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AVC (Accident Vasculaire Cerebral)
AUTRE.
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L'AVC frappe sans prévenir et risque de se reproduire chez 30 à 40% des patients dans les 5 ans suivant le premier AVC. Alors, pour réduire au maximum les risques de séquelles, voire de décès, il est indispensable de connaître les signes d'un AVC. Les symptômes d'alerte suivants : Paralysie d'un côté du corps : perte de la force d'un bras ou d'une jambe, de la moitié du visage, ou d'un côté du corps dans sa totalité. Troubles du langage : difficulté soudaine pour trouver ses mots, jargon peu compréhensible, difficultés à articuler ou à comprendre ce que dit une personne. Troubles de la sensibilité : engourdissement du visage, d'un bras ou d'une jambe, pouvant entraîner une chute. Difficultés à bouger un bras ou une jambe. Troubles visuels : perte soudaine de la vision d'un œil ou vision absente de la moitié d'un champ visuel, Maux de têtes violents. Troubles de l'équilibre. Ce sont les symptômes les plus fréquents, mais il en existe d'autres. Contrairement à l'infarctus du myocarde qui se caractérise par une douleur dans la poitrine bien spécifique, l'AVC peut en effet se manifester différemment, selon la région du cerveau qui souffre.
L'accident vasculaire crée un barrage au niveau d'une artère. Le sang ne passe plus et l'artère ne peut plus irriguer correctement le cerveau afin de lui apporter les éléments nécessaires à son fonctionnement, comme l'oxygène ou le sucre. Résultat, la zone se mortifie, c'est-à-dire que les cellules de la zone concernée meurent progressivement. Les séquelles sont variables selon la zone touchée. Beaucoup de patients présentent des séquelles après un AVC. La gravité des troubles varie selon les cas. Les séquelles les plus fréquentes sont les troubles de l'équilibre et de la mémoire. De plus, parmi les personnes avec séquelles, 51 % déclarent avoir beaucoup de difficultés ou ne pas pouvoir marcher 500 mètres. Près de la moitié (45,3 %) déclarent avoir des difficultés pour les activités de la vie quotidienne, la toilette le plus souvent. L'AVC peut aussi entraîner une incontinence urinaire et la dépression.
AVC hémorragique L'accident vasculaire cérébral hémorragique, aux conséquences plus sévères, concerne 20 % des accidents vasculaires. Un accident vasculaire hémorragique est provoqué par un saignement à l'intérieur du cerveau, inondant le cerveau. Il peut être lié à une rupture d'anévrisme, qui correspond à une dilatation d'une artère. La rupture d'anévrisme est responsable de 50 % des AVC entraînant la mort chez les personnes jeunes (de moins de 45 ans). Une malformation des vaisseaux sanguins du cerveau présente le plus souvent dès la naissance, augmente les risques d'AVC hémorragique. L'hypertension artérielle ou un traumatisme peut provoquer un saignement dans le cerveau.
Un accident vasculaire cérébral est provoqué par l'obturation d'un vaisseau sanguin dans le cerveau à cause d'un caillot de sang ou par la rupture d'un vaisseau sanguin à l'intérieur du cerveau entraînant une hémorragie. AVC ischémique L'accident vasculaire ischémique, ou infarctus cérébral, représente plus de 80 % des accidents vasculaires cérébraux. Un AVC ischémique est provoqué par l'interruption de la circulation sanguine cérébrale dans le cerveau par un caillot. Soit le caillot se forme localement dans le cerveau, soit il provient d'une artère plus éloignée. Dans ce second cas, le caillot se détache d'une plaque d'athérome, c'est-à-dire d'une couche de graisse qui s'accumule sur la paroi d'une artère. Le caillot peut provenir d'une artère du cou ou se former dans un recoin d'une cavité du cœur dans le cas d'une pathologie cardiaque.
Si la prise en charge survient trop tardivement, la récupération physique est plus lente et les risques de handicaps irréversibles plus importants. Un transfert rapide du patient, dans un délai le plus court possible, vers un établissement hospitalier permet une confirmation de l'accident vasculaire cérébral grâce à l'imagerie par résonance magnétique (IRM) et/ou un Scanner et de débuter le traitement le plus précoce possible.
Plus de la majorité des AVC pourraient être évités, quels que soit l'âge et le sexe, en agissant sur des facteurs de risques. Les facteurs de risque sont multiples, mais il est possible d'agir sur une dizaine d'entre eux qui peuvent être modifiés en adoptant des meilleures habitudes de vie. Parmi tous les facteurs de risque de l'AVC, c'est clairement l'hypertension qui domine les autres. Chez la femme comme chez l'homme, la pression artérielle systolique doit être inférieure à 140 mm Hg et/ou la pression artérielle diastolique inférieure à 90 mm Hg. Il est donc indispensable de surveiller sa tension artérielle régulièrement chez son médecin ou son pharmacien, de faire attention à ne pas trop saler son alimentation car le sel augmente la tension artérielle et limiter l'alcool qui élève aussi la tension. Le tabac est également un important facteur de risque. Les fumeurs ont deux fois plus de risque d'AVC que les non-fumeurs, le tabagisme étant associé à plus d'1 AVC sur 4. Un fumeur, quel que soit le nombre de cigarettes fumées, doit tout mettre en œuvre pour arrêter de fumer. Chez les femmes en particulier, il faut éviter la triade explosive "pilule, migraine, tabac". La fibrillation atriale, FA, est un trouble du rythme cardiaque le plus fréquent, et est lié à un risque 5 fois supérieur de faire un AVC. La mesure régulière du pouls permettrait d'éviter des milliers d'accidents vasculaires cérébraux. Un pouls accéléré, à plus de 120 pulsations par minute, ou irrégulier, peut refléter une FA et nécessiter un avis médical.
Jeunes ou moins jeunes, tous concernés. Même si le fardeau est principalement porté par les plus âgés, près de 25% des AVC surviennent avant 65 ans et le taux de patients "jeunes" hospitalisés pour un AVC croit chaque année avec des augmentations importantes entre 35 et 64 ans. En causes : l'hypertension artérielle, le diabète, l'obésité, le tabac et l'alcool.
Notre santé dépend de notre alimentation. Et l’AVC est loin d’être une fatalité lorsqu’on sait qu’il est possible de le prévenir en prenant l’habitude de consommer certains aliments. De plus, notre alimentation est également en étroite relation avec nos émotions.* 🍊 *L’anorexie et la boulimie sont des pathologies compulsives qui témoignent de l’angoisse et du stress de nos sociétés modernes aux habitudes et aux comportements inappropriés aux besoins des personnes.* 🍊 *Le changement d’alimentation est la plupart du temps envisagé comme une corvée, une privation, une perte de temps, une frustration…* 🍊 *Dans ces temps de transition, un accompagnement par les professionnels (naturopathes, homéopathes, acupuncteurs…) peut s’avérer utile pour un changement véritable et effectif.
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Accepter son corps diminué, affronter les difficultés du quotidien, se sentir envahissant pour les proches... Au-delà du handicap physique, il faut faire face à une souffrance psychique. De ce fait, les dépressions ne sont pas rares. Le danger, c'est bien sûr qu'elles soient des freins à la récupération. Un soutien psychologique, aussitôt que possible, est très utile pour surmonter l'épreuve. Il permet d'évacuer angoisses et sentiments négatifs. Même en cas de troubles de la parole, les psychologues peuvent intervenir via d'autres moyens de communication.
Un accident vasculaire cérébral nécessite une prise en charge d'urgence. 20% des personnes présentant un AVC décèdent dans les quelques semaines suivant l'accident et plus de 30% présentent des séquelles définitives (hémiplégie, troubles de la parole, handicap...). Aujourd'hui, on dispose de traitements efficaces, qui réduisent significativement le risque de séquelles, mais à condition qu'ils soient administrés rapidement et au maximum 4h30 après le début des troubles.
Ail
La consommation régulière de l’ail vous aide à réduire le risque d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC), car l’ail est une épice riche en composés soufrés. Il diminue la formation des caillots de sang dans les artères et renforce les mécanismes naturels d’anticoagulation. 🍊 Environ 80 % des AVC sont causés par un caillot bloquant le flux sanguin vers une partie du cerveau. 🍊 Pour bénéficier de tous ses bienfaits, sa consommation à l’état cru est recommandée. L’ail possède plusieurs autres vertus utiles dans la prévention du cancer. Aussi, afin d’éviter la mauvaise haleine, mâchez du persil ou de la menthe, car ils sont riches en chlorophylle, une substance reconnue pour limiter ce désagrément !
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Orange
La pectine de fibres solubles agit comme une éponge géante qui absorbe le cholestérol, comme une classe de médicaments connus sous le nom de « séquestrants d’acides biliaires ». Et le potassium contenu dans les oranges aide à contrebalancer le sel, en maintenant la pression artérielle sous contrôle.
La consommation régulière des oranges permet de réduire la pression sanguine, le cholestérol et l’insuffisance cardiaque. En effet, les oranges contiennent des nutriments utiles à la bonne santé du cœur.
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De nouvelles recherches montrent quelque chose de plus surprenant : la pectine d’agrume aide à neutraliser une protéine appelée galectine-3. Cette dernière entraîne une insuffisance cardiaque congestive, une affection souvent difficile à traiter avec des médicaments. La pectine est contenue dans la pulpe du fruit.
Le chocolat noir contient des antioxydants qui protègent votre corps contre les radicaux libres. Ils réduisent également le risque d’une crise cardiaque. Un petit carré est une quantité suffisante pour profiter des bénéfices du chocolat noir.
Consommer le jus de grenade permet de réduire l’athérosclérose. Réduire le LDL est important, mais cela empêche l’oxydation de ce cholestérol. Lorsque le LDL est oxydé, il tend à se coincer dans les parois artérielles en déclenchant la formation de la plaque.
Les haricots et les fèves présentent plusieurs avantages pour la santé. Ils sont riches en fibres, potassium et folate. La fibre vous aide à vous sentir en pleine forme. Elle réduit le cholestérol. 🫘 Le potassium permet au muscle cardiaque de battre fort et régulièrement. Le folate dégrade certains acides aminés, notamment ceux qui augmentent le risque de maladie cardiaque
Ail
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La consommation régulière de l’ail vous aide à réduire le risque d’Accident Vasculaire Cérébral (AVC), car l’ail est une épice riche en composés soufrés. Il diminue la formation des caillots de sang dans les artères et renforce les mécanismes naturels d’anticoagulation. 🍊 Environ 80 % des AVC sont causés par un caillot bloquant le flux sanguin vers une partie du cerveau. 🍊 Pour bénéficier de tous ses bienfaits, sa consommation à l’état cru est recommandée. L’ail possède plusieurs autres vertus utiles dans la prévention du cancer. Aussi, afin d’éviter la mauvaise haleine, mâchez du persil ou de la menthe, car ils sont riches en chlorophylle, une substance reconnue pour limiter ce désagrément !
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Orange
La consommation régulière des oranges permet de réduire la pression sanguine, le cholestérol et l’insuffisance cardiaque. En effet, les oranges contiennent des nutriments utiles à la bonne santé du cœur.
La pectine de fibres solubles agit comme une éponge géante qui absorbe le cholestérol, comme une classe de médicaments connus sous le nom de « séquestrants d’acides biliaires ». Et le potassium contenu dans les oranges aide à contrebalancer le sel, en maintenant la pression artérielle sous contrôle.
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De nouvelles recherches montrent quelque chose de plus surprenant : la pectine d’agrume aide à neutraliser une protéine appelée galectine-3. Cette dernière entraîne une insuffisance cardiaque congestive, une affection souvent difficile à traiter avec des médicaments. La pectine est contenue dans la pulpe du fruit.
Informations utiles
Des petites informations qui peuvent sauver des vies !