère), en cas de métastase(s) au foie. Le cancer du poumon peut aussi être découvert par hasard sur un bilan d’imagerie médicale réalisé pour rechercher une autre éventuelle pathologie.

Les symptômes du cancer du poumon sont multiples et de nature différente selon qu’il soit lié ou non au tabagisme : Des symptômes respiratoires sont présents dans la moitié des cas (toux persistante, essoufflement, douleur thoracique, crachats striés de sang, infections pulmonaires fréquentes) ; Des signes généraux comme une fatigue anormale, une perte d’appétit ou un amaigrissement ; D’autres signes moins fréquents comme une modification de la voix, des sifflements à la respiration ou une difficulté à avaler.

L’arrêt du tabac constitue toujours un point préalable au traitement. Les thérapeutiques choisies dépendent ensuite du type de cancer bronchique identifié « non à petites cellules » ou « à petites cellules », de son stade d’évolution et de l’état général du patient.

L’immunothérapie, un nouveau traitement visant à stimuler les défenses immunitaires du patient contre les cellules cancéreuses. Cette thérapie est aujourd’hui intégrée dans divers protocoles thérapeutiques.

Le cancer du poumon prend naissance dans les cellules du poumon. La tumeur cancéreuse (maligne) est un groupe de cellules cancéreuses qui peuvent envahir les tissus voisins et les détruire. La tumeur peut également se propager (métastases) à d'autres parties du corps. Quand le cancer apparaît d'abord dans les cellules du poumon, il est appelé cancer primitif du poumon. Le poumon fait partie de l’appareil respiratoire. Vous utilisez vos poumons quand vous respirez. Les poumons sont situés dans le thorax, de chaque côté du cœur. Le poumon droit est constitué de 3 sections principales appelées lobes. Le poumon gauche, un peu plus petit, comporte 2 lobes. Les poumons sont enveloppés d’une fine membrane protectrice appelée plèvre, qui constitue un genre de coussin pour ces organes.
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