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Depression
AUTRE.
AUTRE
Tristesse, fatigue, idées noires, perte d'appétit, troubles du sommeil, changement, une rupture dans le caractère et le comportement,baisse des performances sociales, moindre intérêt aux événements familiaux.Le principal risque est de confondre symptômes dépressifs (très fréquents selon les aléas de la vie) et maladie dépressive.
Perte de confiance en soi, anxiété surtout manifestée par la crainte excessive , troubles du sommeil, fatigabilité accrue ; modifications des relations intrafamiliales, répercussions professionnelles, anxiété,symptômes dépressifs à type de tristesse,inhibition,faible réactivité aux situations festives.
Ce type de personne est perçue par l'entourage comme "triste", "inquiète", voire "dépressive". La survenue d'un épisode dépressif se manifeste par une intensification de ces symptômes ou l'apparition de nouvelles manifestations telles que troubles du sommeil, idées noires. Les traitement de l'épisode dépressif entraîne le plus probablement un retour à l'état antérieur à l'accès dépressif : la personne va redevenir "triste", "inquiète", ou "dépressive" comme elle l'était auparavant. Trouble unipolaire Il s'agit d'un trouble où les accès dépressifs se répètent avec des intervalles de temps variables entre eux. Dans sa forme la plus caractéristique : le premier accès dépressif survient entre 30 et 45 ans, il dure 4 à 6 mois, il est suivi d'un intervalle de temps normothymique (humeur équilibrée) qui peut durer de plusieurs mois à plusieurs années, les épisodes dépressifs ultérieurs sont plus sévères et plus prolongés que le précédent, les intervalles entre les accès dépressifs deviennent de plus en plus raccourcis et marqués par des symptômes cicatriciels tels que l'anxiété, perte de confiance en soi, hyperémotivité… Maladie bipolaire Elle concerne 1 % de la population générale, souvent transmise à plusieurs membres de la même famille, et touche également hommes et femmes. Elle débute le plus souvent entre 20 et 30 ans, avec alternance d'épisodes dépressifs et accès d'excitation euphorique (épisodes maniaques). Au fil du temps, les épisodes aigus maniaques ou dépressifs deviennent de plus en plus sévères, prolongés et rapprochés. Les intervalles entre les accès raccourcissent. Le premier épisode maniaque dure spontanément 4 à 6 mois, le premier accès dépressif 6 à 8 mois. Le risque suicidaire est élevé : il est nécessaire de mettre en place un traitement préventif des récurrences (sels de lithium ou équivalent).
Lors d'un état dépressif, la personne dépressive se plaint d'au moins deux symptômes parmi ceux-ci : Une tristesse intense et durable, avec une humeur dépressive qui dure presque toute la journée et se répète au fil des jours. Une perte d'intérêt pour les activités du quotidien et autre activités autrefois appréciées (hobbies, sexe, etc.) Une fatigue intense (cette fatigue n'est pas améliorée par le repos ou le sommeil). Pris isolément, ces symptômes ne signifient pas forcément qu'il y a une dépression. Un ou plusieurs autres symptômes sont présents dans la dépression. Irritabilité et autres changements d'humeurs, Dévalorisation de soi, Culpabilité excessive et injustifiée, Troubles de la concentration et de l'attention, Baisse de libido, Troubles du sommeil, Perte ou gain de poids, Pensées suicidaires.
Dans une société collectiviste, vous êtes davantage considéré comme une personne faisant partie d’un grand tout. Votre famille et vos aïeuls sont importants et vous vivez en tant qu’individu plus en famille alors que dans une culture individualiste où l’emphase est mise davantage sur l’individu plutôt que la famille. Parfois, cette culture individualiste peut avoir une influence sur la fréquence de la dépression. Le sentiment que vous êtes seul ou que vous êtes le plus important peut en fait influer sur l’apparition de la dépression. Les personnes de cultures collectivistes sont davantage tournées vers le tout et il peut arriver qu’elles se sentent plus soutenues et moins seules. C’est pourquoi la fréquence de la dépression peut être supérieure dans les cultures individualistes.
Maladie bipolaire Elle concerne 1 % de la population générale, souvent transmise à plusieurs membres de la même famille, et touche également hommes et femmes. Elle débute le plus souvent entre 20 et 30 ans, avec alternance d'épisodes dépressifs et accès d'excitation euphorique (épisodes maniaques). Au fil du temps, les épisodes aigus maniaques ou dépressifs deviennent de plus en plus sévères, prolongés et rapprochés. Les intervalles entre les accès raccourcissent. Le premier épisode maniaque dure spontanément 4 à 6 mois, le premier accès dépressif 6 à 8 mois. Le risque suicidaire est élevé : il est nécessaire de mettre en place un traitement préventif des récurrences (sels de lithium ou équivalent). Dépression symptomatique On parle alors aussi de dépression secondaire : le trouble dépressif est consécutif à une autre pathologie qu'il importe d'identifier et de traiter. Il existe des dépressions secondaires à certains troubles psychiatriques : trouble schizophrénique se compliquant d'un état dépressif qui peut aussi être inaugural du processus schizophrénique, trouble anxieux : une anxiété pathologique chronique peut faire le lit d'une dépression, trouble de la personnalité à type d'hyperémotivité, dépendance affective, anxiété excessive. Certaines dépressions sont secondaires à un trouble somatique (maladie physique) : maladie neurologique dégénérative (Alzheimer, Parkinson, sclérose en plaques…) ou vasculaire (accident vasculaire cérébral, troubles vasculaires cérébraux), tumeur cérébrale, en particulier frontale, pathologie infectieuse (grippe, hépatite virale, SIDA…) maladie auto-immune (lupus érythémateux disséminé, polyarthrite rhumatoïde…). Enfin, certains médicaments peuvent avoir un effet dépressogène : hormonothérapie, corticothérapie, antihypertenseurs à action cérébrale, interféron. Chronicisation On considère qu'un état dépressif est chronique lorsqu'il évolue de manière continue depuis plus de 2 ans. Ceci concerne 10% des états dépressifs. Le chronicisation peut être facilitée par l'absence de traitement adapté ou la pérennisation de facteurs dépressogènes (psycho-affectifs, physiques ou environnementaux). L'aspect émotionnel de la symptomatologie devient moins évident alors que persistent tristesse, inihibition et risque suicidaire. La chronicisation serait plus fréquente chez le sujet âgé de plus de 60 ans.
Certains traits de personnalité sont susceptibles de favoriser la pérennisation du trouble dépressif, notamment les traits de dépendance gênant l'accès à une véritable autonomie. La recherche d'avantages liés au statut de malade peut aussi enfermer le patient dans un état dépressif. Ceci ne doit évidemment pas être compris comme un choix délibéré mais le résultat de difficultés psychologiques rendues plus handicapantes après la survenue d'un accès dépressif. Facteurs organiques: Sans que l'on en connaisse la raison, les antidépresseurs sont moins efficaces par exemple en cas de maladie neurodégénérative (maladie du système nerveux telle maladie d'Alzheimer, de Parkinson, sclérose en plaques...). Facteurs sociaux: Il est aisément compréhensible que la pérennisation d'un stress chronique, d'éléments environnementaux défavorables est une entrave potentielle à la résolution de l'état dépressif. Situations de comorbidité: Les pathologies à potentialité dépressogène (trouble anxieux, alcoolisme mais aussi endocrinopathie*) limitent souvent l'efficacité des antidépresseurs.
Lors d'un état dépressif, la personne dépressive se plaint d'au moins deux symptômes parmi ceux-ci : Une tristesse intense et durable, avec une humeur dépressive qui dure presque toute la journée et se répète au fil des jours. Une perte d'intérêt pour les activités du quotidien et autre activités autrefois appréciées (hobbies, sexe, etc.) Une fatigue intense (cette fatigue n'est pas améliorée par le repos ou le sommeil). Pris isolément, ces symptômes ne signifient pas forcément qu'il y a une dépression. Un ou plusieurs autres symptômes sont présents dans la dépression. Irritabilité et autres changements d'humeurs, Dévalorisation de soi, Culpabilité excessive et injustifiée, Troubles de la concentration et de l'attention, Baisse de libido, Troubles du sommeil, Perte ou gain de poids, Pensées suicidaires...
Il existe aussi des difficultés de diagnostic suivant les types de dépression et de patients. Le diagnostic de la dépression de l'adolescent se heurte à une double difficulté : D'un côté le travail psychique à l'adolescence (crise d'ado) présente des points communs avec la psychopathologie de la dépression. De l'autre, l'expression symptomatique diffère de celle rencontrée chez l'adulte. Chez les personnes âgées, les plaintes somatiques sont très souvent au premier plan, pouvant reléguer au deuxième plan l'humeur dépressive qui passera inaperçue aux yeux du clinicien.
Identifier les ruptures de lien social, les conflits déstructurants, les événements et traumatismes sociaux, les sentiments de culpabilité anxiogènes.
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